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tony-76
1 071 abonnés
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3,5
Publiée le 17 mars 2013
Le réalisateur de Spider-Man a réussi à nous transporter dans le pays d'Oz. Des décors sublimes avec des personnages fort attachants, des effets spéciaux à couper le souffle. James Franco est bon dans son rôle de magicien, des sorcières démoniaques. Une touche d'humour et de musiques émouvante. C'est un voyage magique et féerique de quoi se divertir avec toute la famille.
Il est presque ironique de voir Sam Raimi à la tête d’une telle entreprise. Film gentiment savoureux et enfantin. Le réalisateur des deux trilogies, Evil Dead et Spider-Man, nous conte les bons sentiments au pays d’Oz quand il était plus à même de mettre en scène la noirceur humaine dans Un plan simple. Peu importe, un autre réalisateur culte (T. Burton) avait déjà « vendu » son âme à la billetterie Disney avant lui, pour un résultat proche du catastrophique (Alice au pays des merveilles). Ici, Sam Raimi dépose plus sa marque que ne l’avait fait le réalisateur d’Ed Wood, surtout dans une première petite demi-heure, toute en noir et blanc, joueuse, à la mise en scène clin d’œil à la filmographie du réalisateur, lors de certaines séquences. James Franco (Oz), magicien et maître de l’illusion serait donc le pendant du réalisateur face au tout Hollywood, ce qui permet au moins à Sam Raimi de mettre en place une histoire dont il maîtriserait parfaitement les allégories, autant sur le fond que la forme. De là à voir en Oz la parabole de la carrière cinématographique du réalisateur il n’y a qu’un pas. Alors que Raimi ne s’est jamais aussi librement exprimé dans la noirceur et les ténèbres, le film confirme lors du passage du noir et blanc à la couleur une certaine baisse d’énergie et d’intention. L’ensemble reste soigné et très habité, mais nous sommes clairement dans le monde de Disney où tout est propre et gentillet. Or, si le côté « cartoon » laisse lieu et place à la candeur, ce n’est pas dans une complète désuétude. Au contraire, petits et grands pourront retrouver le charme de certains classiques, où ces moments d’évasion peuvent rimer avec magie cinématographique. Nous sommes certes loin du cinéma de Raimi, le réalisateur reste principalement maître à tout (savoir) faire de Disney. Peu d’écarts, tout public, mais pleinement maîtrisé dans cette emporte-pièce de bons sentiments et d’humour bon enfant. À sa technique très libre se profile assez rapidement une mise en scène académique, où se mêle la virtuosité de décors digitaux impressionnants et une 3D très convenable, comparée à l’ensemble des productions qui utilisent le procédé. Heureusement dans ce melting pot connu mais qui fonctionne toujours, surtout chez les plus jeunes, reste le plaisir régulier de voir James Franco, parfaitement habité par son rôle et apporte un attrait cabotin très plaisant à son personnage. Le comédien s’avère finalement un choix judicieux. À ses côtés, le casting féminin est idéal et détonne de l’ensemble de ce genre de productions. On finit naturellement par être pris par cette tornade d’effets spéciaux et de jeux, plus que d’émotions. Cela reste un spectacle pour toute la famille où les petits ne trouveront sans doute pas la même chose que les grands, tout comme les fans du réalisateur ne détecteront que trop rarement la patte du réalisateur. Sam Raimi a tout de même su s’impliquer assez dans le film afin de faire passer un moment agréable aux spectateurs, entre aventure et magie. Nostalgique et plaisant, comme les souvenirs de notre plus jeune âge, d’un film attendu toute la semaine, vu le dimanche après-midi sur la toile, accompagné. Pour le coup, Sam Raimi, avant, c’était plus sans, qu’avec ses parents.
Vu en 3D VOST, celle-ci étant correctement utilisée même si elle n'apporte strictement rien à la narration (comme toujours). Après le sympathique Drag Me to Hell en 2009, qui revenait à l'esprit corrosive des Evil Dead, Raimi se lance dans ce Préquel de The Wonderful Wizard of Oz, Disney n'ayant pas les droits du film de 39 et donc ne pouvant réutiliser cet univers qui appartiennent à Warner. Autant dire que ce n'est franchement pas terrible, à part le prologue en noir et blanc, la mise en scène est pépère, les acteurs/actrices souvent à la ramasse, il faut voir Mila Kunis rejouer le Green Goblin version sorcière avec maquillage grotesque et rire sardonique, confondant de niaiserie et de CGI souvent ratés. Entre Hansel & Gretel, ce Oz, et l'accident industriel que constitue le Jack de Singer, les contes ne sont décidément pas à la fête à Hollywood.
