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Akamaru
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2,0
Publiée le 10 février 2014
He will be back! Arnold Schwarzenegger avait annoncé son retour au cinéma après sa longue parenthèse en tant que gouverneur de Californie. Pour cela,il a choisi un rôle qui lui convient par cœur: celui d'un shérif buriné et vanneur,qui doit stopper un baron de la drogue en route vers la frontière mexicaine au volant d'une Corvette de compétition! Pour sa première expérience sur le sol américain,Kim Jee-Woon réalise une série B décomplexée et parodique,qui souffre sur le terrain de l'originalité et qui n'a d'autre but que de défouler. "Le dernier rempart" peut aussi être considéré comme une sorte de western moderne,et évidemment pétaradant. La première heure est une longue exposition dispensable,bardée de personnages inutiles et de sous-intrigues faiblardes. Ça devient explosif à partir de l'assaut de la petite ville. Là,on se régale,mais trop tard... Schwarzy a encore des muscles et la blague facile,mais à l'instar de son compère Stallone,il va devoir impérativement se renouveler,à 65 ans.
A la surprise général une bien meilleur série B qu'on pouvait l'attendre ! Bourré d'un humour second degré qui fait mouche et son intrigue à la western spaghetti, le film s'avère être un retour gagnant dans un rôle taillé sur mesure pour le vieillissant Schwarzy, soutenu par d'excellents seconds rôles ! Une bonne surprise pour un très bon divertissement !!!
Le retour d'Arnold Schwarzenegger en tète d'affiche devant la caméra du virtuose cinéaste Sud-Coréen Kim Jee-Woon, ça fait plaisir pendant 15 minutes mais on sent que la superstar des années 80/90 a perdu le sens du jeu d'acteur depuis qu'il est devenu gouverneur de Californie, c'est dommage ce film avait les atouts pour le faire revenir sur le devant de la scène, de l'auto Dérision, de l'humour, des scènes d'actions à couper le souffle, le fait d'avoir situé l'histoire dans un petit patelin pommé dans le Texas était une sympathique idée, des seconds roles bons comme Forest Whitaker, Johnny Knoxville qui nous fait une cascade avec un poteau électrique (clin d'œil à "Jackass"), Edouardo Noriega et Peter Stormare en truands méchants. On se dit que Kim Jee-Woon a remplit son contrat avec ce long métrage de commande, c'est divertissant, on s'amuse comme des gamins mais cela reste oubliable dés le générique final, c'est dommage.
Ce n'est pas sans une certaine émotion que je retrouvais Arnold pour de nouvelles aventures cinématographiques. A voir uniquement au second degré, "Le Dernier Rempart" propose un spectacle calibré pour la star vieillissante qui s'auto-parodie avec un certain plaisir. Plaisir partagé pour le coup ! Oui il y a des reproches à faire au film qui tient son sujet sur une feuille de papier toilette, qui met les armes dans toutes les mains (même dans ce village où il est sensé ne jamais rien se passer), et puis il y a le jeu approximatif de Schwarzenegger qui a du mal à trouver crédibilité dans le rôle du shérif. Bref, ce n'est certainement pas un grand film mais les amateurs seront y trouver comme moi leur bonheur :-)
Bon ce n'est pas du grand scrwarzy de l'époque, mais faut dire qu'il se fait vieux le papy (65 ans). Néanmoins pas mal d'action et des scènes sympathiques, avec pas mal de clichés quand même. De plus le film est doté d'un casting solide. Le film vaut le coup d'être regarder une foi, mais ne laissera pas un souvenir impérissable
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Pour un retour à la Schwarzy, c'est un retour à la Schwarzy. Juste que nous héros a vieilli et ne cogne pas tout seul. Vieux shérif au rencard, il est aidé par une petite équipe qui prend part au combat et ça dessoude un max, surtout in fine. Ne regardons pas plus loin et asseyons nous pour regarder un Schwarzy comme on les aime. Bon moment de cinéma. A voir et revoir.
