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excellemment interprété et à la force de rendre Sarkozy presque sympathique et émouvant zlors qu'il voit son rêve devenir réalité et sa femme disparaître au même moment.
on sait qu'il n'a pas mis longtemps à se consoler !
on sait qu'il n'a pas mis longtemps à se consoler !
C'est le genre cinématographique très difficile à réaliser et ce film s'en sort plutôt bien. On y voit un Sarkozy agité, bling bling, ambitieux mais surtout les coulisses de la politique d'Etat à savoir magouilles, attaques personnelles, train de vie royal. Ce film ne dérangera pas grand monde mais ils nous interrogent sur le pouvoir jupitérien du président de la cinquième république qui attire toutes les convoitises...
Synopsis : l'ascension de Nicolas Sarkozy au sommet de la République.
Critique : partagé entre les actions politiques de la campagne présidentielle et la rupture sentimentale avec Cécilia, la vie de Nicolas Sakozy est mise en scène dans un soucis de transparance. A trop ou pas assez noircir la vitrine politique française, le film ne devient qu'une caricature froide du jeu du pouvoir politique. Néammoins, on ne peut pas nier l'aspect théâtrale et l'impression de cirque médiatique assez bien retranscrit.
Critique : partagé entre les actions politiques de la campagne présidentielle et la rupture sentimentale avec Cécilia, la vie de Nicolas Sakozy est mise en scène dans un soucis de transparance. A trop ou pas assez noircir la vitrine politique française, le film ne devient qu'une caricature froide du jeu du pouvoir politique. Néammoins, on ne peut pas nier l'aspect théâtrale et l'impression de cirque médiatique assez bien retranscrit.
Je m'attendais à ce que La Conquête soit amusant, principalement à cause du sujet et j'avoue que cela m'a permis de regarder jusqu'à la fin. Je ne m'attendais pas à une comédie mais je m'attendais à quelques rires car Sarkozy a un moyen de vous faire sourire rien que par son apparence. Hélas il n'y a pas une scène digne d'un sourire dans ce film car on n'est même pas concerne par les acteurs. D'autres films similaires décrivant des événements politiques connus savent comment donner juste la touche de réalité mais fournissent une bonne intrigue qui peut être clairement fictive mais intéressante. Ce film va dans l'autre sens car tout est une question d'apparence cela a l'air réel les personnalités politiques semblent familières mais se sont des sosies.Il semble que toute l'intrigue a été écrite à partir de coupures de presse du Figaro et de Libération. Ils s'attaquent à la romance et à la façon dont les ambitions politiques tendent les relations mais cela n'est jamais développé ni étudié cela reste dans la même réalité que le film. Franchement le plus gros défaut de ce film est qu'il manque d'intensité. Il spécule sur ce qui a motivé et sur les décisions qui ont peut-être aidé Sarkozy à remporter les élections de 2007 mais il le fait de manière si ennuyeuse qu'à la fin vous ne savez pas à qui vous plaindre le plus vous-même pour votre temps perdu. Pour la perspicacité politique que ce film offre sur la politique française il suffit de parcourir les pages Wikipedia sur Chirac, Sarkozy et Villepin...
Ça a beau être une version fantasmée de l'accession au pouvoir de Nicolas Sarkozy (Denis Podalydès), c'est tellement bien écris et tellement bien joué que tout semble vrai. Nous plongeons au coeur même de la politique de notre pays, le moment où un homme a des envies de grandeurs et se lance dans les présidentielles. Amour, gloire, travail, coups bas, magouilles, argent, dorures, perte d'intimité... c'est ça la politique. Dans le même genre je conseille QUAI D'ORSAY avec Thierry Lhermitte qui s'inspire de Dominique de Villepin.
Un très bon biopic, les imitateurs/acteurs sont de talent, les faits véridiques, les discours cités à l'identique.
Le regard affuté sur la politique française est d'une grande justesse: ironique sans cruauté, réaliste sans cynisme.
Ce film pourrait s'appeler : le vol, l'ascension, l'acaparation mais son réalisateur a choisit la conquête : et c'est réellement le meilleur titre qu'il pouvait trouver : un homme, son combat pour gagner, sa perte de la femme qu'il aime.
Que l'on aime ou déteste Sarkozy difficile de rester froid face aux prouesses de personnages très humains, dans un monde qui ne l'est plus depuis longtemps.
A voir pour ceux et celles qui on remarqué que le cinéma français s'intéresse de plus en plus à la politique.
Le regard affuté sur la politique française est d'une grande justesse: ironique sans cruauté, réaliste sans cynisme.
