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    Un Singe en hiver
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    221 critiques spectateurs

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    Mirobole Pancrate
    Mirobole Pancrate

    36 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 décembre 2016
    Gabin surjoue Gabin, Belmondo surjoue Belmondo, Audiard surécrit Audiard et cet ensemble bruyant et gesticulant devient vite plus assourdissant et lourd que vraiment drôle. Une grosse déception compte tenu de la quasi unanimité des critiques positives. À regarder muni(e) d'une boite de Doliprane.
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 septembre 2011
    Le film reste célèbre aujourd'hui pour la rencontre Gabin/Belmondo dont l'entente et la complémentarité de jeu renforce le lien filial entre les 2 personnages. Il ne faut pas faire pour autant limpasse sur les seconds rôles tels que Noël Roquevert ou Suzanne Flon.
    Le film est agréable à suivre grâce aux dialogues brillants et aux deux séquences très connues (le rodéoavec les voiture et le feu d'artifice final).
    Martin P.
    Martin P.

    49 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Quel film. Un poème d'Audiard à consommer sans modération. La rencontre Belmondo/Gabin réunis non loin de Deauville pour un baroud d'honneur, pour rêver de voyages et d'ivresse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 janvier 2017
    Superbe mano a mano entre deux monstres sacrés, l'un sur le retour, l'autre sur le départ... à moins que ce ne soit l'inverse ! c'est une joie de les voir cabotiner chacun dans leur registre -même s'ils en font des tonnes- dans cette comédie douce-amère sur les dialogues truculents d'un Michel Audiard (comme souvent) très inspiré.

    Comédie douce-amère, car si elle est drôle et enlevée, elle est aussi d'une grande nostalgie tout du long, la nostalgie faite des rêves passés et des souvenirs qui se délitent, ces souvenirs auxquels seule l'ivresse peut redonner vie. C'est également l'ode des poivrots à l'insouciance temporaire pour se délivrer des contingences du réel, pas toujours très amènes.

    La fin est toujours aussi émouvante bien qu'elle ne soit pas triste en soi et ce paradoxe, nous le comprenons et le ressentons clairement : le film est fini et nous voilà déjà... nostalgiques !
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Parfois le cinéma arrive à nous faire croire que sur certains, le temps n'a pas de prise... Un singe en hiver, en est l’illustration. A travers la mythique et mémorable rencontre Gabin/Belmondo, le film et son action paraissent hors du temps, un peu à l'image de ce singe, joué par Bebel, comme si rien ne pouvait les atteindre, les dialogues demeurent géniaux et leur nuit d'ivresse éternelle...
    Laurent d
    Laurent d

    21 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mai 2007
    Comment faire un chef d'oeuvre intemporel avec une histoire d'ivrognes se déroulant dans un petit village de normandie en plein mois de novembre.
    La réponse, c'est l'alchimie entre Gabin, Audiard, Belmondo et Verneuil au meilleur de leur formes.
    On est devant un film, drole, emouvant qui parle à tout le monde.
    CH1218
    CH1218

    198 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mars 2015
    « Un Singe en Hiver » constitue l’unique rencontre cinématographique entre Jean Gabin et Jean-Paul Belmondo. Une vraie complicité et une amitié évidente qui transpercent véritablement l’écran. Les désillusions et les envolées alcoolisées de ces deux "monstres sacrés", misent en scène par Henri Verneuil et savoureusement dialoguées par Michel Audiard, sont pleines de poésie et d'humour. Une folle ivresse à l’image de la mémorable scène de la corrida automobiliste. Suzanne Flon, Paul Frankeur et Noël Roquevert enrichissent ce grand classique de leurs belles présences.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    690 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 novembre 2013
    La seul intérêt que j'ai trouvé dans le long métrage est, personnellement, les deux interprètes, leur relation, leurs personnages, et leurs compositions! Point! Et de voir cette image de fin, une petite fille entre ces deux légendes du cinéma français, les tenant par la main, accompagné d'une jolie musique, avant que Gabin soit laissé seul dans ses pensées, sur le quai de la gare, pendant que Belmondo s'en va a l'aventure, pourquoi pas une sorte de passage de flambeau, ça donne quelques frissons!
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    53 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 juin 2014
    Un grand classique du cinéma français. Adapté d'Antoine Blondin, dialogué par Audiard, réalisé par Verneuil, interprété par Gabin et Belmondo. Tout est dit ou presque.
    "Un singe en hiver" (1962), c'est la rencontre d'un ancien alcoolique avec un jeune paumé qui se console dans la picole. Deux générations, une même haute vision de l'ivresse, deux seigneurs qui ne se reconnaissent pas dans le reste de la populasse, celle qui a "le vin petit et la cuite mesquine". Le film est truffé de bons mots et de répliques cultes de ce genre, même si certains aspects du propos paraissent aujourd'hui datés et si le dénouement peut sembler consensuel.
    A noter la présence de prestigieux seconds rôles : Suzanne Flon, Nöel Roquevert, Paul Frankeur.
    girondins59
    girondins59