J'ai essayé, vraiment essayé, pendant tout le film, de trouver quelque chose à sauver. J'étais partie enthousiaste, Danny Elfman, Sam Raimi, James Franco (et tout le casting en fait), et pourtant ... Rien n'est bon ! Les acteurs semblent peu impliqués dans leurs rôles, le scénario est plat, je ne me suis sentis intéressée par aucun personnage. Les dialogues sonnent affreusement creux, ça nous prend pour des idiots du village. Alors certes, ça vise un public jeune, mais qu'advient-il des gens un peu plus âgé qui espéraient être émerveillés ? Le monde en soit est bien fait mais absolument pas enchanteur à mon goût tant tout est cliché. Que dire des méchantes ? L'une passe du coq à l'âne en un quart de seconde, l'autre semble aussi docile qu'une peluche. Et la gentille ? Bon dieu, un yaourt nature aurait eu autant d'effet ! Même James Franco, que je considère comme un très bon acteur, semble prendre son rôle par dessus la jambe ! Quand on voit la travail fournis par celui-ci dans son rôle pour Spring Breakers, on sent quand même la différence ... Bref, c'est long, ennuyeux, j'ai eu beau espérer jusqu'à la fin ce petit truc qui aurait été salutaire, ça n'est jamais venu ...
Ce monde d'Oz est un monde surprenant, et Sam Raimi réussit parfaitement son entrée chez Disney, même s'il n'égale pas la version mythique de Fleming. Si le scénario est un peu simple, et les dialogues frôlent parfois le ridicule, le visuel et les acteurs nous permettent de passer vraiment un bon moment plein de magie. Attention, vos yeux risquent de briller !
Je suis allé voir ce film de manière très neutre, parce que j'avais 3 heures à tuer. Et c'est le printemps du cinéma. Du coup je pouvais me permettre de payer pour voir ça en VF.
Et comme je le disais j'étais très neutre, j'aime beaucoup ce qu'a pu faire Raimi (pas Spiderman, le reste), Franco je ne le déteste pas et je n'ai jamais vu le film original (bien que je connaisse vraiment dans les grandes lignes l'histoire).
Et je dois dire que j'ai trouvé ça vraiment cool. C'est enchanteur. On a là un film classique, avec une histoire bateau, déjà vu, sans doute cliché, mais c'est fait avec beaucoup de maîtrise.
Visuellement l'univers est enchanteur, Franco a un charme insolent et ravageur, et on a une flopée d'actrices plus que visitable. Que demande le peuple ?
J'avoue avoir bien aimé le fait que l'intro soit en noir et blanc et que l'on passe à la couleur (et quelles couleurs, par moment la photo est vraiment très belle et fait penser à du beau technicolor) en même temps que Franco passe dans le pays d'Oz. Et on passe en même temps du 4:3 au cinémascope.
Alors après le film ne va rien révolutionner, mais difficile de ne pas passer deux heures très agréables, puisque d'ailleurs le suspens est de savoir comment faire le lien avec le film précédent (qui est en fait une "suite").
C'est un film pour enfant avec quelques travers, genre la "bonté" je t'en foutrai au cul moi de la bonté. Mais disons que c'est bien niais, mais je n'ai pas trouvé ça désagréable, parce que quelque part je me suis retrouvé dans le personnage de Franco qui se croit mauvais.
J'ai trouvé ça assez frais, visuellement cool et finalement assez mignon.
Ouais c'est bien. J'aime.
Et la 3D semble un brin tape à l'oeil pour ce que j'ai pu voir, mais bien utilisée.
Je pense que Disney ne s'est pas foutu de notre gueule, contrairement à ce qu'ils ont fait avec Burton et Alice. Mais bon on est loin de l'échec d'Alice ou de John Carter.
Comme quoi en confiant de bons projets à de bons réalisateurs ça peut quand même donner un truc sympas, sympas, mais pas top.
