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    Un Singe en hiver
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    chrischambers86
    chrischambers86

    13 699 abonnés 12 420 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 février 2008
    C'est peut-être le meilleur film d'Henri Verneuil! Pour "Un singe en hiver", le cinèaste a souhaitè la collaboration de Michel Audiard et le rèsultat est une avalanche de rèpliques cultes: "Attention aux roches et surtout attention aux mirages, le Yang-Tsè-Kiang n'est pas un fleuve, c'est une avenue!" ou "Oui monsieur, les princes de la cuite, les seigneurs, ceux avec qui tu buvais dans le temps et qu'on toujours fait verre à part, dis toi bien que tes clients à toi, ils vous laissent à vos putasseries, les seigneurs, ils sont à cent mille verres de vous...eux, ils tutoient les anges". Deux grands acteurs: Gabin et Belmondo, inoubliables, leur complicitè dans le film est èvidente! La sensibilitè de Suzanne Flon, le cabotinage de Paul Frankeur, l'excentricitè de Noël Roquevert, les superbes extèrieurs de la côte normande et la merveilleuse musique de Michel Magne font que le film se regarde toujours avec autant de plaisir. "Un singe en hiver", c'est aussi des morceaux de bravoure d'anthologies comme la cuite entre Gabin et Belmondo, une corrida d'automobilistes avec un Bèbel en matador èmèchè et un gigantesque feu d'artifice (sans aucun doute le plus beau du cinèma), pour une pètarade nocturne mèmorable! Au final on obtient un immense chef d'oeuvre du cinèma français...
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Voici l'exemple meme,que l'on peut sans aucun problème faire rimer,film populaire,bonne histoire,et exellents dialogues,tout ça sans jamais tomber dans la facilité ni le le vulgaire.Enfin facilté oui,mais pour ça il faut avoir du talent.Et c'est le cas ici avec la mise en scène d'Henri Verneuil,et surtout avec le très grand dialoguiste Michel Audiard,qui signe ici l'une de ses plus belle adaptation de texte au cinéma.Des textes biensur taillé sur mesure et servi par les excellents Belmondo et gabin.C'est un film parfait.Donc quand j'entend dire que le cinéma populaire ne peut pas etre de qualité.He bien non ce film est la preuvre parfaite que c'est parfaitement possible,c'est juste un gros manque de talent et d'initiative du monde du cinéma,beaucoups de réalisateurs dit populaire devraient prendre exemple sur ce genre de film,plutot que de faire des film raz les paquerettes.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 177 abonnés 4 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 avril 2024
    « Un singe en hiver » est incontestablement un chef d’œuvre intemporel du cinéma français. Soixante ans après sa sortie, rares sont ceux qui affirment ouvertement et de manière argumentée le contraire, bien obligés de se rendre à l’évidence. Cela n’a pas forcément été le cas lors de la sortie du film à Paris le 11 mai 1962 alors que la Nouvelle Vague poussée par Les Cahiers du Cinéma connaissait sa très courte période de gloire symbolisée par l’excellent « Les 400 coups » (1959) de François Truffaut mais aussi par les très surestimés « A bout de souffle » (1960) de Jean-Luc Godard ou « Jules et Jim » (1962) du même François Truffaut.
    Pour se faire sa place, la petite bande dite des « Jeunes Turcs » est menée par Jacques Rivette, Jean-Luc Godard, François Truffaut, Éric Rohmer, Claude Chabrol, Jacques Doniol-Valcroze et quelques autres qui vont se constituer en comité de salut cinématographique (le comité des dix) afin de réhabiliter certains cinéastes hollywoodiens (Alfred Hitchcock, John Ford, Fritz Lang, Howard Hawks…) qui n’en n’avaient sans doute pas vraiment besoin au vu de leurs prestigieuses carrières mais aussi et surtout pour s’ériger en contempteurs de réalisateurs français (Julien Duvivier, Claude Autant-Lara, Jean Delannoy, René Clément…) étant à leurs yeux coupables d’adaptations qualifiées péjorativement de « qualité française » car dénuées de toute originalité et de tout réalisme, privilégiant le tournage en studio, faisant la part belle aux dialogues et se souciant comme d’une guigne de la réalité sociale du pays. Le subterfuge a longtemps fonctionné, entretenu par la vague libertaire et contestataire qui suivit « Mai 1968 ».
    Mais le temps fait toujours son office, rendant parfois un verdict assez cinglant. Plus personne ne se souvient vraiment ni encore moins n’a visionné les films de la Nouvelle Vague qui désormais pourraient être frappés de la même accusation de ringardise que leurs concepteurs proféraient à l’encontre de ceux qui les précédaient. La plupart des films de ces « auteurs » comme eux-mêmes se nommaient affichent au grand jour leurs faiblesses narratives et esthétiques mais aussi le prisme très bourgeois de leur propos n’évoquant que très rarement les préoccupations du peuple dont ils se revendiquaient. Les plus talentueux d’entre eux comme Truffaut et Chabrol se sont affirmés l’âge mur venu avec des œuvres d’une facture plus classique et même pour Claude Chabrol avec des adaptations de Georges Simenon (« Les fantômes du Chapelier » ou « Betty »), l’un des auteurs phares du cinéma de « papa » de Sieur Gabin. Mieux encore, selon l’adage populaire « il ne faut jamais dire, fontaine, je ne boirai pas de ton eau », Claude de Givray, une des figures emblématiques du mouvement, certes un peu moins connu (scénariste pour François Truffaut et réalisateur de quelques longs métrages) a fini sa carrière comme directeur des fictions sur TF1, participant au lancement de séries comme Navarro ou Julie Lescaut. Comme quoi la révolution peut mener à tout.
