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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 février 2013
"Priest". Prêtre en français. Un seul mot. Un titre sobre, simple, mais qui en dit déjà long sur ce qui va suivre. Car "Priest" est avant tout une réflexion sur la religion, sur sa genèse, son histoire, son avenir. Dans la digne lignée d'un Pascal et de ses "Pensées", Scott Charles Stewart signe un film personnel et qui sort des sentiers battus, quitte à ne pas être consensuel. Si la Religieuse de Guillaume Nicloux (sortie le 20 mars 2013) décrit le quotidien et le désir de liberté d'une adolescente enfermée au couvent contre son gré, Priest montre lui la prise de conscience d'un prêtre qui a toujours obéi à ses supérieurs aveuglément, et qu'une dernière mission, pourtant de routine, va faire basculer dans la contestation. Car ici, les prêtres combattent les vampires, dans un monde post-apocalyptique, ultime métaphore pour montrer le combat de l'Eglise contre l'obscurantisme et le péché (avec l'Eglise comme seul rempart de la société et de ses Lumières). Cependant, le mal ronge même le bien, et au pays des cardinaux, certaines mitres sont plus noires qu'on ne veut le faire croire. Bref, un film iconoclaste, véritable questionnement sur la religion, qu'il ferait bon de revoir à l'heure ou l'Eglise va élire son nouveau pape (et pourquoi pas le projeter lors du vote des cardinaux, pour les sensibiliser?). A voir le dimanche avant d'aller à la messe.
Je voulais le voir au cinéma il y a longtemps mais je ne l'ais pas vu et heureusement ! Déjà l'affiche est magnifique je trouve, elle donne trop envie et le film est malheuresement décevant .. Un film basique toujours la même histoire . Le méchant et l'histoire me font un peu penser a abraham lincoln chasseur de vampire qui était lui aussi bof mais mieux .. Donc voilà des acteurs pas terrible, des bonnes scènes certes mais c'est pas assez suffisant pour me satisfaire en tout cas . Pour qui ne l'aurais pas vu vous ne louper rien..
Pour qui a lu le manhwa original de Min-Woo Hyung, le visionnage de ce Priest sur grand écran a dû être des plus désolants ; ayant déjà lu dans les grandes lignes les tenants et aboutissants de l’intrigue développée sur seize volumes par cet auteur sud-coréen, j’ai compris bien rapidement que le respect de l’œuvre originale ne semblait pas être ici de rigueur. Je doute donc que les fans de la première heure aient pu apprécier cette réalisation de Scott Charles Stewart ; mais (heureusement) n’en étant pas un dans mon cas, regarder Priest fut donc une épreuve somme toute digeste, car celui-ci s’avère être un divertissement plutôt correct pour les néophytes. Correct donc, dans le sens où l’univers apocalyptique qui s’offre ici à nous est des plus intéressants ; on y découvre une forme originale (si l’on peut dire) de vampires, confrontés à des prêtres(-guerriers) chargés de protéger l’humanité, qui est pour sa part cloisonnée dans d’immenses cités hermétiquement contrôlées par le Clergé. Bien que l’on jurerait entrapercevoir des ficelles déjà usées dans un certain Equilibrium, on se laisse prendre au jeu, l’ambiance et le rythme plutôt bien menés nous convaincant malgré tout ; néanmoins, le bât finit par blesser sur bien des points, comme le laissait présager le résumé archi-rapide des contours de l’univers abordé par Priest. En effet, le scénario se veut profondément prévisible, et les personnages principaux ne sont pas assez charismatiques (il manque quelque chose à Paul Bettany) ; de même que leurs caractères caricaturaux, on assiste à un film sans réelle profondeur, celui-ci privilégiant un fil rouge simplifié au maximum, afin de mettre en avant des scènes d’actions dans leurs majeure partie trop grandiloquentes. En bref le grand public aurait pu répondre d’autant plus présent si Priest ne s’était pas contenté du minimum syndical ; et c’est dommage car certains éléments valent le coup d’œil (Karl Urban dans le sympathique rôle de Black Hat, ainsi que la scène finale du Train, le clou du spectacle véritablement). Les défauts propres à ce Priest version cinéma font ainsi de lui un divertissement tout juste passable, sauf si vous être un fan du manhwa, auquel cas ce film risque de vous décevoir d’autant plus.