Ce film pourrait s'appeler : le vol, l'ascension, l'acaparation mais son réalisateur a choisit la conquête : et c'est réellement le meilleur titre qu'il pouvait trouver : un homme, son combat pour gagner, sa perte de la femme qu'il aime.
Que l'on aime ou déteste Sarkozy difficile de rester froid face aux prouesses de personnages très humains, dans un monde qui ne l'est plus depuis longtemps.
A voir pour ceux et celles qui on remarqué que le cinéma français s'intéresse de plus en plus à la politique.
Film inutile, quelqu'un peut m'expliquer quel est l'intérêt de ce film ? La seule chose intéressante c'est la prestation des acteurs qui est tout simplement remarquable. Mais à part ça le film est sans intérêt c'est un mélange entre close et le journal libération.
Un film tout simplement passionnant, à la fois drôle et bien pensé, qui nous fait plonger dans les méandres de la vie politiques française, à travers les 5 années d’ascension du futur président Sarko 1er. Entre stratégie et communication (l’utilisation des médias et la propagande), entre phrases assassines de Chirac (Bernard Le Coq est hilarant à chacune des ses interventions et toujours prêt à écraser le « nain ») et coups bas de De Villepin (les repas en tête à tête son savoureux, tout comme sa sortie de l’eau façon Alerte à Malibu), on rit autant qu’on en apprend sur les coulisses du pouvoir.
Coté casting, Denis Podalydès est tout simplement excellent, il joue à merveille le rôle de Sarko, reprenant la plupart de ses mimiques et de ses intonations (à la limite de la caricature parfois), et même si physiquement il ne lui ressemble pas franchement, on finit par totalement adhérer, au point de se croire davantage dans un documentaire que dans un film. Son interprétation troublante permet également une chose que je n’imaginais pas possible, connaissant l’individu : éprouver de l’empathie pour Sarko, lorsqu’on le voit si faible et désemparé face à la perte de sa femme et le choix qui s’impose à lui. D’ailleurs, le montage choisi par le réalisateur est très intéressant, il nous fait naviguer continuellement entre le jour du vote final où il se retrouve seul et perdu, à attendre désespérément Cécilia, et toute la campagne précédant son accession au « trône ».
Le seul reproche que l’on peut faire au film, c’est justement qu’il manque clairement de parti pris, qu’il choisit de rester neutre au risque de se rapprocher davantage du documentaire que du film. D’ailleurs, l’avertissement du début annonçant que tout n’est que fiction est soit très ironique, soit franchement abusé. J’aurais souhaité une approche plus virulente, plus engagée, permettant de s’éloigner du simple constat pour aller peut être davantage dans l’analyse, dans la remise en cause. Cela aurait aussi permis de justifier l’utilité du tout…car au final, on ne comprend pas très bien l'intérêt du film, son but réel !
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Coté casting, Denis Podalydès est tout simplement excellent, il joue à merveille le rôle de Sarko, reprenant la plupart de ses mimiques et de ses intonations (à la limite de la caricature parfois), et même si physiquement il ne lui ressemble pas franchement, on finit par totalement adhérer, au point de se croire davantage dans un documentaire que dans un film. Son interprétation troublante permet également une chose que je n’imaginais pas possible, connaissant l’individu : éprouver de l’empathie pour Sarko, lorsqu’on le voit si faible et désemparé face à la perte de sa femme et le choix qui s’impose à lui. D’ailleurs, le montage choisi par le réalisateur est très intéressant, il nous fait naviguer continuellement entre le jour du vote final où il se retrouve seul et perdu, à attendre désespérément Cécilia, et toute la campagne précédant son accession au « trône ».
Le seul reproche que l’on peut faire au film, c’est justement qu’il manque clairement de parti pris, qu’il choisit de rester neutre au risque de se rapprocher davantage du documentaire que du film. D’ailleurs, l’avertissement du début annonçant que tout n’est que fiction est soit très ironique, soit franchement abusé. J’aurais souhaité une approche plus virulente, plus engagée, permettant de s’éloigner du simple constat pour aller peut être davantage dans l’analyse, dans la remise en cause. Cela aurait aussi permis de justifier l’utilité du tout…car au final, on ne comprend pas très bien l'intérêt du film, son but réel !
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
En allant voir "La conquête" film sur l'ascension au pouvoir de Nicolas Sarkozy (2002-2007), je pensais découvrir un grand film sur les coulisses du pouvoir. En réalité j'ai vu une gentille parodie de la scène politique récente. Un Guignols de l'infos soft
Je ne m'attendais pas à un film politiquement engagé, mais au moins à quelque-chose d'un petit peu sérieux...alors que c'est pratiquement une comédie. Il n'y a rien à comprendre, juste à sourire...