    Ne pouvant plus vraiment s’attaquer à la qualité artistique d’« Un singe en hiver » à propos duquel Antoine Blondin lui-même affirmait : « Mon livre a trahi le film », les quelques grincheux restants ont choisi aujourd’hui de prendre pour cible Jean Gabin qui ne ferait pas le poids face au virevoltant Belmondo. Encore une affirmation ne résistant pas à l’analyse. Dans ce film, les deux acteurs sont étroitement liés et la performance de l’un ne vaudrait pas grand-chose si celui qui lui fait face ne renvoyait pas la balle au bon endroit. Il convient de rappeler que Belmondo, il est vrai excellent par l’amplitude des sentiments qu’il imprime à ce faux matador n’arrivant pas à prendre ses responsabilités, a lui aussi connu les revers de la critique quand il est devenu au mitan des années 1970 « Bebel ». Une fin de carrière sans doute moins honorable que celle de son aîné. Henri Verneuil lui aussi très décrié notamment pour la non-visibilité de sa mise en scène, a eu la bonne intuition d’exiger la présence de Belmondo face au monstre sacré. Par exemple Alain Delon qu’il associera juste après à Gabin dans « Mélodie en sous-sol » n’aurait sans doute pas été raccord avec l’univers d’Antoine Blondin qui exigeait plus de bonhomie et un sens de la dérision aiguisé.
    Une fois ces deux-là présents et les premiers violons qu’étaient Suzanne Flon, Paul Frankeur et Noël Roquevert à leurs côtés, le réalisateur devait simplement tout faire pour agrémenter la cuisson à feu doux en y ajoutant les condiments nécessaires. Et ceux-ci ne manquent pas, montrant la grande finesse dont pouvait faire preuve le très modeste et éclectique Henri Verneuil. Par exemple en marquant un changement d’époque par une plaque de rue « Maréchal Pétain » devenant par la magie de la pluie celle du « Général de Gaulle ». Ou encore la manière de filmer l’extraordinaire Suzanne Flon incarnant l’épouse fidèle guettant la venue redoutée du client qui fera retomber son époux enfin assagi à coups de bonbons à la menthe dans ses « démons extra-orientaux » et dont Verneuil encadre les variations d’expression corporelle avec les différentes mesures de la musique très circonstancielle de Michel Magne. Idem pour la scène finale dans le train où le vieil aubergiste se rendant sur la tombe de son défunt père, heureux d’avoir pu une dernière fois emprunter le véhicule imaginaire jusqu’à l’Orient de sa jeunesse raconte ému à une petite fille sa poésie naïve sur les petits singes abandonnés que l’on trouve à la fin de l’hiver sur les rives du Yang-Tsé-Kiang.
    Vu aujourd’hui, on peut sans doute regretter le rôle accessoire que jouent les femmes dans ce film d’hommes mais quand on parle d’alcoolisme notoire, il faut se souvenir qu’à cette époque les femmes n’avaient pas encore ambitionné d’emprunter tous les travers de la gent masculine. Encore un peu de patience et au train où vont les choses dans quelques années viendra sans doute la sortie en VOD d’ « Une G….. en hiver ». « Un singe en hiver » est le reflet de son temps et de l’univers mental d’un écrivain que les Verneuil, Gabin, Audiard, Frankeur et Belmondo eux-mêmes bons vivants n’ont pas eu de mal à habiter. Un alcoolisme qu’Antoine Blondin tente d’habiller d’un panache destiné à oublier pour un temps la grande détresse qui habite le plus souvent ceux qui ont compris que la rude lutte avec dame bouteille est perdue. Le film rend compte aussi de manière un peu idéalisée de la fraternité qui unit les « poivrots » quand l’un des leurs a trop « rempli » la cuve.
    Les dialogues de Michel Audiard fins comme jamais ajoutent la touche de poésie finale à ce film en tous points réussi qui à chaque nouvelle vision livre son petit lot de découvertes mêmes infimes comme ce micro-sourire de Jean Gabin filmé de profil alors qu’il découvre à côté de lui face à une glace ce nouveau client qui est peut-être comme il l’a été dans sa jeunesse enfuie un grand voyageur de l’esprit même si sa destination hispanique et tauromachique ne l’emmène pas aussi loin que sur les rives du fleuve jaune. Soyons certains que dans trente ans et plus encore il se trouvera des milliers de spectateurs pour s’émouvoir devant « Un singe en hiver ». Pas certains qu’il en soit de même pour « Pierrot le fou » ou « Jules et Jim ».
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 janvier 2014
    une belle petite pépite ce film avec un Gabin impressionnant et un Bebel remarquable , histoire de la bonne vie d'amitié et surtout de pignolades superbe film aller je vais m'en resservir un
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    une belle petite pépite ce film avec un Gabin impressionnant et un Bebel remarquable , histoire de la bonne vie d'amitié et surtout de pignolades superbe film aller je vais m'en resservir un
    Max Rss
    Max Rss

