Je pense être un des rares spectateurs à avoir relativement apprécié ce troisième opus de "Hostel", réalisé cette fois par Scott Spiegel et sorti en 2011 directement en vidéo. Nous suivons ici l'histoire d'un groupe d'amis se rendant à Las Vegas pour fêter un enterrement de vie de garçon. Exit donc les clichés sur l'Europe crade et morose, le film préférant se concentrer sur les bas-fonds de Las Vegas que l'on ne voit jamais. Je trouve déjà ce changement de décor plutôt original, même si on garde ce côté européen avec des bourreaux aux accents slovaques ou roumains. Si le deuxième opus offrait un changement notable par rapport au premier en se mettant du point de vue des bourreaux et en en dévoilant plus sur cette mystérieuse organisation, ce troisième épisode préfère aller à fond dans le spectacle. Et encore, je trouve que les effets gores sont plutôt très timides pour un épisode de la franchise, je dirai même que c'est le moins violent des trois. Mais bref, toujours est-il que le film n'a pas l'intention de creuser l'univers de la saga mais plutôt de surfer simplement dessus en mettant en scène de nouveaux personnages se faisant prendre au piège par cette organisation. Et si le film n'est absolument pas original, il réussit néanmoins à en être plutôt divertissant, ce qui, je pense, est avant tout son but premier. Alors certes, la mise en scène fait très téléfilm, de même que la photographie, les acteurs sont relativement mauvais, de même que l'écriture des personnages. Mais le film tente de proposer quelques éléments intéressants, comme la pseudo-enquête, la scène d'introduction qui va à l'encontre des clichés des deux premiers opus et puis la fin qui est plutôt surprenante et jubilatoire (à l'image du précédent d'ailleurs). Ainsi, si "Hostel : Chapitre III" ne se veut jamais original, il en reste malgré tout plutôt divertissant !
On avait gardé à l'esprit l'horreur de ces boucheries clandestines à nos frontières, en Europe de l'est. Dans cet ultime volet, l'action se déroule sur le sol américain, au plus prés des spectateurs visés, cela est forcement plus terrifiant pour eux, ca l'est beaucoup moins pour nous. Fini, la possibilité réelle de se faire kidnapper, fini les massacres sanguinolents mais pourtant esthétiques, moins de gore, moins de peur. L'ajout d'effets spéciaux est au mieux risible au pire inadapté à la vision bas budget du premier volet. Finalement, la seule chose que l'on retiendra de ce film, est la tenue affriolante des serveuses, c'est dire...
Quand on voit le succès des deux premiers volets on ce demande comment c'est possible de faire un nouvel opus aussi mauvais que ça ! Rien est bon , Scénario, acteurs , Meurtre tout est vraiment archi nul . Je me suis forcé à le regardé j'ai perdu mon temps ...
Ce troisième opus de la saga Hostel n'est pas réalisé par Eli Roth, et ça se sent car c'est un film objectivement médiocre et fade. La seule prise de risque notable est le changement de lieu puisque cette fois l'histoire se déroule à Vegas. Malgré cela le reste n'est pas très intéressant à tout les niveaux : personnages, histoire et ambiance sont aux abonnés absents. La délocalisation de l'intrigue ne cache pas une réalisation et une caractérisation des protagonistes proche de la série Z ; bref Hostel 3 est l'épisode de trop et n'apporte rien à l'univers mis en place.
Pour clôturer la trilogie super connu est selon moi le meilleur film des 3 Les rebondissements sont présent tout à long du film Entre savoir qui est le tueur qui est le kidnappeur et qui sera la victime Tous le long on sera choquer de savoir qui fait quoi et pourquoi La fin sur les dernière minute le film cache bien son jeux et donne une fin intéressante
Dernier d'une lignée gore, dernier mais unique de la décennie 2010, la scène introductive m'aura à ma grande surprise confirmer que la direction, la photo ainsi que le jeu du casting ne serait pas à la hauteur. Si le générique fut bien penser et moderne, il montre cruellement la différence narrative et visuelle du registre horreur entre une décennie et la suivante. Scott Spiegel livre donc ici un 3ème volet plat, avec un casting en roue libre exagérant ses répliques, des comportements au delà du cliché et qui ne convainc pas, surtout lorsque l'on peut forcément penser qui va y passer en premier. Seul Brian Hllisay réussit à rester dans les rangs. Visuellement, musicalement, ce dernier volet ne vaut plus les précédents, nous passons d'une Slovaquie sombre, morbide et pauvre à un Vegas riche et fluo, des clients toujours dans le fantasme de la torture mais ici spectateurs de show à la César Palace ou les serveuses en bikini joue les excitations secondaires. Des mises à morts sur-jouées par nos victimes, des pièces ou la modernité et le clinquant à définitivement remplacer l'authenticité noir. Quand aux 3 scènes "-18", elles sont à la limite du kitsch même si elle reflète toujours avec évidence, le mental perturber des jouisseurs. Plus d'Eli Roth derrière la caméra ni à la production... Quand un expert du genre s'en vas, rien ne vas plus et les jeux sont fait.
