Derniers Avis : The Bay - Page 4

Un film qui se déroule comme un reportage, un bon suspens, c'est bien joué, un bon moment.

Malgré un bon scénario, la mise en scène et le choix du faux documentaire donnent un résultat décevant, surtout avec Barry Levinson à la baguette.

En choisissant le principe du faux documentaire, Barry Levinson parvient à utiliser les avantages du found footage sans pour autant s'affranchir du montage. Son récit d'une catastrophe écologique glace le sang malgré des personnages lisses.

réalisé caméra a l'épaule , le film n'est pas surprenant. on se doute des le début du massacre qui va se passer. une seule question demeure : y aura t'il du spectacle? le suspence sera t'il au rendez vous ?
la réponse est "non". seul quelques bestioles feront leur apparition et quelques scènes de personnes gesticulant de douleur .bref, un suspence deja vu et des scènes explicites bien trop rares. heureusement le film ne dure qu'une heure et demie.

Tout bonnement excellent !!
Le film commence doucement sous forme d'un témoignage et il monte crescendo durant toute sa durée .
Un suspense omniprésent qui vous donne envie de le regarder jusqu’à la fin sans jamais vous ennuyée.
Un film horreur épouvante qui ne bascule pas dans une boucherie qui n'aurai aucun sens je recommande vivement ce film.
Une seule question persiste pourquoi à t'il été si mal noté ?

Un film moyen. L'idée du pseudo documentaire est un bon concept, cela dit, on attend encore et toujours ce "quelque chose" qui va faire toute la différence et on n'y parvient pas.
En résumé, on voit un film qui fonctionne au trash et à la moralité écologique mais qui ne va pas plus loin. Dans le sens où pas mal de questions ne trouvent pas réponses et où on relève des incohérences.
A regarder quand on a une heure à tuer mais pas vraiment d'intérêt particulier.

(...) Barry Levinson, réalisateur de plusieurs chefs d’œuvre dans les années 80-90, effectue un come-back aussi inattendu qu’improbable avec un film-documentaire fantastique à micro-budget, filmé en 18 jours, présenté en septembre 2012 au Festival international du film de Toronto et produit par Jason Blum et Oren Péli : le récit d’une panique générale suite à une épidémie mortelle causée par un parasite toxique.A l’instar du Projet Blair Witch (1999) pionnier en la matière, le réalisateur américain choisit la technique du found footage pour donner à son récit une plus grande crédibilité. Par ailleurs, il fait le choix astucieux à travers une mosaïque de portraits, de présenter différents intervenants, dont celui d’une jeune journaliste, incarnée par Kristen Connolly, d’océanographes, ou d’analystes du Centre de contrôle des maladies, et d’utiliser habilement les médias contemporains pour rendre compte du développement et de la propagation de l’épidémie. Ainsi Levinson exploite tout le panel des armes de communication virale contemporaines, pas moins de 21 supports médias différents (radio, podcasts, réseaux sociaux Facebook, Twitter, YouTube, GPS, e-mails, blogs, Skype, Wikipédia, webcams, télésurveillance, smartphones, appareils photos, produits Apple …), et montre avec ingéniosité à quel point toute cette technologie de pointe ne permet nullement d’enrayer la pandémie.(...) le jeu des acteurs n’est pas toujours convaincant, la qualité d’images parfois décevante, et le dénouement expédié, le montage chronologique du drame, le rythme soutenu et implacable, ainsi que le propos hyper réaliste, font de The Bay une fiction fantastique efficace, à l’ambiance sinistre et anxiogène. Un film-documentaire épuré, vraiment flippant et au caractère écologique et prophétique, que ne dénigreraient pas David Cronenberg ou Guillermo del Toro. Bonne baignade !

Non mais oh c'est quoi toute ces critiques positif. ..ce film est d une nullité extrêmement poussé...aussi ennuyeux que chiant...heureusement qu'il est pas trop long...

Ça fait un peu documentaire scientifique version gorePas mal du tout

On comprend l'amère désillusion de ceux qui regardent les films d'épouvantes au second degré entre copains en bouffant des pop-corn. Ici pas de second degré possible. Utilisant la technique du faux found footage (utilisation par collage de vidéos privés par Internet ou par téléphone, d'enregistrements professionnels non publics et de caméra de télésurveillance), on est plongé dans un faux documentaire au réalisme étonnant. C'est vraiment très bien fait et on entre en plein dans le trip. On regrettera juste l'une des scènes finales spoiler: qui concède au politiquement correct (avec un clin d'œil inutile aux films de zombies) quand la mère s'en va avec son bébé
…

Ce film d'horreur tente de révéler la vérité sur une hécatombe qui se serait passer dans une petite ville américaine sans histoire. La version officielle est bien évidemment édulcorée et, pour créer un choc et nous convaincre des faits, le réalisateur exploite les ficelles, très à la mode en ce moment, du found footage.
Décidément, je ne suis pas un adepte de ce style où nous sommes pris à témoin. Si l'idée de crédibiliser l'histoire, en usant exclusivement des soi-disant images issues des caméras laissées sur place au moment du drame, est plutôt bonne, le résultat est trop décousu et désynchronisé pour y adhérer complètement.
Il y a bien quelques séquences intéressantes, spoiler: comme la découverte de cette ville jonchée de cadavres,
mais l'ensemble manque d'impact.
Un traitement plus traditionnel avec une mise en scène plus élaborée aurait sans doute été préférable. Dommage.

