anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 12 décembre 2013
Visuellement riche, mais pauvre en scénario. S'il on suit bien, on peut prédire aisément ce qui va suivre. Prévisible et décevant, c'est dommage, parce que l'idée de départ était originale et le casting attirant. Il reste divertissant.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 12 décembre 2013
Le concept était intéressant. Malheureusement, les images lors de certaines scènes d'actions sont floues.
Le scénario est prévisible spoiler: (l'ami julio qui meurt alors qu'il n'est pas taillé pour le combat)
. Les "méchants" en font trop spoiler: (l'agent Kruger)
et les voix françaises transforment ce blockbuster en parodie... dommage.
Matt Damon à fait de bien meilleurs prestations mais c'est peut être lui qui sauve en partie le film.
Ambiance "District9" bas de gamme. Neill Blomkamp devrait ce changer les idées...
2,0
Publiée le 11 décembre 2013
Elysium c’est le genre de films qui vous fait dire « Dommage ! ». Dommage parce que ça aurait pu être fichtrement bon, dommage parce que le pitch de départ était sympathique… dommage parce que c’est quand même carrément raté.
Affiché comme promesse de succès, le nom de Neil Blomkamp à la réalisation donnait envie. Après tout « District 9 » avec ses allures de documentaire et son parti-pris inattendu avait su séduire. Par ailleurs, il bénéficiait d’une réalisation à la fois soignée et à part. Hélas, notre cher ami Neil a laissé ses bonnes idées au placard et nous sert avec Elysium une production sans âme, calibré sur les standards de l’industrie Hollywoodienne et bourrée de clichés.

« On parie que le meilleur ami il crève ? »

Ce qui est drôle avec le critique cinéma moyen, c’est qu’il s’arrange toujours pour faire deux choses :
1) Casé une phrase incroyablement mal construite avec un ou deux termes à connotation digne de l’intellectuel parisien versé dans l’art de l’auto-fellation cérébrale.
2) Placé de la politique de bas étage histoire d’hameçonner le spectateur lambda et un peu bas du front.
En l’occurrence :
1) « sa transposition militante du fossé entre riches et pauvres manque d'enjeux et n'échappe pas à un certain manichéisme. »
2) « une fable d'anticipation sur la lutte des classes »
Avec ça, si même Papy Karl ne se sent pas concerné il y a un problème.
Le souci, c’est que parler de lutte des classes au sujet du « Meilleur des mondes » de Huxley je veux bien, mais à propos d’Elysium ça revient à dire que le SDF qui a un carton comme toit dispose d’autant que l’ami Bill Gates. Vous me suivez ? Pour faire court : ça n’a pas de sens.
Ici la lutte des classes s’arrête à une chose : les hispaniques et autres types de basanés crèvent de faim sur notre très chère Terre tandis que les Blancs snobinards (Français s’il vous plait) se rincent le gosier et coulent des jours heureux sur Elysium, une station orbitale de luxe. Ça fait un peu léger pour causer de lutte des classes, surtout lorsqu’un seul des protagonistes concernés se bouge vraiment le tronc.
On tient ici le premier cliché d’un film qui en recèle un nombre conséquent. Outre les « hey amigo vient on va voler des voitures » et le pincement de nez de Jodie Foster à la vue des prolos, les deux heures de long-métrage sont employés à voyager de raccourcis en raccourcis. Que voulez-vous, la facilité ça attire.
Pêle-mêle on pourra dire que le meilleur ami à qui on avait pourtant promis que « hey amigo on ne va pas crever ici, ça non » et bien il finit par mourir, que le héros il est badass mais juste ce qu’il faut tu vois, il se fait quand même bien démonter le portrait et ce à plusieurs reprises.
Sans doute pour renforcer le côté « en bas on en a gros », le pourri du coin à établit son camps et fait passer de manière clandestine des Terriens afin qu’ils aillent se faire exploser le bulbe dans les étoiles. Pourri qui s’avérera finalement être… franchement sympa, puisqu’il aide Damon tout du long alors qu’il est censé lui en vouloir. Quand je vous dis facile.
Histoire de continuer de creuser sa tombe, Elysium emploie la bonne grosse corde de marin de la promesse faite quand les protagonistes étaient jeunes, nous offrant au passage des plans gentiment coulant de niaiserie de deux enfants courant dans les rues des bidonvilles.
A ce moment-là, tu réalises que la mention « d’après une idée originale de » a franchement rien à foutre dans le générique de fin.

