Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
RealPrime
84 abonnés
1 746 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 4 octobre 2024
Vampires + prêtres, c'était à demander s'il allait un jour y avoir cette confrontation hors du traditionnel vs démons contre curés. Paul Bettany ("Da Vini Code", "Avengers 2 & 3", "Wanda Vision", "Légion"...) incarne spoiler: ce prêtre combattant, ce croyant à l'envie d'aimer son prochain tout en voulant l'anéantissement total d'une menace légendaire voulant elle-même l'anéantissement mondiale mais dont personne, les hautes instances paroissiale en premier, ne veulent entendre parler. Visuellement excellent, des combats hyper canon pour un récit basique mais sincèrement dans ces récits, quels intérêt y à t-il de se là jouer Nolan ? Nous perdre dans une aventure gothique devant être monstre ? Sans moi. Des chorés d'affrontements dantesque, un jeu percutant et des fonds sonores canon, "Priest" fait parti de la bien trop longue liste de films fantastique dont les critiques n'ont été guères positives pour sa simplicité scénaristique mais dont la qualité visuelle restera de toute manière magique. Lily Collins ne s'offre évidement pas à rôle monstrueux, mais quitte à faire partie du cast, autant y être pour la bonne cause. Karl Urban ("The Boy's", "Le Seigneur des Anneaux"...) joue ce meilleur ami devenu l'ennemi jurer, avide d'un pouvoir régénératif offert par le diable et qui va nous offrir des combats dantesque. Maggie Q par contre ne brille pas suffisamment, même si elle reste " l'atout charme" et l'unique personnage féminin, arrive tardivement et n'est pas aussi percutante parce qu'elle ne sera pas, et malheureusement, pas mise en valeur aussi bien niveau action que lors des scènes plus classiques . Un récit sur la surpuissance religieuse des hautes instances et le mépris de ces derniers vis à vis de celles et ceux qui pourtant, veillent à leur sécurité et "grandeur". Les vampires auraient pu revenir mais hélas, il n'en aura rien été.
On sent une tentative de bien faire du projet qui veut mélanger pas mal de choses (univers dystopique où le monde s'est réfugié autour de la parole de leaders religieux, l'aspect western...). Le film regorge de scènes d'action efficaces en effets spéciaux, de créatures bien conçues. Mais l'absence d'histoire vraiment intéressante (il faut sauver la fi-fille à son Papa) et d'acteurs charismatiques ainsi que le surdécoupage parfois maladroit ses scènes en font un échec mérité qui empêchera d'avoir des suites.
Très bon film de SF mêlant vampires, western et religion. Un étonnant mélange qui nous donne un film rythmé et sans temps morts. Le casting est convainquant et plus particulièrement le charisme de Paul Bettany. Excellent film qui passe bien trop vite.
« Priest », adapté d'un manga coréen et présenté comme un western futuriste vampirique, est un divertissement efficace et survitaminé. Scott Stewart, le réalisateur, mélange habilement les genres et parvient à rendre le tout assez digeste, malgré une réalisation qui peut parfois sembler maniérée. Paul Bettany, en tête d'affiche, est convaincant et dynamique, ce qui donne du rythme au film. Bien que le scénario ne brille pas par son originalité et que l'intrigue paraisse confinée, les nombreux effets spéciaux et une mise en scène audacieuse compensent ces faiblesses. Malgré une bande-son un peu envahissante et un fond narratif pas très dense, le spectacle visuel offert est impressionnant et le final est particulièrement grandiose. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Une surprise pour moi qui n'accrocher pas sur le prêtre avec ça croix sur la tête, finalement je me suis laissé tenter et il faut dire que ce film est plutôt bon . Un mélange de fantastique, science fiction et horreur avec de l'action à la matrix et une aventure a la mad max qui nous donne finalement un bon résultat. Peut-être un peu trop de bande son et de christianisme mais ça ne dérange pas plus que ça...
Une sorte de prisonnière du désert (de J. Ford) version cyberpunk où un homme part a la recherche de sa nièce dans le désert, avec des indiens qui sont des vampires matinés aliens et les cow boys des prêtres surpuissants. Idée originale mais mal traitée, il y avait du potentiel mais on reste dans une série B, car rien n'est jamais développé.