Divertissant et rien d'autre. Le scénario est faible dommage car l'idée était bonne. Un petit SF qui vous fera passer le temps mais ne vous marquera pas. Pour ma part la fin est nulle, très peu d'intrigue et les acteurs ne sont pas particulièrement bon. Que dire.. j'aime l'ambiance, côté noir, chaotique, western dans le désert .. Dommage que le scénario est bien trop superficiel.
J'avais essentiellement vu ce film car à l'affiche il y avait Karl Urban (aka Eomer). Bon je vais être honnête il n'y a pas grand chose à sauver ici. C'est nul, c'est plat, c'est vide, c'est mal foutu, et Paul Bettany est juste insupportable. Je mets 1 étoile pour Cam Gigandet et un peu aussi pour Urban.
Ni bon, ni mauvais. Mélange de post-apo et de western, assez frais dans le concept mais au final très linéaire. Ne suscite pas beaucoup d'émotions mais reste un petit film pop corn sympathique.
Bienvenue dans le monde du manhwa (équivilant coreen du manga), ça a été un peu édulcoré pour coller au standard américain (moins gore que la BD) mais ça reste assez fidèle. Tout n'est pas à jeter comme "Dragon Ball évolution". Il est très sympa.
Cette adaptation de manga n'est pas pourvue d'un scénario extraordinaire, mais la réalisation est efficace et remplit très honorablement sont rôle: nous divertir. Les effets spéciaux, les décors apocalyptiques, les combats entre prêtres et bestioles ténébreuses et la bande son servent dans ce sens jusqu'à la fin explosive.
Pour être honnête, je n'attendais rien de ce film (on me l'a offert en DVD), et finalement je me suis fait surprendre. Même si il ne révolutionne pas le film d'action ou même de vampires, il apporte une vision différente.Tout d'abord, le mélange savamment dosé entre Blade et western marche plutôt bien. L'histoire des vampires changent de tout ce qu'on a pu voir, et de ce coté le petit passage animé en début de film est intéressant. Les Priests, genre de Jedi de ce monde post-apocalyptique permettent d'avoir des scènes d'action bien menées et bien filmées. Certes l'histoire, banale, ne révolutionnera en rien le cinéma mais permets tout de même de passer un bon moment sans prise de tête.
Bon j'ai regardé ce film avec un apriori énorme, mais alors énorme… et au final, bin, je ne suis pas déçu. D'un coté le film n'est vraiment pas génial mais ce n'est pas surprenant, le genre "fantastique" étant l'enfant pauvre des scénaristes hollywoodiens, et d'un autre coté, le film n'est pas si mal et passe relativement bien. Bon coté scénario, donc, c'est toujours le vide absolu. En ce qui concerne l'univers social, esthétique ect dans lequel évoluent les personnages on ne compte plus les références pour ne pas dire que le film plagie tout ce qui a pu ce faire avant : on évolue ainsi dans un univers futuriste post apocalyptique tendance cyber punk à la sauce Mad Max avec une p'tite touche de H.R. Giger revisité façon farwest ! Si, je vous assure. Du coté costume c pareil, encore du Mad Max, du matrix bien sur, un soupçon d'Underworld et surtout, mais la c'est peut être moi qui hallucine, du Bilal, le dessinateur. Tout au long du film j'ai cru assisté à la mise en image de certaines BD d'E. Bilal et notamment d'Exterminateur 17 que je trouve très proche du point de vue stylistique… Un petit plus pour les designers, les monstres sont plutôt sympathiques même si on les voit trop rarement à mon goût. Un p'tit film sympa, sans plus, qui passe très très bien quand on n'a pas envie de se prendre la tête. On note quand même une évolution positive par rapport à Légion, son précédent opus, même si on partait de loin.
3/5 Ouais c'est pas mal. J'ai bien aimé le début du film en dessin animé version happy tree friends x). Ma foi, ça se laisse regarder même si le scénario fait parfois un peu pitié, l'histoire est plutôt courte mais bien ficelée. A regarder lorsqu'on a du subir Twilight ;)