    40 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2007
    Hymne à l'alcool et à la vie, "Un Singe en hiver" est un film qui fit scandale du côté des associations anti-alcool lors de sa sortie.Mais que serait le film sans ses scènes d'ivresses intégrales où Gabin et Belmondo mais aussi Audiard aux dialogues laissent éclater tout leur talent.Henri Verneuil choisit ici de se mettre du point de vue de l'alcoolique et de comprendre certaines personnes addictes à ce genre de boissons.Ici, pas de descente aux enfers dans l'alcool due à la mort d'un proche ou à une femme infidèle, seulement deux types dont les plus belles années de leur vie sont derrière eux et qui, à travers leur séance de beuvrerie revivent leurs voyages les plus exotiques.Car la boisson est ici un moyen de quitter cette morne station balnéaire de Tigreville pour se réfugier dans des pays ensoleillés comme la Chine pour Gabin et l'Espagne pour Belmondo.C'est à travers cette sacralisation de l'ivresse que réside la principale faiblesse du film de Verneuil qui malgré une mise en scène irréprochable s'emmèle un peu les pinceaux dans son message et nous ferait presque croire que l'alcool résout tout les problêmes, chose qu'il est bien évidemment dangereux de croire.Une bonne comédie avec beaucoup d'émotions qui redonne goût au plaisir de la vie, aussi interdit soit-il.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 541 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2021
    Un Singe en Hiver est célèbre pour avoir réuni la France de la première moitié du siècle symbolisée par son plus grand acteur Jean Gabin et le plus grand acteur de la seconde moitié du siècle Jean Paul Belmondo. Non seulement il les a réunis mais il a créé de la magie à l'écran. Le film respecte les trois unités grecques de création l'unité d'action c'est l'histoire d'un homme qui vient récupérer sa fille et qui rencontre par hasard un vieil homme qui ressemble beaucoup à l'homme qu'il pourrait devenir. L'unité de lieu tout se déroule dans la ville côtière de Tigreville en Normandie et l'unité de temps tout se déroule sur 3 ou 4 jours. C'est un film français où il ne se passe rien mais où l'on raconte beaucoup de choses. Chaque mot a son poids chaque phrase en dévoile davantage sur l'histoire ou le passé des deux personnages centraux joués par Gabin et Belmondo. Il y a peu de films qui peuvent à la fois vous faire rire vous toucher et vous inspirer comme le fait le film d'Henry Verneuil. C'est une histoire d'hommes bons qui ont parfois besoin de vivre un peu et de se divertir de profiter de la vie et de rêver un peu. Il est peu probable que nous ayons encore un jour un film comme celui-ci c'est un bijou à conserver précieusement jusqu'à la fin des temps...
    Stephenballade
    Stephenballade