Les found footage n'ont jamais été le genre de films qui m'ont particulièrement marqués. Ce genre de cinema est très répandu de nos jours, la plupart du temps, ces films sont des réussites ou des navets impardonnables. Pour ce qui est de celui-ci, Barry Levinson en est le réalisateur, on lui doit les réussites que sont '' Good Morning, Vietnam '', '' Rain Man '' et '' Sleepers ''. Prendre un réalisateur talentueux pour réaliser un found footage était une très bonne idée, et cela aurait pu nous faire voir ce genre de films d'un autre oeil. Et puis il y avait du potentiel, en effet, l'idée de base était très bonne et avait les possibilité de nous offrir un excellent film. Et lorsque le film reçut des critiques plutôt bonnes, l'espoir montait. Et au final, c'est très décevant, bon autant le dire tout de suite, ce n'est pas une catastrophe mais de justesse, en effet, certains points sauvent le film de la nullité. Le scénario est plutôt bon, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est du jamais vu, mais il y a de quoi faire un bon film. La réalisation de Barry Levinson est vraiment très intelligente, c'est filmé à la manière d'un documentaire, et c'est tellement bien gérée, qu'à force, on a l'impression d'assister à un vrai documentaire (comme dans '' Le Projet Blair Witch ''), alors que s'en est un faux. Le fait de placer une narratrice pour nous dire ce qu'il se passe est une bonne idée, car ça rend le film réaliste. Malgré que le scénario et la réalisation apportent des qualités au film, les défauts en sont malheureusement plus nombreux à mon goût. Pour ma part le principal défaut du film, c'est son rythme. Cela ne signifie pas que je trouve le film particulièrement lent, ça l'est à certains moments, mais ce n'est pas le reproche que j'ai à lui faire. Pour moi ce qui ne va pas dans le rythme du film, c'est que je trouve que l'histoire ne fait que tourner en rond, et c'est bien dommage. En effet, il se passe quelque chose vers les dix premières minutes du film, et on attend qu'une chose, c'est que ça puisse décoller, sauf que ça ne décolle pas, et ça rend le film répétitif. En revanche, les acteurs sont assez convaincants, Kristen Connoly, Jody Thompson et Micheal Beasley s'en sortent plutôt bien, pour ce qui est des autres acteurs, ils jouent bien, même si la plupart ont des progrès à faire. Par contre les personnages, ils ne sont pas clichés certes, mais personnellement je n'ai pas réussit à m'y attacher et à éprouver quelque chose pour eux. Pour ce qui est de scènes de tensions, elles sont à la fois réussites et à la fois ratées, au début du film, elles sont bien foutues, mais au bout d'un moment elles finissent par être lassantes et répétitives. Les jump scares sont peu nombreux, et dès qu'ils sont présents, ils ne sont malheureusement pas très bien maîtrisés, à l'exception d'un, où j'ai vraiment sursauté. En conclusion, '' The Bay '' n'est malheureusement pas une grande réussite à mes yeux, sans non plus être un très mauvais. Heureusement que le scénario et la réalisation parviennent à donner des qualités au film. On est loin d'atteindre le niveau d'un navet, mais cela n'empêche pas au film d'être moyen.

Ce film n'est pas mauvais et l'intention a l'air bonne. Sauf que j'en ai marre de me croire sur un bateau à chaque fois que je visionne un film avec caméra embarqué. C'est rigolo un temps mais au bout d'un moment on se désinteresse du film et on décroche complètement. A part ça, l'histoire est intéressante, quelques images chocs, un petit sursaut par ci par là... Et c'est tout. On termine le film avec des questions. Est-ce une histoire vraie? Est-ce que le gouvernement américain a vraiment caché cette épidémie au monde entier? On ne sait pas trop si c'est un reportage qui dénonce ou si c'est encore une blague comme les producteurs l'avaient déjà fait pour 'Paranormal activity'. Bref, film vu et vite oublié.

Ne le regardez pas comme un film d'horreur, mais plutôt avec horreur : comme un film d'anticipation.

"Par les producteurs de Paranormal Activity", cette phrase sur l'affiche me faisait très peur, mais sachant que Barry Levinson était derrière la caméra, le film méritait le bénéfice du doute. Et bien c'est une belle surprise. Sans effets balourds et n'ayant que très peu recours a la technique insupportable du jump scare, le film apporte une vraie réflexion, et surtout, a de vraies idées de mise en scène et de narration, ce qui est très très rare dans le genre du "found footage".