malveillance est vraiment un film qui vous tiendra en haleine, l'acteur principal joue formidablement bien dans son rôle de concierge dépourvu d'empathie. Un film noir ou le suspense et la musique joue un rôle important, je n'ai pas vu le temps passé.
Un thriller qui n aurait sûrement pas déplu à Alfred Hitchcock. Malveillance est un huis clos pervers, très bien construit qui crée une véritable tension et chose rarement réussie arrive à faire craindre pour le sort de son vilain, que rien ne peut pourtant sauver. Un suspens efficace jouant sur le malaise avec une grande réussite.
Un bon petit film angoissant avec un luis tosar au meilleur de sa forme en revanche je le déconseille si votre gardien d'immeuble à une tête de psychopate
Malveillance" est un thriller psychologique intense et captivant. La performance de Luis Tosar, dans le rôle du concierge perturbé, est remarquable, ajoutant à la tension et au malaise du film. La réalisation de Jaume Balagueró crée une atmosphère oppressante, rendant ce film non seulement divertissant mais aussi une réflexion provocatrice sur la nature humaine. Un véritable bijou du genre.
Malveillance est franchement un bon films ce qui fait sa force c'est surtout son pitch de base, avec cet espèce de dégénéré s'introduisant chez les habitants de l'immeuble où il est concierge. Là où Malveillance est bien moins incroyable qu'il aurait pû l'être, Cnest surtout dans sa mise en scène qui ne nous fait pas ressentir assez d'effroi et assez de stress. Je m'attendais à une sorte de film d'horreur un peu façon Don't Breath, mais au final c'est un film un peu à mi-chemin entre un drame et un thriller. Le casting reste excellent et le scénario est suffisamment bon pour nous tenir en haleine donc je ne vais pas cracher dans la soupe, mais Cnest vrai que je pense que Malveillance aurait facilement pu être beaucoup plus choquant.
Jaume Balagueró est un réalisateur surestimé, ses films sont sympas mais loin d'être les chefs d'oeuvre que certains décrient, jusque là... Avec Malveillance, le réalisateur signe assurément sa plus belle oeuvre, on croirait du Álex de la Iglesia, ce qui n'est pas mauvais en soit. Son film est immersif, dès le commencement on est pris dans le tourment d'un récit machiavélique et simple à la fois. Il faut bien entendu ne pas avoir visionner le trailer avant pour que certaines idées fassent mouche comme son introduction qui fait froid dans le dos. Le personnage du concierge est excellent, l'acteur Luis Tosar est épatant et la sublime Marta Etura nous envoûte de sa beauté resplendissante. La tension arrive parfois à son maximum et certains passages sont presque limites comme celui avec la gamine dans sa chambre, d'ailleurs le concierge entretient une relation particulière avec elle jusqu'au moment où l'on comprend le pourquoi de leur différend. Les vacheries s'enchaînent et l'on déguste cette oeuvre avec gourmandise surtout pour les passages avec la belle Clara. Certaines zones d'ombre laissées telle quelle comme la mama sur son lit d'hôpital. On pense que le final sera mal torché mais il faut reconnaître la force de son scénario lors d'un dernier acte odieux qui annihile tout espoir happy end. Malveillance est le type de film plaisant de découvrir au cinéma et à redécouvrir lors de son exploitation vidéo.
Le scénario nous invite à nous mettre dans les pas de ce concierge, personnage assez ignoré dans son entourage et qui en ressent une sourde colère. On aurait dû le comprendre mais ce n'est pas franchement le cas, tant son approche psychologue reste assez sommaire. Le discours sur le plaisir de faire du mal est plutôt rare, et en cela bien vu Si le film sait créer un vrai suspense, il n'empêche qu'il y a pas mal d'invraisemblance chez les victimes du "héros" et que la psychologie. Pas mal mais c'est à mille coudés de JF partagerait appartement qui reste un de mes films préférés .
Petit thriller espagnol (par l’initiateur de la saga « Rec »), flirtant entre épouvante soft et comédie noire grinçante (sans réellement en réussir pleinement ni l’une ni l’autre), ce film de 2011 est cependant très bien réalisé et interprété (le prédateur et la proie sont convaincants). Dommage que d’un départ de scénario se voulant (sans doute trop) malin, l’histoire s’essouffle assez vite laissant deviner bien trop rapidement les maigres rebondissements. Le dernier quart d’heure réussit le paradoxe d’être à la fois prévisible et grand guignolesque. A part les plus impressionnables qui regarderont peut-être quelque temps sous leur lit avant le coucher, ce film ne laissera pas un grand souvenir.
Le film nous attache à son personnage malgré les atrocités commises par ce dernier, ce qui renforce la tension ressenti, bien filmer avec beaucoup de précision.
Le personnage du film est machiavélique, tordu, mais quel bon comédien. La comédienne féminine est aussi très bonne. L'histoire quand à elle, donne la nausée. Malgré tout, j'aurais préféré une autre fin.
"Déroutant" est le mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce film complètement décalé...unique en son genre. Le personnage de Cesar est vraiment hallucinant et on a beaucoup de mal à associer ces agissements à son apparence.... une sensation difficile à décrire. Derrière Luis Tosar, le reste du casting est impeccable et il découle de ce scénario machiavélique un thriller redoutable, complètement..... "déroutant".
Clairement, ce film a beaucoup pour lui et pourtant, il n'avance pas ses pions comme un gagnant. Le temps passe bien, mais la sensation de manque à gagner l'emporte...