    395 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2015
    Au risque d’en décevoir certains, je ne pense pas que ce soit le meilleur film d’Henri Verneuil. Pour ma part, je préfère largement "Mélodie en sous-sol", certes très différent. Cela dit, je ne dis pas qu’ "Un singe en hiver" n'est pas bon, non. Loin de là ! Evidemment, on peut compter sur le savoir-faire d’Henri Verneuil, lui qui nous a régalé déjà avec "La vache et le prisonnier". D’ailleurs, le point commun entre "La vache et le prisonnier" et "Un singe en hiver" est la simplicité du scénario. On peut compter également sur le casting, puisque la tête d’affiche est partagée entre Jean Gabin et celui qu’il appellera Monsieur (le monde à l’envers), Jean-Paul Belmondo. Gabin laisse filer ce flegme qui fait son charisme pour nous jouer un numéro de personnage fortement alcoolisé en compagnie de son grand ami Paul Frankeur. 18 minutes de pur régal. Je ne reviendrai pas sur le synopsis proposé ici, je ne ferai que le répéter, peut-être plus en détail. Mais on reconnait bien l’insouciance de la jeunesse de Bébel qui va atterrir dans un hôtel peu avenant, tenu par un hôtelier peu avenant, par un temps peu avenant, à une heure peu avenante. Et c’est pourtant avec cette mixture peu avenante que va naître une amitié entre ces deux hommes, l’un alcoolique notoire pour oublier une histoire d’amour et pour voyager en Espagne, l’autre qui carbure à l’eau sèche comme un coup de trique pour ne plus voyager en Chine. Venu pour récupérer sa fille dans le pensionnat de Tigreville, le jeune Fouquet va rappeler la jeunesse à Albert, de la même façon que la sagesse d’Albert va déteindre sur le sens des responsabilités de Fouquet. Ce dernier étant chargé d’une mission, il n’en fallait pas plus pour pousser Albert à lui donner un coup de pouce en animant de façon incongrue la tranquille ville de Tigreville, scène qui termine le film en véritable feu d’artifice. Ils sont rythmés par les dialogues de Michel Audiard, toujours aussi ciselés et taillés sur mesure, nous amenant une belle collection de répliques cultes. Un vrai régal pour nos esgourdes. Puis comme une fusée perdue, la dernière citation de Michel Audiard, "Et le vieil homme entra dans un long hiver…" sonne comme le glas d’une personne qui a décidé d’en finir, balayant d’un seul coup toute forme d’hilarité pour laisser place à une grave tristesse spoiler: en nous en le voyant attendre assis seul sur un quai de gare quasiment désert
    . Adapté du roman éponyme d’Antoine Blondin, "Un singe en hiver" paraît être un titre à la fois répugnant et intrigant. L’explication du titre nous est donnée par Jean Gabin dans le film, mais sachez qu’il s’agit d’une belle histoire d’amitié entre deux hommes qui vont s’apporter mutuellement énormément de choses. un film à découvrir ou à redécouvrir, ne serait-ce que pour les joutes verbales du maître incontesté des dialogues, j'ai nommé Michel Audiard.
    teofoot29
    teofoot29

    85 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Un tel film ne peut que laisser nostalgique, nostalgique d'un Gabin exceptionnel accompagné de ses fameux coups de gueules, nostalgique du duo qu'il forme avec un Belmondo parfait, nostalgique des fabuleux dialogues d'Audiard et de pleins de choses encore... L'histoire est très touchante, je dirai même émouvante d'une amitié rapide d'un jeune homme qui vient chercher sa fille qu'il n'a jamais vu et d'un vieil homme qui pris par la vieillesse goûte à ses derniers élans d'ivresse. La fin en est même philosophiquement explicite. Je finis pour dire que ce film, c'est un des meilleurs films français que j'ai vu. Un très grand chef d'oeuvre à la fois drôle et émouvant.
    Julien Vasquez
    Julien Vasquez

    31 abonnés 1 094 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2011
    Henri Verneuil réalise un film magnifique avec des répliques cultes évidemment servies par Michel Audiard et un merveilleux duo Gabin / Belmondo.
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    290 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2020
    Un classique du cinéma français. Jean Gabin et Belmondo, monstres sacrés du cinéma français, étalent ici tout leur talent, et leur présence devant une caméra, formant un duo drôle et touchant en même temps. Le contexte d'un petit village de Normandie, la profondeur des dialogues portés par ces deux immenses acteurs, et la touche douce amère de la part du réalisateur, font de ce film une petite leçon de cinéma, pour tout cinéphile amateur de vieux films. A voir et à revoir.
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