anonyme
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1,5
Publiée le 17 décembre 2013
peux-t-on faire un film pire ! Scénario d'une banalité effrayante. Jeu d'acteurs pathétique. Réalisation formatée. Aucune inspiration. Reste quelques effets spéciaux mais tout le monde sait faire cela aujourd'hui. A éviter, même un dimanche soir.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 2 septembre 2013
En quelques mots je vais vous resumer le film bagarres gores,scenes d'amour bidon,gore,bagarres,cliches, bagarre,gore,cameraman ne savant pas filmer les combats du film et scene finale a la Disney que tous les pauvres vont sur esylium.L'incoherence c'est que si ils vont tous la bas Esylium va finir comme la ya pleins d'autres incoherences mais je ne citerais que celles discours sont d'une telle profondeur comme un mec qui chie.
1,0
Publiée le 15 janvier 2024
En 2154, les plus pauvres vivent sur une Terre surpeuplée et dévastée pendant que les nantis mènent la belle vie sur une station spatiale baptisée « Elysium ». Max, simple ouvrier, apprend qu’il ne lui reste plus que cinq jours à vivre après avoir été exposé à une trop forte dose de radiations. Il est alors prêt à tout pour rejoindre Elysium afin de se soigner.
Avec ce nouveau film socio-dystopique, Neill Blomkamp donne l’impression d’avoir réuni plusieurs blockbusters en un. Un peu de Terminator par ci, un peu d’Oblivion par là. Le tout mixé à du Mad Max version espace. Elysium, était a priori prometteur mais ne se résume au final qu’à une série de scènes d’action entrecoupées d’une intrigue mielleuse et convenue.
Si District 9, le premier film du réalisateur sud-africain était une œuvre originale dénuée de tout manichéisme, Elysium se contente du basique : « les pauvres gentils contre les riches méchants », le tout avec la même trame de base (un homme ordinaire confronté à une situation extraordinaire). Max incarné par Matt Damon, est comme Sharlto Copley dans District 9, tiraillé entre altruisme et égoïsme. Sauf qu’ici son choix se fait plus rapide et prévisible. La faute en partie à Frey (Alice Braga), copine d’enfance et potentiel future girlfriend qui ralentit ce dernier et ne l’aide pas à devenir l’anti-héros qu’on attendait. Le personnage de Spider (Wagner Moura) confère également au film ce sentiment dualiste. Sorte de Parrain du pauvre sur Terre, le bandit cupide se transforme...

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1,0
Publiée le 1 septembre 2013
Ennuyeux et fatiguant au final... Jodie Foster et Matt Damon eux mêmes sont méconnaissables! Un film pour rien!
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 1 septembre 2013
Film très décevant. Le scénario partait pourtant d'une idée intéressante. Après les 30 premières minutes il sombre dans l'incohérence, les invraisemblances, la simplisme, la platitude. Bref, dans une histoire à 2 balles qui tourne au combat entre 2 personnages. Avec des scènes qui donnent l'impression du déjà vu et déjà revu cent fois. Bien sûr l'image est belle, moyens du films obligent. Voilà un super thème bien gâché par un manque d'inspiration. Dommage. Car Matt Damon est en forme. Mais il n'arrive pas à sauver le film. Pas plus que Jodie Foster qui reste une excellente actrice mais dont on se demande ce qu'elle fait là.
anonyme
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1,5
Publiée le 31 août 2013
Trop de moments d'ennuis; c'est le principal défaut d'Elysium, en témoigneront les personnes ayant quitté la salle avant la fin de la diffusion. Si le spectateur s'ennuie devant un film d'action c'est qu'il manque le suspens, l'intrigue passionnante , et l'action justement malgré des scènes de combat entre pseudo droïdes qui slnt complètement vides, aucune émotion n'est présente. Performance trop légère de la part de Matt Damon, et un rôle majeur pour Jodie Foster qui tombe à l'eau à cause de la fin que le réalisateur a choisi pour son personnage.
Les effets spéciaux restent tout de même très bien faits, mais ce n'est plus ce qui rend un film unique aujourd'hui.
S'ajoute à cela les quelques moments d'émotions où l'on a essayé d'arracher quelques larmes aux spectateurs mais en vain. Beaucoup de bruit pour peu d'émotions au final.
Bref, déçue.
anonyme
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1,5
Publiée le 31 août 2013
On ne rentre pas dans le film, sinon rien a dire de plus, je l'ai trouve sans intérêt... Et quelques scènes de violences non expliquées...décevant car il y a de bons acteurs et une idée de scénario qui tient la route.