« Allez viens, moi je suis le gentil, lui il fera le vilain et toi t’es la méchante présidente ! »

Autres noms affichés comme autant de promesses, Jodie Foster et Matt Damon sont censés porter le film à bout de bras. Le souci demeure que lorsque le scénario est écrit avec les pieds lors d’un soir de cuite et que la mise en scène relève du jeu de bac à sable il est dur d’exceller, tout nommé à l’Oscar que l’on puisse être. Ainsi, Damon ne fait que deux choses : courir comme un perdu et s’évanouir… pour se réveiller et se remettre à courir comme un perdu. L’histoire ne devient qu’un prétexte à une course poursuite des plus rasoirs entre Matt et Sharlto « Chuck Norris » Copley (la ressemblance est pire que troublante). A noter que notre vilain pas beau étant tellement hargneux que même lorsqu’une grenade vient lui exploser gentiment la mâchoire (et a peu près tout ce qui constitue son visage d’ailleurs), le cerveau de ce dernier reste intact. Con comme ses pieds mais solide le bougre !
Quant à Foster elle est confondante de médiocrité, ne parvenant qu’à plisser le nez d’un air dégouté tout au long des 4 pauvres scènes où elle apparait avant d’aller se faire éclater la carotide par l’ami Chuck qui vit assez mal l’intensité des opérations chirurgicales subies.
Au final on se retrouve avec le talent de trois enfants dans leur jardin, à première vue c’est plutôt mignon mais à y regarder de plus près c’est affligeant. A 200 millions le film, on ne bénéficie même pas du privilège de pouvoir mettre un coup de pelle aux acteurs, triste.

« Y’a plus d’SF ma bonne dame, moi j’vous l’dis ! »

Elysium est malheureusement le reflet de la SF depuis 10 ans, les idées s’accumulent, les projets se multiplient mais pour n’aboutir que sur des demies-histoires. Des bribes de Bradbury par-ci, un bout d’Huxley par-là, le tout sur rythme de Fast and Furious. Quand on aura compris que la SF ce n’est pas ça, peut-être fera-t-on une avancée. Si la direction artistique et la photographie sont admirables, elles ne suffisent à sauver le film de son naufrage. A l’instar d’Oblivion et de son scénario en carton-pâte, Elysium ne convainc pas une seconde malgré un rythme dopé au Redbull et une histoire qui se veut touchante et engagée. Amis journaleux, pour la lutte des classes on repassera. Dommage.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 11 décembre 2013
Scénario remâché comme c'est pas permis, et bien que les effets spéciaux soient parfaits, il n'y a pas vraiment d'intérêt à regarder ce film... Oui ça reste un film d'action alors ça passe, mais franchement il y en a des tellement mieux que je suis certaine que j'oublierai totalement avoir un jour vu ce film tellement il ne m'a fait ni chaud ni froid...
(En plus Matt est chauve, du coup il est moche, franchement NON !)
2,0
Publiée le 9 décembre 2013
Bon, pas la peine d'écrire un roman, c'est pas terrible.
Suis fan du genre et assez bon public, mais la c'est du Blockbuster série B assez convenu.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 9 décembre 2013
la sauce ne prend pas ... bastons mal filmés, personnages baclés , fin prévisible et larmoyante , bref , ce film ne restera pas dans les annales.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 7 décembre 2013
Après le très bon District 9, Neill Blomkamp nous sort Elysium.
Après un chef-d'oeuvre pourquoi ne pas s'attendre à encore mieux?

Hé bien non.. Elysium déçoit, bourré d'incohérence malgré de bon effet spéciaux, j'ai été déçu.
On retrouve tout de même la patte de District 9, les environnements (sur terre) sont très semblable, l'idée des robots est là aussi.

Elysium est un gros Blockbuster pour grand public, à regarder en mangeant du pop-corn en se débranchant le cerveau.

Le scénario n'est pas recherché non plus.
Sur terre, les pauvres, sur Elysium les riches.
Les terriens veulent aller vivre sur Elysium pour guérir leur maladie - entre autre - donc un groupe de militant se batte pour la cause, un super vilain spoiler: traitre
, des explosions et finissent par y arriver..