Je ne m'attendais pas à un film politiquement engagé, mais au moins à quelque-chose d'un petit peu sérieux...alors que c'est pratiquement une comédie. Il n'y a rien à comprendre, juste à sourire...
Un film apparemment réalisé par un extra-terrestre qui n'a pas mis un pied en France durant la période 2007-2012. On nous y présente, en effet, un grand, un beau, un très sympathique, un merveilleux Président Sarkozy (superbement interprété par Podalydès) et surtout bien propre sur lui et "qui s'est fait tout seul"... Aucun défaut sinon dans son couple!
Les autres rôles et personnages sont trop lointains, trop caricaturaux, et l'intrigue ne nous apporte rien par rapport à tout ce que nous avons souffert d'actualités durant la période de cette campagne 2007; pas un détail nouveau!
Bref, un film de campagne, à vomir de militantisme et qu'on te fait payer, cher spectateur.
(SVP: ne pas rétorquer "sale gauchiste", Hollande aussi fut un mauvais Président).
Les autres rôles et personnages sont trop lointains, trop caricaturaux, et l'intrigue ne nous apporte rien par rapport à tout ce que nous avons souffert d'actualités durant la période de cette campagne 2007; pas un détail nouveau!
Bref, un film de campagne, à vomir de militantisme et qu'on te fait payer, cher spectateur.
(SVP: ne pas rétorquer "sale gauchiste", Hollande aussi fut un mauvais Président).
Même si l'on n'apprend rien "d'historique" dans ce film qui par sa mise en scène se rapproche d'une série télévisée d'après-midi, reste une plongée satirique et cynique dans les coulisses d'une campagne présidentielle qui aurait cependant gagné à ne pas rechercher à tout prix les ressemblances physiques avec les protagonistes de celle de 2002 au vu des caricatures finales! Seul Denis Podalydès évite un certain ridicule grâce à un jeu subtil et nuancé.
Une formidable comédie qui dépeint les "monstres" politiques que sont devenus tous ces humains pétris d'ambition.
Chaque personnage est pris dans un jeu de stratégie, et ce jeu ne s'arrête jamais. Seul Cécilia va en sortir; et son départ va provoquer un cataclysme émotionnel chez le personnage principal.
Au fond, il ne s'agit pas de savoir si la vérité des faits est précisément relatée, mais plutôt de considérer, dans cette histoire, la notion de spectaculaire qui existe jusque dans l'intimité des protagonistes. On dirait qu'il n'y a plus de moment de vérité humaine. Ou alors , noyée dans l'ambition , la sincérité humaine est elle aussi devenue monstrueuse.
Et tout cela est drôle, grinçant, tragique, étrange, inhumain.
Les dialogues sont un plaisir. Les interprètes sont parfaits, et ceux qui jouent les stars politiques assument totalement cette notion monstrueuse qui fait qu'une personne ultra médiatisée peut risquer de devenir sa propre caricature.
Un grand bravo.
Chaque personnage est pris dans un jeu de stratégie, et ce jeu ne s'arrête jamais. Seul Cécilia va en sortir; et son départ va provoquer un cataclysme émotionnel chez le personnage principal.
Au fond, il ne s'agit pas de savoir si la vérité des faits est précisément relatée, mais plutôt de considérer, dans cette histoire, la notion de spectaculaire qui existe jusque dans l'intimité des protagonistes. On dirait qu'il n'y a plus de moment de vérité humaine. Ou alors , noyée dans l'ambition , la sincérité humaine est elle aussi devenue monstrueuse.
Et tout cela est drôle, grinçant, tragique, étrange, inhumain.
Les dialogues sont un plaisir. Les interprètes sont parfaits, et ceux qui jouent les stars politiques assument totalement cette notion monstrueuse qui fait qu'une personne ultra médiatisée peut risquer de devenir sa propre caricature.
Un grand bravo.
Denis Podalydès est excellent dans le rôle du président Sarkozy. Bernard Lecop est sublime dans le rôle de Jacques Chirac.
Malgré une critique assez perplexe, je trouve que La conquête est un bon film français très intéressant qui ne laisse pas de vides, par ses dialogues incroyables. Un Podalydès sympathique. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 4/5
Dans l’intimité des hommes de pouvoir. Epoustouflante interprétation de Denis Podalydes dans le rôle de Sarkozy et aussi de Bernard Lecoq et Florence Pernel (Jacques Chirac et Cécilia Sarkozy). Un film qui mérite d’être vu.
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