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    Malveillance
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    3,7
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    401 critiques spectateurs

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    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Malveillance a un sujet qui aurait pu véritablement nous glacer d'effroi. Pourtant Jaime Balaguero ne parvient pas à impliquer pleinement le spectateur malgré une intrigue à laquelle on peut plus facilement s'identifier que pour Rec. Si vous êtes en appartement et que votre concierge vous semble bizarre, vous regarderez sûrement sous votre lit avant d'aller vous coucher après avoir vu le film. Après une scène d'introduction brillante avec un réveil original qui nous plonge immédiatement aux côtés de ce concierge à la fois charismatique et antipathique, le film perd peu à peu en intensité. Il faudra attendre le final et la perte de contrôle de notre anti-héros pour vraiment se sentir de nouveau absorbé dans un film qui ne réussit pas à convaincre dans son côté psychologique. Certaines relations entre les protagonistes semblent improbables et même si les prestations des acteurs sont bonnes, cela ne suffira pas. Malveillance restera un thriller à l'histoire originale mais qui aurait pu être mieux exploitée.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mai 2013
    Le cinéma espagnol m'épate toujours. Thriller très sombre, excellente mise en scène de la part du réalisateur de "Rec". A voir.
    gregbutton
    gregbutton

    27 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2014
    Du bon ciné espagnol, bien malsain. Mention à Kyan Khojandi et Guy Lagache, bien dans leurs rôles. Une mise en scène trés classique, des perso simples. Quelques défauts, un peu trop facile dans l'ensemble, un léger manque de réponse / incohérence sur la fin (il devrais finir en tole rapidement et non recommencer et le pers. principal nous dit qu'il se connaissent d'avant)..
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 avril 2013
    Le réalisateur espagnol Jaumé Balaquero aime apparemment les histoires qui se passent dans des immeubles comme dans quatre autres de ses précédents films : Darkness (2002), A louer (2006) ainsi que les fameux [Rec] (2007) et [Rec] 2 (2009). Quoi qu’il en soit, l’histoire de ce gardien d’immeuble « malveillant » promettait beaucoup.

    Non pas que le film soit complètement raté, mais il n’arrive finalement jamais à combler les attentes placées dans l’idée de départ. Il devient même vite assez prévisible dans certaines scènes, la faute à un scénario un brin tiré par les cheveux et finalement assez classique. Certains des personnages ne sont pas assez travaillés, voir caricaturaux et les ficelles scénaristiques loin d’être invisible à certains moments, ce qui enlève au film un peu de crédibilité, donc de saveur.

    Toutefois, Malveillance possède quand même quelques qualités. Tout d’abord l’acteur principal, Luis Tosar, étoile montante du cinéma espagnol, est très bon dans son rôle de psychopate affable la journée et effroyable la nuit tombée. Il arrive à jouer ces deux personnalités à la perfection et rappelle d’ailleurs la peformance d’un autre acteur hispanique de grande qualité : Sergi Lopez dans le film Harry, un ami qui vous veut du bien (2000) de Dominik Moll. Sans aucun doute, Luis Tosar porte le film sur ses épaules.

    Autre qualité du film : sa perversité assumée. Le réalisateur va très loin dans ce sens et on sent le plaisir qu’il a de filmer ce gardien d’immeuble ruiner à petit feu la vie de cette jeune femme. Tel une blatte, les insectes que libère le gardien dans l’appartement de la pauvre femme, César le gardien s’infiltre partout où il peut, mettant en œuvre son plan diabolique, caché dans les recoins les plus sombres. Sous le lit de sa vicitime, c’est là que se cache toutes les nuits le malveillant. Peur ultime de l’enfance : « Le monstre sous le lit », devient ici réalité.

    La perversité du film est accrue par le fait que l’histoire soit écrite du côté du terrible gardien et non pas de celui de sa jeune victime. Celui-ci s’acharne sur elle de plus en plus tout au long du film, la harcelant jusqu’à l’épuisement, dans une relation extrême d’amour/haine. Le gardien a décidé qu’il pourrirait la vie de cette femme et il ira jusqu’au bout.