    197 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2019
    Dans une ville de Normandie, en plein bombardements, un ancien quartier maître de la marine française ayant servi en Chine promet à sa femme, que si l'hôtel qu'ils tiennent réussit à rester "debout" après les bombardements, il ne touchera plus jamais à l'alcool. L'hôtel en réchappe, et l'ancien quartier maître tient sa parole. Mais quinze ans plus tard, un jeune voyageur inconnu fait son apparition et amène avec lui la tentation... Telle est donc l'idée de départ de ce "Singe en Hiver" qui réunit deux des acteurs les plus célèbres du cinéma français : Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo. Beaucoup de choses ont été dites au sujet de ce film: d'ailleurs, beaucoup de bien pensants y ont vu une apologie de l'alcoolisme. Il s'agit en réalité de l'histoire de deux hommes qui ont vu leur vie rythmée par les voyages. Et qui sont nostalgiques d'un moment de leur passé. L'un de ses années d'armée en Chine et l'autre de sa relation avec une jeune femme qui l'a laissé tomber. Au début, la relation entre les deux hommes se résume à de brefs échanges. Mais petit à petit, une alchimie va se créer et tout cela va aboutir à un final pour le moins dantesque. Puis, ils se sépareront, et reprendront leur vie chacun de leur côté. Le principal point fort du film, c'est bien évidemment le tandem Gabin/Bébel. La complémentarité entre les deux acteurs est encore plus que flagrante. Mais n'oublions pas de mentionner les dialogues hyper inspirés de Michel Audiard qui nous offre une nouvelle fois des répliques qui sonnent juste (notamment le monologue de Gabin sur le Yang Tsé Kiang). Et les personnages secondaires (Suzanne Flon, Paul Frankeur et Noël Roquevert) viennent apporter leur pierre à l'édifice. "Un Singe en Hiver", c'est l'exemple tout indiqué pour montrer ce que le cinéma populaire français peut faire de mieux. Un film culte (donc impossible à manquer) et impeccablement interprété.
    leroimacaque
    leroimacaque

    2 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 novembre 2013
    Peut-être le meilleur de Michel Audiard, l'écriture est tout simplement fantastique. Plusieurs scènes m'ont marqué et font de ce film un des dix meilleurs que je connaisse. La justesse des idées ("Ce n'est pas l'alcool qui me manque, c'est l'ivresse !"), des personnages attachants et des tirades mythiques qui n'ont que peu de comparaisons dans le cinéma font entrer ce film dans mon top 5 des meilleurs films de tous les temps à mon sens (pourtant j'en ai vu un sacré paquet...).
    pietro bucca
    pietro bucca

    66 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2019
    Des dialogues de hautes volées et deux acteurs qui régalent avec maestria.On comprend pourquoi ce film est un classique quand on voit avec quel magie, les deux acteurs principaux tirent le maximum du scénario.
    Akamaru
    Akamaru