En grand amateur du film de Ian Flemming, l’ingénieux Sam Raimi semblait prédisposé à rendre possible ce vieux rêve des studios Disney d’en faire un prequel (à défaut d'un suite ou d'un remake, la Warner ayant gardé les droits). En ces temps où le retraitement cinématographique des vieux contes de fées est tant à la mode, le projet se devait de rentrer en chantier avec un important budget destiné aux effets spéciaux. Mais là où l’on pouvait s’attendre de la part du réalisateur un ton impertinent -tel que l'aurait sans doute imaginé L. Frank Baum dont le roman fut à l’époque comme une critique politique- et des scènes épiques, le résultat n’est qu’un produit sans la moindre innovation scénaristique formaté selon les codes classiques des films Disney pour enfants. Ce film morne n'est aucunement sauvé par son casting qui semble presque faire des efforts pour se montrer le moins charismatique possible.
On connaissait Sam Raimi pour ses films d’horreur plus dégueulasses que terrifiants et pour sa saga Spider-Man, encore inégalée (et c’est surtout pas Mark Webb qui réussira. Alors, le voir chez Disney, c’était une curiosité.
Sa version du Magicien d’Oz, une sorte de prequel, était très attendue chez les cinéphiles du monde entier, pour voir si cet esthète de l’image était capable de livrer un film familial pas débilitant, grand public et divertissant. Force est de constater que pendant une heure, Oz The Great and Powerful est un film très réussi, avec un premier acte en Noir & Blanc et un écran carré comme à l’époque, dont la 3D permet une profondeur insoupçonnée (les effets sortent des limites de l’écran de l’époque), avec des acteurs excellents et des rebondissements étonnants et réjouissants. On y croit alors vraiment, car l’imagerie du film originel y est retrouvée, avec la route de briques jaunes et la sorcière verte. Malheureusement, le film s’écroule un peu dans un troisième acte qui succombe à la mode Alice au Pays des Merveilles et nous propose une guerre entre deux factions, sympathiques au demeurant, mais loin d’être novatrice. Il reste cependant quelques idées fantastiques comme la réflexion sur le cinéma dans la bagarre finale et des acteurs fabuleux comme Zach Braff, Mila Kunis ou Bill Cobbs mais on ne peut qu’être déçu par le choix de la facilité.
Ne nous y trompons pas, cependant, de son générique d’ouverture jusqu’à son dernier acte, Oz The Great and Powerful est un film très divertissant et très réussi et mérite son futur succès.
J'ai trouvé ce film complètement insupportable ... Il accumule tous les clichés possibles et imaginables. Entre le singe complètement con et la poupée de porcelaine totalement agaçante avec sa voix de crécelle dont on a envie que d'une chose : la fracasser avec un énorme marteau. Et que dire de la "bonne" sorcière, qui tape aussi sur les nerfs ... Heureusement le film est sauvé par les excellentes Rachel Weisz et Mila Kunis, parfaites dans leurs rôles, et James Franco qui est ici plutôt moyen sans être mauvais pour autant. Le film est également sauvé par de jolis décors. Malheureusement ça ne sauve pas le reste.