    Si certains personnages avaient été un peu plus recherchés et charismatiques, le scénario un peu moins prévisible par moments et si le film en lui-même avait eu une petite touche personnelle, une « patte » d’un réalisateur plus confirmé dont la perversité, le huis clos et la folie seraient des thèmes de prédilection, alors Malveillance aurait pu devenir un excellent film. Malgré cela, on ne crachera pas dans la soupe !
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    325 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 avril 2013
    Voila un film que n'aurait pas renié un certain polanski. D'ailleurs à l'instar de notre pédophile préféré, on y retrouve les mêmes thèmes et obsessions : Un appartement et ses habitants, un climat paranoïaque et un brin de folie meurtrière. Et comme Polanski, "malveillance" est un film qui met extrêmement mal à l'aise. Cet homme qui rentre dans les appartements la nuit pour se cacher sous le lit, nous touche au plus profond de notre être et ressuscite nos craintes les plus intimes. A savoir le peur bourgeoise de voir quelqu'un pénétrer dans notre sphère privée, et celle plus enfantine, mais inconsciemment présente, d'avoir sans le savoir un monstre tapie sous notre lit qui nous scrute pendant notre sommeil. En cela, "Malveillance" est d'une certaine manière bien plus effrayant que le très bon [rec], malgré l’absence d’anthropophage enragé. Ajoutons à cela un suspense hitchcokien, et vous avez là un thriller qui rivalise aisément avec les maîtres du genre.
    remy d.
    remy d.

    14 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 avril 2013
    Un film qui est difficil a suivre tant il peut connaitre des longueurs mais l'histoire est pas trop mal.
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2013
    Honnête film de genre, mais on ne sent pas le même talent que dans REC n°1; malsain mais pas tout à fait effrayant, il manque quelque chose.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 mars 2013
    superbe, bien ficelé ! à voir absolument ! le top du cinéma espagnol qui est en pleine ascension !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 mars 2013
    Ce film est un simple régal. Malsain à souhait sans être voyeur. Tout y est bien interprété. Des moments de tensions, de la perfidie, un excellent cocktail avec un seul décor principal. Si on pourrait lui regretter une seule chose ça serait, une tension pas poussée au maximum. La fin laisse croire à tous les fantasmes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 mars 2013
    Un film intense et dérangeant qui se concentre sur l'obsession d'un concierge sociopathe par rapport à l'une des résidentes de son immeuble. Le scénario est intelligent et cruel et va forcément irriter le spectateur à un moment ou un autre puisqu'il nous interroge sur le rapport à l'autre et à nos voisins en particulier. Luis Tosar est flippant à souhait dans le rôle principal, à tel point qu'on jettera sans doute un coup d'oeil sous son lit avant de s'endormir, histoire d'être sûr.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mars 2013
    De tous les réalisateurs les plus prometteurs dans le cinéma de genre, Jaume Balaguero a certainement révélé l'un des meilleurs potentiels depuis ces quelques dernières années. Qu'il s'agisse de sa troublante Secte Sans Nom, de son classique mais efficace Darkness, de son glacial Fragile ou encore de son terrifiant REC premier du nom, le cinéaste a su dévoiler à travers ses oeuvres un talent indéniable derrière sa caméra. C'est donc avec pas mal d'attentes que l'on rentrait dans la salle de cinéma pour son tout dernier Malveillance, il y a à peine plus d'un an. Une chose est sûre, et à l'image de ses oeuvres précédentes, on n'en sort pas indifférent. Malveillance est le premier thriller pur du cinéaste sur le papier, mais ne s'éloigne jamais vraiment de son genre de prédilection. Le film suit l'histoire et le parcours de César, un modeste concierge d'immeuble, incarné par un Luis Tosar mystérieux, insaisissable et étrangement dérangeant dés ses premières apparitions à l'écran. Si Balaguero accordait une place très particulière au fantastique dans ses métrages précédents, on constate cette fois-ci que les quelques fantômes, zombies et autres apparitions surnaturelles sont totalement exclues de Malveillance, au profit d'un seul et unique personnage on ne peut plus terre à terre mais dont la capacité à effrayer n'est clairement pas en reste. A lui seul, César incarne tout ce dont une personne normalement constituée pourrait avoir peur. Et si son personnage arrive à être si percutant et dérangeant à la fois, c'est en grande partie grâce à la sobriété qu'adopte tant sa mise en scène que son interprétation d'une justesse remarquable. Evoluant dans un décor restreint, l'enceinte de l'immeuble, aussi minimaliste soit-elle, il se crée autour du personnage principal une atmosphère étouffante, presque claustrophobique, et ce d'autant plus lorsque le film commence à jouer de nos peurs les plus instinctives. Qui n'a jamais ressenti cette désagréable sensation d'être observé, épié, ou encore suivi à son insu ? Quel enfant ne s'est jamais demandé si des monstres ou des méchants ne peuplaient pas le dessous de son lit ? Comment un objet a-t-il pu mystérieusement se déplacer ? Et c'est ce qui effraie et dérange le plus dans Malveillance, le sentiment de pouvoir être confronté à ce genre de situations dans la vie de tous les jours, le sentiment de ne jamais connaître la réelle identité des personnes que l'on croise pourtant quotidiennement. La crédibilité du film lui fait respirer la réalité, et l'on s'y projette d'autant plus facilement. Malveillance s'inscrit donc à son tour sur la liste de plus en plus longue des meilleures oeuvres de genre espagnoles, mais également des plus éprouvantes. Sûrement l'un des films les plus matures de Jaume Balaguero, pour ne pas dire le plus abouti. Notre cher cinéaste a officiellement compris et assimilé les parfaites recettes de la peur à l'écran, la peur simple et efficace, avec très peu de moyens ; mais également de la manipulation des spectateurs, en nous laissant cogiter et réfléchir plus d'une heure sur la véritable nature du personnage, en s'amusant à le rendre presque attachant un instant puis littéralement terrorisant l'instant d'après. Monstre ou victime, pitié ou pur dégout, difficile de décrire ce que l'on ressent pendant toute la durée du film, partagés entre l'attachement que l'on porte naturellement à la jeune femme victime malgré elle des malversations de César, et celui de César lui-même. Une fois de plus, le réalisateur place donc les relations humaines au centre de toutes les attentions. Les pires psychopathes n'ont parfois pas le visage auquel on s'attendrais, c'est sûrement ce que l'on retiendra de Malveillance qui nous embarque sans mal dans les tréfonds des pires déséquilibres psychologiques humains, un crescendo horrifique aux côtés d'un personnage que l'on est pas prêt d'oublier.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2013
    Bon film espagnol, avec un personnage au fond malsain qui se complaît dans le malheur des autres. Un peu dérangeant et parfois stressant, sans être un chef d'oeuvre, c'est un bon film du genre. Le côté voyeur revisité apporte un petit plus!
    Mr T.
    Mr T.