Au final je m'attendais à beaucoup mieux, j'ai été très déçu.
2,0
Publiée le 6 décembre 2013
il faudrait créer un mouvement "touche pas à la SF" car cette production est un vrai massacre de la SF
2,0
Publiée le 6 décembre 2013
Blomkamp est pour moi une véritable déception. Si d'un point de vue artistique le monsieur assure, côté scénario, c'est un manche. Avoir une conscience sociale est une bonne chose, mais pour que cela ait un sens, il fat avoir une vue d'ensemble des événements. Ainsi, dire que la ségrégation raciale c'est mal est un fait. Mais dire que les afrikaners ou les sudistes sont tous méchants et racistes, et que les noirs ou les nordistes sont tous gentils et bienveillants est d'une énorme stupidité. Le manque de recul historique et culturel conduit au manichéisme et une vision binaire de l'Homme et de son Histoire est pas essence même totalement fausse. Tout cela pour dire que District 9 et Elysium sont aussi ridicules l'un que l'autre d'un point de vue scénaristique et qu'il ne prennent en compte qu'un seul point de vue alors qu'il y aurait tellement mieux à faire... Mais pourquoi diable ces élites décident elles de quitter la Terre alors qu'il serait plus simple de la transformer en havre de paix ? Quid de l'attachement des gens à leur terre d'origine, tout capitalistes puants qu'ils soient ? Enfin... que pouvait-on attendre d'autre de la part d'un petit bobo, fusse-t-il sud-africain. D'un autre côté, On ne peut pas reprocher à Blomkamp d'assurer le spectacle avec une réalisation qui sait faire la part belle aux techniques filmiques les plus modernes et pointues (mention pour ses fameux passages en "shacky cam" tout en finesse qui rythme parfaitement l'action sans donner le tournis) sans que effets spéciaux et fonds verts ne prennent trop le dessus. Les scènes d'action sont excellentes et le duel Damon/Copley vaut le coup d’œil. A noter que la direction des acteurs est très bonne, ceux-ci étant d'une justesse trop rare à notre époque, autre point en faveur des qualités de réalisateur de Blomkamp. En conclusion, un film à voir tout en débranchant le cerveau et espérant qu'un jour, ce réalisateur prometteur laisse des gens plus doué que lui au scénario pour arrêter de nous servir de la soupe bien-pensante pour décérébrés...
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 8 janvier 2014
[...]Elysium avait beaucoup d’avantages sur le papier. Un univers, des acteurs et un bon réalisateur. Mais voilà, le pari de privilegier l’action plutôt que le scénario fait que le tout s’essouffle à une très grande vitesse n’apportant aucune saveur à ce qui devait être un bon plat de résistance. Au final c’est un film banal avec de belles images et de bons acteurs.

Retrouvez la totalité de cette critique et bien d'autres sur:
Mr_Hyde99

17 critiques

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2,0
Publiée le 4 décembre 2013
Très déçu par ce Film que j'attendais avec impatience... Je suis pourtant fan du genre SF / Social: matrix, equilibrium, etc..

Au final juste l'idée de base est sympa mais je la trouve très mal traitée. Ce n'est jamais réellement spectaculaire, tout est très mal justifié, le pathos autour du personnage principal est vomitif, lors des combats on a pas l'impression que son armature métallique fasse une grosse différence. Les personnages sont plats et clichés...

En bref, Elysium n'arrive jamais a nous emmener a une sensation épique ou titanesque comme les affiches ou les bandes annonces nous l'avait suggéré. On se retrouve donc avec un film de SF pas très original ni surprenant et qui manque de cohérence.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 1 décembre 2013
A mi-chemin entre "district 9" (même réalisateur) et "oblivion" (pour le contexte!). Aucune idée nouvelle, un scénario très pauvre et peu crédible (Elysium est inversement moins protégée que sa technologie est développée). Dans district 9 on était surpris. Là on se lasse. Il reprend les mêmes décors avec des villes poubelles. Grosse déception.
On a ainsi droit à:
- une confrontation entre le gentil et le méchant à coup d'armure exo-skelett
- 2 stars du cinéma pour attirer la foule: matt damon et judie foster
- la veuve et l'orphelin (bon, sa fille, c'est pareil) à sauver

spoiler: Comme pour district 9, le héros (qui n'en est pas vraiment un en fait), ne finit pas très bien.
2,5
Publiée le 30 novembre 2013
Après l'excellent District 9, le retour de Neil Blomkamp à la réalisation avec un nouveau projet de SF promettait beaucoup. Et quelle déception !
Scénario beaucoup moins intéressant et inventif que son prédécesseur, l'histoire raconte une classique lutte des classes au manichéisme irritant. Avec ses rebondissements éculés (il faut sauvés la petite fille malade !) et ses personnages sans saveur du fait de leur caractérisation trop simpliste (le héros prêt à se sacrifier pour sauver ses semblables, le méchant bourrin et violent, la politicienne manipulatrice), le scénario ne fonctionne à aucun moment et finit même par ennuyer sur la fin du film.
La réalisation de Blomkamp n'est pas d'un meilleur niveau. Beaucoup moins inventive, encore une fois, que District 9, celle ci n'est sauvée que par les effets spéciaux tout à fait corrects.
Elysium est de la SF haut de gamme niveau budget mais très moyenne gamme niveau qualité.
Preuve en est s'il fallait encore le prouver, que pour ce genre de cinéma, le budget ne fait pas tout. Un bon scénario est préférable !
2,0
Publiée le 29 novembre 2013
Bof... Ce film n'a pas un très grand intérêt. Les images sont jolies, le jeu d'acteur se laisse regarder et les effets spéciaux sont bons. D'accord. Mais l'histoire est réchauffée, le rythme est lent, les dialogues sont conventionnels, l'humour absent et les enjeux... Au ras des pâquerettes. A éviter.
anonyme
Un visiteur
2,5
Publiée le 21 novembre 2013
Film pour passer le temps.
Pas de grande surprise tout au long du film.
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