1,0
Publiée le 16 janvier 2014
Consternant. La déception est d'autant plus douloureuse que j'attendais beaucoup de l'auteur de District 9 qui, quoique surestimé, était un bon film de SF. Au lieu de ça je crois qu'il s'agit du Blockbuster le plus raté d'un été pourtant riche en navets. Tout sonne faux dans Elysium les dialogues sont dignes de statut Facebook (Frey à Max "it's complicated"), le scénario est caricatural, les personnages sont des clichés vivants et les scènes stéréotypées au possible. Ajoutez à cela un généreux arrosage de guimauve et vous aurez une bonne description d'un film de série B. Neill Blomkamp nous recycle du District 9 avec plus d'argent mais moins d'idées reprenant son décor : les bidonvilles de Prétoria sont remplacés par ceux de Los Angeles et son pitch : la parabole de l'immigration remplaçant ici celle sur l'apartheid. La dénonciation du fossé entre les méchants riches et les gentils ouvriers pauvres (oui en 2154 il n'y a plus de classe moyenne) est tellement manichéenne qu'elle ne satisfera que les ados les plus indulgents et même eux se sentiront las de découvrir une fois encore une histoire basée sur la révolte d'un prolo contre les nantis. Un héro qui accumule tous les clichés possibles et imaginables : orphelin, en quête de rédemption, poursuivant son rêve d'enfance et ne pouvant oublier son premier amour. Pour tenir la promesse qu'il lui a faite il va tout endurer : bras cassé, radiations puissance 10 Fukushima, couteau dans le ventre, téléchargement abusif, bref il souffre. Mais pas autant que nous lors de flash back lourdingues pompés sur Gladiator et accompagnés de chœurs d’eunuques s'égosillant afin de susciter l'empathie avec notre héros chauve. Difficile pourtant de s'accrocher aux personnages d'Elysium. Non seulement ils sont caricaturaux au possible mais en plus ils sont mal joués (ceci expliquant peut-être cela). Jodie Foster est toute en nuance, Sharlto Copley en retenue, Matt Damon n'a jamais communiqué autant d'émotion, et Alice Braga tient son rôle de potiche avec tant de talent qu'on jurerai un rôle de composition. Ils campent une galerie de personnages basée sur les stéréotypes raciaux et sociétaux les plus éculés : un écossais fou, un français mégalo, un PDG de multinationale prêt à tout pour de l'argent et une héroïne à l'ancienne : une mère isolée, infirmière, élevant sa fille atteinte d'une leucémie. Franchement. Une leucémie ?! Le réalisateur utilise un enfant atteint d'un cancer pour nous faire pleurer. Ce n'est plus du chantage affectif, c'est une prise d'otage. A cet égard l'interminable scène de rencontre entre elle et Max est franchement embarrassante pour un réalisateur qu'on pensait plus subtile. Mais tous ces défauts ne sont rien par rapport au vrai problème du film : son scénario complètement rocambolesque (attention mass spoiler) spoiler: Toutes les scènes constituant la trame sont branlantes et l'intrigue générale elle même ne tient pas debout : pourquoi le Ministre Rhodes aurait-elle besoin d'un reboot pour faire son putsch alors qu'elle n'avait qu'à prétendre une guerre pour prendre le pouvoir légalement ? Petit festival : D'abord la scène incroyable où Max se fait irradier. Pourquoi n'utilise-t-il pas le gros bouton rouge bien visible à l'écran ? Ne se doute-t-il pas que s'il repousse ce qui empêche la porte de se fermer, celle-ci va... se fermer. J'ai ensuite adoré quand il se cache sous les cochons. L'avion ne l’aperçoit pas et décide de repartir avant de lâcher une heure plus tard... des robots chercheurs. Robots efficaces puisque à six dans une ville de quelques dizaines de millions d'habitants ils retrouvent notre Max dès qu'il met son pied dehors. Max parvient heureusement à s'échapper mais évite de retourner prévenir Frey qu'elle risque de recevoir de la visite. Probablement par peur que la gosse lui raconte encore une histoire à base d'hippopotame et de suricate. Gamine à qui il refuse de donner une ID pour une raison inexplicable. Pourquoi Kruger laisse Max rentrer dans le vaisseau avec sa grenade alors qu'il a deux otages à disposition ? Pourquoi le ministre utilise-t-elle un psychopathe et non pas un robot ou à minima un agent sain d'esprit ? Ce film n'arrête jamais et c'est terrible parce que trois, quatre absurdités c'est pas grave mais quand c'est tout au long du film comment peut-on s'attacher aux personnages et croire en leur histoire ? Pareil, où sont les robots de défense quand Max atterri, quand le vaisseau de Spider atterrit, quand Kruger attente son coup d'état ? Pourquoi le PDG choisit-il qu'un téléchargement du programme soit létale puisqu'il est sensé le faire lui-même ? Pourquoi l'exosquelette de Max ne lui sert qu'une scène sur deux ? Pourquoi Kruger et ses deux acolytes se baladent-t-ils partout pour retrouver Max alors que celui-ci viendra forcément secourir sa belle ? Pourquoi le PDG est-il accompagné de seulement deux robots... qui se batte l'un après l'autre ? Comment Max fait-il pour s'échapper après la mort du PDG alors qu'un vaisseau le survole ? Pourquoi personne ne remarque Max qui est allongé à 5 mètres de l’hôpital ? J'ai beaucoup aimé lors du reboot la succession de plans larges sur Elysium et rapprochés auprès des acteurs : jour, nuit, jour, nuit, énorme !!! Enfin le plus drôle, notre écossais favoris se fait arracher la moitiée de la tête sans en mourir, mieux : "the brain is not damaged"... silence. La fin est complètement abracadabrante. Les robots (qui apparaissent enfin) guidé par le président (n'était-il pas en prison ?) ne peuvent arrêter les citoyens ? Personne ne peut rebooter le système ?