Après Legion (2010) qui marquait ses débuts derrière la caméra, Scott Stewart rempile ardemment à la réalisation ne laissant pas à la critique la possibilité de lui briser les ailes en plein élan. Adapté cette fois-ci de l'éponyme Manhwa, c'est-à-dire une bande dessinée Coréenne, Priest (2011) bénéficie d'un contexte moins bavard bien qu'assez similaire dans ses propositions, quand la religion et ses forces armées sont de mise pour lutter contre le mal. Si le film s'écarte de la bd, que les vampires et l'ambiance font indéniablement penser à la franchise Underworld (2003), ainsi qu'à l'épisode Extinction - Resident Evil (2007), en comparaison Legion s'en tire agréablement bien. Graphiquement, le film en deux parties présente deux univers distincts. Une cité ultramoderne encrée dans un monde dystopique puis un immense désert qui l'entoure, avec ses mines qui renferment les fameux vampires sensés avoir disparu, après une guerre sanglante qui a également mis fin à l'odre des prêtres. La présentation est fun grâce à un animé de qualité et bien que la bd semble s'armer d'un graphisme bien différent, cette adaptation propose sa propre trajectoire qui n'a pas été désavouée par l'auteur d'origine, lors de sa visite sur le plateau de tournage. Priest, le film, semblait même s'offrir l'opportunité d'une suite qui ne verra sans doute jamais le jour mais traduisait l'espoir d'une réussite derrière cette seconde réalisation, auprès d'un Paul Bettany toujours solide pour apporter du charme à ce genre d'ouvrage et d'un Karl Urban très inspiré pour lui tenir tête. En tous cas, parmi les films du genre, Priest nous régal par son style, dû à des effets de qualité dans un univers unique.
Avec sa trajectoire au succès discret façon Equilibrium, Priest mériterait d'être plus connu ainsi que reconnu. Ce genre de western moderne futuriste au pays des vampires possède une bien belle atmosphère et avec sans doute un budget limité il nous propose un voyage plutôt maîtrisé et à la réalisation très correcte. Le casting est parfait, les décors intéressants et l'on ne s'ennuie pas. Ça déboite du ghoul et l'univers proposé, sombre et profond, avec des moyens à la hauteur pourrait s'avérer assez fou. Le final laissait présager une suite, je suis preneur.
Ce western futuriste néo-gothique oppose prêtres et vampires dans une ambiance pas si mal rendue. Certes, on sent que le budget n'est pas à la hauteur mais ies effets spéciaux sont assez corrects avec une mention spéciale pour les motos. Ce n'est pas indispensable mais ça se laisse regarder avec un bol de pop-corn..
Un style gothique dystopique assez plaisant. Mais l'histoire est trop hachée, légère avec du manque de souffle. La mise en scène est enfantine et les personnages trop superficiels. Il y a juste le personnage de Bettany qui s'en sort assez bien.
Comment peut on ne serait-ce qu écrire une ligne d un script comme celui là ? Je pense que le scénariste au bout du rouleau a dû prendre une bonne cuite et se mettre au travail après. Vu sous un certain angle c est franchement drôle mais sinon c est limite irregardable. L image est moche le son assourdissant tant mieux on entend moins les dialogues qui frisent la lobotomie. Paul Betany peine vraiment là dedans alors que pourtant c est un bon comédien...après Légion il s était spécialisé dans ce genre de film pseudo catho gothique. Bref c est largement dispensable.
Une atmosphère fin de civilisation qui colle bien au thème, vampire. Des prêtres qui symbolisent la morale, faces aux gouvernants, encore plus pervertis. Les vampires sont répugnants, ils calent bien au décor. j'ai adoré. On aimerait bien une suite...
J'en suis encore à me demander dans quel domaine le film serait réussi, la photographie affligée d'un filtre bleu nous pique les yeux, les scènes d'actions n'ont aucune originalité, les dialogues sont pauvres, le jeu d'acteurs exécrable, mention spéciale à Paul Bettany aussi charismatique qu'une boite à chaussures, aucun humour, aucun plan travaillé, quant au scénario il est d'un indigence rare. Oui, mais le fond ! Objectera le chœur antique ! Ah oui, le film dénonce (fort mollement d'ailleurs) une théocratie imaginaire ! Quel courage inouï !
on est très au-delà de la caricature, on est dans le grotesque. Les accessoires (armes, les véhicules), les dialogues (très proches des blagues de Schwarzy des années 80), les cascades, les CGI (les vampires sont nuls)... et surtout le jeu d'acteur ultra sur joué dans des poses ténébreuses. A part quelques beaux cadrages lors de l'attaque du train, le film génère un sentiment de malaise. Rien ne fonctionne.