Juste aucun intérêt ce film, une véritable blague comparé aux deux opus précédents qui étaient vraiment biens, là oublier l'ambiance glauque et les décors poisseux qui contribuer au malaise des deux premiers films, on a des décors plats, on s'ennuie, les scènes de torture sont d'un ridicule, un jeu d'acteur fade et une mise en scène médiocre: on alterne avec une photographie a gerber, des plans fait avec aucun talent et surtout filmé n'importe comment. Bref un film sans aucun intérêt ni fond ni forme et juste un moyen honteux de se faire du fric sur deux super films.
Autant le premier et le deuxième étaient relativement pas mal, autant celui ci est vraiment nul ! L'histoire n'est pas crédible et on est à chaque minute qui passe toujours plus proche de nanard. A éviter !
On est loin de l'ambiance et du contexte des 2 premiers opus mais le film n'est pas si déplaisant. Ici le seul lien avec les 2 premiers films est le club EHC dont on apprend qu'il en existe des succursales un peu partout dans le monde. Beaucoup de moments sont nanardesques et ridicules mais on trouve aussi parfois des bonnes idées. Souvent le spectateur qui a vu les films précédents pensera connaitre à l’avance le dénouement d’un événement et se laissera surprendre par sa tournure. spoiler: Le début à l’hôtel où un type à l’allure naïve se trouve être le prédateur alors que l’on pensait qu’il était la proie. La première capture dans l’entrepôt n’était en fait qu’une surprise organisée dans un club de streap tease pour l’enterrement de vie de garçon du héros Scott. Victor qui se fait embarquer au début avec se femme semble être le personnage secondaire victime « random » typique de ce genre de films et s’avère jouer un rôle crucial à la fin du film en se libérant, tuant deux gardiens et détruisant le système électrique de tout l’édifice EHC.
Beaucoup d’invraisemblances dans le scenario et les mises à morts à part la première ne sont pas si gore que ça. Beaucoup de conclusions de ces moments « hors champs ». J’ai aussi depuis le premier film, du mal avec l’appellation du club « chasseurs d’élite ». En principe un chasseur traque sa proie, ici elles sont livrées attachées aux tueurs. A moins que les chasseurs en question soient les rabatteurs en tous genre des futures victimes... Mais normalement c’est celui qui tue qui est le chasseur.
Alors je ne comprends pas qu’il est une note aussi médiocre ! Franchement, mise à part la fin prévisible le film reste fidèle au 1 et au 2 avec certe moins de gore, mais tout aussi angoissant que les autres. 5/5 pour remonter cette note !
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0,5
Publiée le 15 juillet 2021
Ce film était si horrible il est pire que les deux premiers films. Les deux premiers films Hostel étaient déjà du grand n'importe quoi celui-ci sublime le grand n'importe quoi. Il semble avoir été fait pour des filles et des garçons de 12 ans. Le concept n'était pas correct ou même original. Les acteurs sont médiocres le scénario est épouvantable tout comme les images de synthèse médiocres et le couteau en caoutchouc évident au milieu de l'histoire. C'est un film horrible de bout en bout et c'est aussi simple que cela. Le gore, les filles, les façons uniques de mourir et le décor tous est horrible. Imaginez un film de seconde zone avec des acteurs et des personnages de mauvaise qualité et des effets spéciaux médiocres. Il n'y a rien de positif à dire sur Hostel III, Hostel II ou Hostel I aussi d'ailleurs absolument rien...
Hostel 3 est peut-être le volet le plus sage et posé de la trilogie. À commencer par sa réalisation, là où le DTV (direct-to-video) se ressent clairement. Je ne sais pas trop, si le changement est dû à un manque de budget ou tout simplement faute à la direction qui a voulu donner un troisième chapitre sans Eli Roth à la réalisation, car ici, il passe uniquement en tant que producteur et cela se constate rapidement. Il faut avouer que ce chapitre donne trop l'impression de vouloir surfer sur la vague/succès d'Hostel. Il n'est pas mauvais, mais ce troisième est un niveau en dessous de ses précédents volets. L'ambiance chaleureuse et osée à la Hostel disparaît un peu, mais pas totalement, celui-ci est plus dans la retenue. De plus, cela reste toujours sadique, mais peut-être pas assez, les scènes de torture sont plutôt gore, mais trop peu suffisantes au bout du compte.
Un lot de défauts et de qualités pour cette suite dans laquelle on retrouve à peine l'esprit de la franchise tout en sachant tout de même la renouveler, car pour le coup, on s'écarte un peu de l'intrigue répétitive qu'avaient les deux premiers films, ce qui a tendance à offrir un troisième volet légèrement différent et plus concluant. Ce troisième film est un peu plus léger à côté des deux premiers ce qui en fait une suite qui n'est pas totalement à la hauteur, mais c'est un long-métrage malgré tout correct et qui en plus permet de mettre un vrai point final à cette trilogie.