Et deuxième film de suite que je pars voir sans en attendre grand-chose … et là, ça à peine rempli son boulot. Bon, il ne fallait pas se leurrer, l’histoire est très convenue et ne recèle d’aucune surprise. Elle est inspirée du Magicien d’Oz (en tout cas, ce que j’en connais car je n’ai jamais lu et vu les œuvres originelles traitant de ce thème) et elle brode un maximum autour du thème. Par contre, la mise en image est finalement assez décevante. Tout comme dans la bande annonce, la première partie du film veut se la jouer d’époque (début 20° si je ne me trompe pas) et est filmé en 4/3 et sépia (ou N&B, ça m’a tellement marqué …) puis pour masquer au final le manque de merveilleux du monde d’Oz, on passe au 21/9 et à la couleur à foison. Ce qui est dommage, c’est qu’au début, on s’en prend plein les mirettes et la magie s’arrête très très vite, à croire qu’ils ont voulus tout parier sur les personnages … et là, c’est le drame. Attaquons par Oscar dit … Oz (waouh, original). Un charlatan (bref un magicien) qui est cupide et égoïste, mais Disney oblige, on verra bien que c’est un bon gars. Voilà le personnage est complet, c’est dommage quand même. Passons aux sorcières. Quand est-ce que Disney s’est dit « tiens et si on faisait des sorcières non crédibles contrairement à nos chefs-d’œuvre animés ? » Et là, ils l’ont fait ! Une méchante sorcière (c’est son nom !) et une gentille sorcière (c’est aussi son nom !) et une qui va faire un peu de yoyo … franchement, qu’elle soit méchante ou gentille, la sorcière concernée n’est pas du tout crédible. Coté méchante, ce n’est pas assez méchant et ça ne fait pas peur et coté gentille, c’est cruche … Bref de bons personnages inutiles (à part pour faire avancer le schmilblick de scénario). Maintenant, les personnages « ordinateurs », Poupée de Porcelaine. Elle est juste inutile. Voilà, pas mieux pour elle. Le singe, Finleyspoiler: , dans un flim policier des années 80, ça serait l’acolyte black au gentil flic blanc (ouais, ça peut être lu d’une façon raciste, mais quand même, ce n’est pas le sujet) . Il est la caution blague des héros. Il est assez sympa à voir et les situations comiques lui vont bien. Enfin, mes préférés : les babouins-volants … nondidjiou c’te sales bestioles ! Ils sont méchants, débiles et superbement réalisés. Tout simplement les meilleurs personnages du film. Les personnages secondaires sont des classiques pour des films fantastiques pour enfants et ne présentent aucun intérêt. Le film est principalement destiné aux enfants, même si certaines scènes sont assez costauds à voir et je pense que le gamin (7 ans environ) devant moi n’a pas du bien dormir après.
Enfin voilà, pour résumer, ça se regarde, mais ce n’est pas terrible et ça hérite d’un petit 1,5/5
PS : j’avais espérer un bien meilleur rôle pour Bruce Campbell.
« Somewhere, over the rainbown ... . Ce refrain mélancolique, combien de fois l'a t-on fredonné avec cette image en tête de monde merveilleux d'Oz. En 1939, Fleming nous livrait son adaptation : « Le Magicien d'Oz ». Très édulcoré et kitch, il reste pourtant encore aujourd'hui une référence en la matière de monde fantastique. Aujourd'hui, Sam Raimi nous propose de nous y replonger dans une version où les effets spéciaux et les effets numériques sont à l'honneur. Cette fois ci, nous suivons l'histoire de ce fameux magicien, Oz. Ce personnage peu aimable et manipulateur, de ses spectacles truqués dans un cirque miteux à son ascension au Royaume d'Oz. Si Raimi reprend les codes du premier film, il les réutilise intelligemment en les adaptant à notre époque. L'introduction dans le Kansas en noir et blanc à la fois sobre et belle sert également de contraste détonnant au monde merveilleux offrant alors une entrée des plus magique. Cette beauté visuelle est avant tout servit par une 3D tout à fait séduisante d'un bout à l'autre rendant alors l'immersion totale et intense, aidé également par la BO signé par Monsieur Danny Elfman. D'éternels perturbateurs pourront y reprocher un manichéisme et une naïveté trop grande ( la gentille sorcière et le grand magicien contre la méchante sorcière), rappelons alors que ces éléments sont les fondements de cet univers qui lui apporte son charme unique. D'autant que, malgré le poids du film original, Raimi parvient en toute facilité à nous surprendre et nous laisse, l'impression de découvrir une nouvelle fois ce monde magique. Même si le scénario peut manquer parfois d'originalité, il nous séduit par ses références multiples et par une déclaration d'amour au cinéma bienvenue. En somme, un petit bijoux de film fantastique mariant à merveille renouveau et respect de son prédécesseur. Un voyage à ne pas manquer.
Grande amatrice du film Le Magicien d'Oz, je ne pouvais pas passer à côté de cette nouvelle adaptation signée Disney. Adaptation ? Prequel plutôt puisque l'on suit, non pas Dorothy mais Oz lui-même. Une jolie idée qui permet d'en apprendre plus sur le magicien et sur son arrivée à Oz.
Difficile de croire que personne n'a jamais pensé à raconter son histoire avant, pas même L. Frank Baum. C'est donc partant d'une idée originale que l'on découvre enfin comment tout a commencé. Ce qui marque, dès le début, c'est à quel point le film de Sam Raimi s'inspire de l'ambiance du film de 39. Avec une première partie en noir et blanc, le spectateur se sent dépaysé et plongé dans un film de l'époque.