Pas dingue mais ça se laisse regarder comme un épisode de l'Agence Tout Risque, avec du Schwarzy dedans. Malgré quelques notes d'humour, il y a avait largement la place de lâcher un peu plus de gros délire de série B.
Un gros méchant vraiment méchant s'échappe des griffes du FBI et fuit à fond la caisse vers une petite ville dans le but de passer la frontière pour le Mexique. Le chérif local ne va pas lui faciliter la tâche.
Le dernier rempart annonce la couleur, action, baston et gros calibres, un film bourrin sans prise de tête.
Le dernier rempart tient parole et même plus. Non seulement c'est bourrin, mais en plus, c'est drôle. Tous les personnages de Summerton Junction, du shérif (Schwarzie ) à la vielle mémé sont bien gratinés. Certaines répliques font mouche et leur décalage avec le dramatique de la situation les rendent d'autant plus savoureuse.
Un film d’action avec Arnold Schwarzenegger en tête d’affiche a tout pour faire lever les yeux au ciel de tous ceux qui supportent mal le cinéma industriel sans âme que nous fourgue Hollywood. On sait qu’on va encore se retrouver dans un film bourré de scènes d’actions plus improbables les unes que les autres, des fusillades à n’en plus finir, de la violence et du sang banalisés le tout sur une intrigue indigente, des dialogues stéréotypés et des personnages à la psychologie aussi épaisse qu’une feuille de papier à cigarette ; le tout visant plus à engranger le plus d’argent possible plutôt que faire, même a minima, une œuvre d’art. « Le dernier rempart » a effectivement tous ces symptômes. Mais étrangement les scénaristes ont décidé d’y introduire de l’humour, de la dérision, voire du second degrés, à commencer par Shwarzzi qui du haut de ces 66 printemps joue à fond la carte du papi qu’est plus fait pour ces conneries. On note aussi la présence de Johnny Knoxville plus habitué de la comédie potache que du film d’action bourrin. Du coup le film semble presque une parodie du film d’action à gros effets (et à gros bras), reprenant tous les tics du genre tout en faisant un clin d’œil malicieux au spectateur, genre personne n’est dupe. Alors bien sûr cet artifice permet tout de même de faire un film d’action pur jus où le public avide d’action et de bastons ne sortira pas déçu de la projection tout en permettant à ceux qui sont peu friands de ce genre de divertissement stéréotypé de passer quand même un moment agréable. Bref un film qui reste un film d’action plein de testostérone comme Hollywood les aime, mais qui ménage un humour plein de dérision sur le genre, qui rend le film beaucoup plus digeste qu’il n’aurait été. Ne boudez pas votre plaisir (coupable) en regardant cette comédie d’action avec un Schwarzenegger qui revient bonifié de son break (la politique serait-elle la meilleure école pour devenir acteur ?).
Un film sans grand relief qui laisse une place proéminente à l'action pure (et dure). Mais... Schwarzi fait toujours le taf ! Et faut-il donc être fou pour se mesure à Terminator ? Le Dernier rempart mérite d'être vu seulement pour cette leçon apprise au méchant !
Un film des années 1980 fait part une réalisateur asiatique en vogue dans les années 2010. Ça donne un film au scénario improbable mais rythmé et avec un scwharzy un peu viellissant ! Ça se regarde puis ça s oublie. Mention spéciale à johnny knoxville alias jackass pour son bouclier médiéval contre des armes automatiques.
Le retour de Schwarzy en 1er rôle ne sonne pas comme une renaissance. On connaît la fin dès le départ. Une évasion qui va aboutir à un duel shérif vs malfrat. Une voiture lancée à toute allure que rien ne pourra arrêter, hormis l'intelligence et la détermination de la vedette d'affiche. Film d'action banal aux seconds rôles médiocres et à l'écriture absente (on se demande ce que Whitaker fout-là, même s'il accepte un peu tout et n'importe quoi malheureusement). On pose le cerveau et on découvre le retour d'un des seigneurs de l'action-movie.