Je justifie mon étoile par l'esthétique soignée (Elysium est très réussie), les scènes d'action honnêtes et les gros guns très cool. Je finirais en citant une critique de CinemaTeaser : [Blomkamp est] "confiant en l’intelligence de son public", pardon ?
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 29 août 2013
Elysium, c'est avant tout la destinée de Max Da Costa( Matt Damon), citoyen d'un Los Angeles plus tentaculaire que jamais. Nous sommes en 2154...

Max Da Costa est donc un citoyen fondu dans une misère plus insupportable chaque jour, alors qu'a quelques millions de kilomètres de là, se trouve ELYSIUM, justement . Un petit paradis, aseptisé, fait par et pour les riches. Le film s'inscrit donc dans la veine d'opus fantastiques comme Total Recall. Ajoutons à cela un président kidnappé par des mercenaires impitoyables, volant sous pavillon sud-africain. La grosse machine est lancée. Mais Elysium , sans grande personnalité, a la saveur d'un plat surgelé. Sa débauche d'effets spéciaux et lourdingues semble tourner à vide. L'intrigue est convenue, le dénouement d'une tiédeur agaçante. On a déjà vu, ailleurs et mieux.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 29 août 2013
Film ne correspond pas à la bande annonce; le CSA a indiqué "TOUS PUBLICS" et ce n'est pas le cas.
nous y sommes allés avec notre fils de 12 ans et avons du sortir de la salle pour cause de scènes très violentes.
On peut dire bon film d'action-science-fiction!
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 28 août 2013
Il est à espérer qu'Elysium ne cherche pas à délivrer un quelconque message. Malheureusement, il semble que le réalisateur en ait eu la prétention. Sous-couvert d'un scénario de science-fiction et d'une conjoncture opportune, le film nous raconte de la façon la plus manichéenne qui soit l'histoire des gentils pauvres contre les méchants riches. Aucune réflexion profonde ne vient garnir ce tableau tristement démagogique, qui n'a rien de crédible tant l'époque à laquelle Esylium nous jette ne saurait être le résultat d'aucune continuité.

Par ailleurs, la réalisation est extrêmement lourde. La caméra n'est jamais en place deux minutes, les plans nerveux s'enchaînent, et les effets d'image ou de son se multiplient les uns après les autres. Il semblait également impossible de passer à côté des scènes d'actions et de combat toujours plus longues, plus spectaculaires, mais finalement vues et revues.

Sans fond, sans cohérence et même sans honnêteté intellectuelle, Elysium est à classer sur la vaste étagère des films formatés que l'on ne voudrait plus jamais voir dans les salles obscures.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 août 2013
Bon, maintenant c'est sûr, dans le futur, il ne restera plus que que des grosses brutes tatouées qui s'aboient dessus. Les effets spéciaux sont grandioses, mais que dire de ce scénario et de ces dialogues du dernier ridicule? Aucun second degré, aucune finesse, un film grand-bourrin, avec des riches très méchants, des pauvres opprimés très gentils, des mercenaires méchants qui en plus sont contents d'être méchants! Et tout ce monde se tape gentiment sur la tronche tout le film avec des "allez viens si t'es un homme!", des ricanements stupides, des incohérences totales, le tout saupoudré de scènes sirupeuses d'une mièvrerie pitoyable. J'ai terminé le dernier quart du film en fou rire devant cet amoncellement de clichés plus débiles les uns que les autres. J'en veux tout de même à et de m'avoir attiré dans cette énorme bouse pour cerveau décérébré, qui a donc tout pour faire un gros succès.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 17 juillet 2014
Pas terrible ce film c est trop série. Acteur peu crédible, scenario qui sent le déjà vu, certes de de très bon spéciaux mais des décors peu inventifs(la banlieue mexicaine comme aujourd'hui ) le pire c est le méchant totalement inutile. Bref un nanar pop corn.
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 août 2013
Ca démarre bien, les images sont très belles et l'idée de départ très séduisante mais ça devient vite n'importe quoi, trop de bastons et aucune émotion ni réflexion, aucun intérêt !
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 26 août 2013
Toutes les bonnes idées de District 9 sont oubliées dans ce film : des personnages stéréotypés et sans intérêt, une intrigue simplette... à oublier
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