Parasite bactérie tueuse, c’est à la mode, dans l’ère du temps, il vaut mieux le revoir après la séance avec un peu d’actualité en science fiction, se transforme en horreur, utilisation de caméra, d’iPhone pour enregistrer des vidéos sur la situation critique.
Au petit coin du Barbecue poisson fruit de mer grillé américain, The Bay of watch sortie en 2013, c’est archi-connu cette intrigue très basique, que dire de sa mise en scène, on s’ennuie devant ces éprouvantes scènes de mouvement de foule en panique horrifique.
Ça devient pénible, y’a du zombie clin d’œil dans l’air, le cinéaste comme référence pour ce faux documentaire bien entendu, qui n’est pas George A. Romero le veut, pensons-y pour un coup de pelle face aux mutations physionomies et physiologiques des corps déambulants.
La biologie océanographique génétiquement modifiée par l’écologie politique du maire, l’économie économise son réseau d’eau transformation, le social capital mort-vivant Land of the dead s’immisce sans succès, les gens l’ayant bu deviennent malades.
Avec de violents maux et de douleurs atroces aliens incrustés dans le budget austère restreint de cette réalisation banale nanar, c’est ridicule cette série B, cela ne restera pas dans les annales après REC, Diary of the dead et autres cinémas caméras portatives sur les acteurs de toute cette mise en scène technologique.
Les intervenants secours patrouilles polices shérifs élus dépassés sur le terrain de la réalité fictive, aucune surprise à s'attendre comme issue finale, les réseaux sociaux, Skype et les autres, l’état d’urgence met en quarantaine cette histoire à dormir debout et restez tranquille.
On ne verra pas tout dans le scénario, les médias médiatisés populaires couvrent l’affaire rocambolesque spectacle pop-corn épouvante, comme d'habitude.