    4 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2013
    Le thème du voyeur s'introduisant chez ses victimes la nuit est assez fréquent au cinéma. Luis Tosar y joue pour moi le personnage le plus malsain.
    Elle est terrible cette histoire, bien plus crédible malgré tout que les autres adaptations du sujet. Ici point de systèmes video ultrasophistiqués, mais du simple chloroforme. C'est machiaveliquement simple. Certaines scènes font froid dans le dos, et le réalisateur amplifie l'intensité dramatique (scène qui se conclut par la chute du bananier). La méchanceté pure du personnage principal laisse pantois d'autant qu'il est perfide.
    La fin se termine en une légere queue de poisson, laissant toute liberté d'imaginer.
    Jaume Balagueró démontre une fois de plus que c'est un virtuose. J'avais été très impressionné par rec., qui a eu d'ailleurs un remake américain à 100%, clone parfait de l'original.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 mars 2013
    Le concierge psychopathe le pitch intéressant. Malheureusement, le réalisateur de "REC" a été assez soft, mis à part le twist final. On ne ressent pas vraiment de tension.
    iceman7582
    iceman7582

    48 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mars 2013
    Un bon petit film de suspens. Un scénario assez solide accompagné de quelques scènes angoissante à souhait. Les acteurs jouent correctement et la mise en scène tient la route. Pourtant on aurait aimé un peu plus de folie et de tension. À voir toit de même pour les amateurs du genre.
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