Le monde fantastique d'Oz possède une candeur et une naïveté rappelant celles du film original. Un point qui pourra rebuter un certain public, peu habitué à ce style, mais qui fera sourire les amateurs. Les références sont nombreuses et tout est fait pour développer une forte envie de voir Le Magicien d'Oz sitôt l'adaptation de Disney terminée.
Côté acteur, on notera la prestation de Mila Kunis, véritable révélation du film. Jouant merveilleusement un personnage si complexe que celui de Theodora, elle est LE personnage principal du film. Volant, de ce fait, la vedette à James Franco, qui livre un travail correct mais quelque peu entaché par un personnage tapant rapidement sur les nerfs.
Mais le coup de coeur du film, c'est bien entendu sous les traits de l'adorable China Doll que nous le trouvons. Touchante, espiègle, elle insuffle une part d'humour non négligeable au film. Nul doute que toutes les petites filles, comme les grandes, voudront s'approprier une représentation réelle du personnage.
Si le suspens concernant la fin du film vole en fumée (normal puisque c'est un prequel), on reste captivé du début à la fin par Le monde fantastique d'Oz. Un divertissement de qualité que nous offre Disney et qu'on aura plaisir à voir. Espérons que le studio ne nous laissera pas sur notre fin et nous offrira d'autres films autour de l'oeuvre de L. Frank Baum. Avec 16 livres, Oz n'a pas fini d'inspirer et d'offrir des possibilités cinématographiques.
En attendant, c'est vers les supports papiers que nous nous tournerons avec le livre bien sûr, mais également le très bon comics de Scottie Young chez Marvel que je vous recommande chaudement. L'année 2013 est sous le signe du magicien d'Oz. Une année.... magique !
Film totalement crétin, avec des comédiens très mauvais et un montage laborieux. On regarde sa montre et on soupir d'accablement toute les dix minutes. C'est long, trop long et même pas amusant. Le film ressemble à une démo pour une compétition d'images de synthèse. Tout a été misé sur la forme visuelle et la palette choisie donne presque la nausée, effet exacerbé par une 3D utile seulement les 3 premières minutes de la découverte du pays d'Oz. Le fond a complètement été occulté. Le temps de la projection, on se questionne alors sur les motivations du branquignole d'Hollywood qui est derrière la réalisation de ce projet sans intérêt et indigeste !
Sam Raimi revient pour une adaptation très réussie qui m'a bien plue. On passe un agréable moment devant "Le Monde fantastique d'Oz". On se plonge assez rapidement dans cette histoire très originale, avec un début efficace et par la suite une découverte incroyable de ce monde. Les effets spéciaux et visuels sont d'une grande richesse. En effet, Oz est un pays grandiose, très lumineux, très coloré, très agréable à l'oeil, avec des paysages impressionnants, des décors sombtueux et des créatures en tout genre. Les costumes sont également très bons. En faite, ce film est très beau visuellement. La bande son est sympatique. On ne s'ennuie pas pendant les plus de 2h de ce Disney, même si le début restera plus pertinent que la fin. James Franco est très bon dans son rôle du faux grand magicien. On retrouve quelques expressions de son visage faisant repenser à Harry Osborn. On s'attachera aussi à d'autres personnages, comme le singe volant, la poupée porcelaine... Cependant, les actrices jouant les sorcières ne m'ont pas comblées. Le scénario reste assez simple. Et la fin aurait pu être meilleure, et en plus est un peu trop rapide. Un bon divertissement pour toute la famille.
Tout simplement grandiose. Le film m'a littéralement transporté dans un monde de rêve et fantastique pendant prés de 2 heures d'évasion. La 3D est tout simplement sublime (je l'ai vu en Imax ça aide forcément), et effets spéciaux ahurissants. Scénario parfait, j'ai spécialement apprécié le clin d'oeil au cinéma noir et blanc en début du film. Enfin acteurs magnifiques, James franco est superbe dans son rôle de faux magicien altruiste, et que dire du casting féminin d'un charme envoutant (Mila Kunis est trop belle, pendant que Michelle Williams nous ensorcelle par son charme). Enfin la fin du film inaugure d'un 2éme volet qui je l'espère sera tout aussi prometter que le premier.