    3 090 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    "Un singe en hiver" a le charme intemporel des vieux films sincères et d'une aisance naturelle.La rencontre entre Jean Gabin,emblême populaire français de l'avant-guerre et Jean-Paul Belmondo,son successeur annoncé ressemble à un passage de témoin.Une relation empreinte de respect entre les 2 hommes aussi bien hors plateau qu'à l'écran.L'autre coup d'éclat de Henri Verneuil,c'est l'abord sympathique du sujet de l'alcoolisme.Ici,être plein comme une barrique signifie fraterniser,s'évader dans des rêves ou des souvenirs que la réalité ne peut pas permettre.Les ivrognes sont à la fois décapants et attachants.Il ne faut pas y voir une apologie de l'alcool,ce que n'a pas compris la censure de l'époque.Verneuil rend hommage à un art de vivre et à la communauté côtière normande.Comme espéré,les dialogues de Michel Audiart claquent et les répliques mémorables s'enchaînent.Gabin est d'une fébrilité rare en hôtelier nostalgique de sa période Indochinoise.Belmondo est ce singe égaré,fuyant un amour perdu en Espagne,s'improvisant toréro au milieu des voitures.Les 2 compères déclenchant un feu d'artifice final,apogée d'une nuit de cuite au firmament.Une comédie à nuances,dominés par des acteurs causants comme on n'en fait plus.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 30 janvier 2015
    L’icône du cinéma d'avant guerre qui rencontre l’icône de la nouvelle vague c'est forcément un bon film mais si on rajoute, les dialogues de Audiard et la la réalisation de Verneuil alors c’est un chef d’œuvre.
    Roub E.
    Roub E.

    948 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Un grand grand film, parmi les plus beaux dialogues écris par Audiard. Le duo Gabin Belmondo est magnifique. Un de mes films préférés tout simplement.
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Henri Verneuil n'était peut-être pas le plus grand réalisateur français, mais tout de même : quelle maîtrise ! Voir un tel professionnalisme n'est pas si courant, comme en témoigne l'épatante ouverture où l'ami Henri met tout son talent au service d'une scène à la fois spectaculaire et intimiste : une belle réussite. Après, il y a bien quelques passages moins inspirés, mais l'écriture d'Audiard est un tel régal et le duo Jean Gabin - Jean-Paul Belmondo si complémentaire qu'on ne peut que jubiler à de nombreuses reprises, d'autant que le scénario n'a rien d'un prétexte. Au contraire, celui-ci s'avère très cohérent et donne une vraie ossature à ces deux personnages radicalement différents, leur situation rejoignant très souvent le grand désarroi caractérisant souvent leurs discours. Et quand en plus les seconds rôles sont croqués d'aussi jolie manière, de l'émouvante Suzanne Flon en passant par Paul Frankeur et un génial Noël Roquevert, sans oublier un final pétaradant précédant un dénouement d'une belle sobriété, on ne peut que se réjouir. Le cinéma populaire dans ce qu'il a de meilleur.
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 juillet 2010
    Un classique impérissable du cinéma français mais surtout un petit bijou ! Pourtant, avec un sujet aussi glissant que l’alcool, il n’était pas évident de faire un chef d’œuvre. Mais, le film ne tombe pas dans le piège de la leçon de morale et préfère se concentrer sur l’ivresse plutôt que sur l’alcoolisme. Car, en transformant ces 2 âmes en peine (un nostalgique de l’armée et un père célibataire venu chercher sa fille) en princes de la cuite élevant l’ivresse au rang d’art, Henri Verneuil va au-delà du simple film d’ivrognes et réussit à rendre son film passionnant de bout en bout en l’agrémentant de scènes inoubliables (la corrida avec les voitures, la beuverie finale…). Mais que serait le film sans les merveilleux dialogues de Michel Audiard (parmi les perles, on retiendra le culte "Nous, on ne paie plus, on ne connaît plus, on ne salue plus… on méprise" ou l’excellent "Vous avez le vin petit et la cuite mesquine... Dans le fond, vous méritez pas de boire") et le duo formé par 2 monstres sacrés du cinéma (Jean Gabin en alcoolique repenti et Jean-Paul Belmondo en jeune tentateur) ? Chacune de leurs scènes communes est un moment de pure extase pour tout cinéphile qui se respecte. Ainsi, malgré quelques baisses de rythme par moments (un mal récurrent pour les vieux films), "Un singe en hiver" reste un petite merveille qui nous rappelle qu’avec de bons acteurs et de bons dialogues, on se plante rarement.
    Backpacker
    Backpacker

    77 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2007
    Le jeu spontané de Gabin et Belmondo ainsi que les dialogues percutants d'Audiard font d'"Un singe en hiver" un régal de cinéma à voir et à revoir...
    shmifmuf
    shmifmuf

    178 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 octobre 2012
    Un film vraiment attachant où les 2 acteurs principaux et les dialogues y sont pour beaucoup.
    Une des plus belles scènes de cuite du cinéma français se trouve dans ce film.
    Les meilleurs films de tous les temps
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