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    The Limits of Control
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    136 critiques spectateurs

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    patrick cheutin
    patrick cheutin

    3 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2024
    J'ai découvert isaak de bankolé dans un film en 1986 dans Black Mic mac avec Jacques Villeret où il était plus expressif. Je pensais qu'il ne tournait plus. Comment peut-on faire un film plus vain, inutile que The limits of Control ? "Les vacances de Mr Bean" pastiche bien l'art de faire de faire des films inutiles, sans aucun sens. il ne se passe rien. C'est désespérant. Et certains s'extasient ! Ok , c'est bien filmé mais à part ça ce film est une purge complète. j'ai été obligé d'accélérer mais même comme ça, ça reste nul, affligeant, inutile.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mai 2024
    Fascinant.
    Un film dont le titre est une porte grande ouverte, à la lumière vive et à l'obscurité captivante. "The Limits of Control" lui va comme un gant, déposé là par une main mystérieuse, là entre deux mondes opposés et complémentaires.
    Ce film suit une ligne ténue, presque invisible, que Jarmusch et ses acteurs révèlent avec brio, interrogent avec fantaisie.
    Un héraut, mélancolique et sévère, caracole au bord des limites du langage, falaise lointaine et mouvante, dans l'immensité de la représentation concentrée d'une œuvre d'art. Où des actions maîtrisées évitent le chaos. Où des rêves profonds font face à l'oubli et maintiennent le monde.
    Énigme magnifique.
    riverainpsy
    riverainpsy

    31 abonnés 407 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2022
    Beau , hypnotique , ésotérique, intelllo , prétentieux, ennuyeux ... Une déception globalement malgré ses qualités.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 480 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 juillet 2021
    Je n'ai jamais vu un film pire que The Limits of Control de toute ma vie. Il y a beaucoup trop de masochisme à endurer pour près de deux heures de film pour moi. Après tout il y a Tilda Swinton Bill Murray et il est réalisé par un sois disant réalisateur célèbre Jim Jarmusch. Pourtant il ne se passe rien dans cette histoire sauf si vous considérez que huit présentations du même thème ennuyeux sont quelque chose d'intéressant. Voici le thème un homme ostensiblement trop habillé passe la journée en costume à fixer un seul tableau dans un musée et à s'asseoir devant deux expressos tandis qu'un hélicoptère noir vole au loin. Puis un étranger s'approche tente d'engager avec lui une conversation pseudo philosophique à laquelle il ne répond pas et ils échangent leurs boîtes d'allumettes. Sa boîte d'allumettes contiendra un petit morceau de papier avec deux ou trois lignes écrites qu'il mangera. Il passera le reste de sa journée en silence résistant au divertissement à la conversation et au sexe. Si cela semble excitant laissez-moi vous assurer que cela ne l'est pas du moins pas après la troisième répétition de ce thème et certainement pas au moment où le générique final nous libère de cette torture. Il n'y a pas de récompense il n'y a pas d'intrigue il n'y a pas de but dans ce film et il n'y aucune crédibilité car il n'y a rien que le vide déguisé en art...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    680 abonnés 2 990 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 avril 2018
    Je n’ai aucune idée de ce que je vais filmer, le plus intriguant ne réside-t-il pas dans l’inconnu de l’équation existentielle ? Mystère pour mystère, ennui pour ennui, The Limits of control ressemble à ce film de vacances projeté aux endormis amis pour qui il n’évoque rien, inerte carte postale exacerbée comme vitrine touristique au charme désuet trop longuement exhibée, très vite oubliée. Le réalisateur saisit par son cadre de vagues motifs architecturaux destinés à évoquer la linéarité pourtant arbitraire du temps humain ; règne plutôt l’impression d’une vaste supercherie où l’équipe de production parvint – en cachette certainement – à composer quelques plans entre deux scènes routières pour sauver le film du désastre. En résultent une œuvre profondément prétentieuse, un exercice de style qui se réduit à une métaphore filée pendant près de deux heures, vain. Et quel mépris pour le spectateur qui n’aurait pas encore quitté la salle ou éteint son écran ! Lunettes noires et déambulations urbaines ne font ici guère bon ménage, M. Jarmusch. Encore moins bon métrage. Il faut investir dans un opticien pour remédier à cette cécité artistique et espérer accéder à une vision. Lourd investissement.
    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 juin 2017
    Faut se remettre dans le contexte de l'époque. Jim Jarmusch a connu un important succès avec ''Broken flowers'' (2005) qui a reçut le Grand Prix du Jury à Cannes. Mais une partie de son public d'antan est déçue : on lui repproche d'être passé avec ''Broken Flowers'' à un cinéma plus populaire, pour ne pas dire plus commercial. En somme, d'avoir délaissé ce qui faisait sa patte. A partir de cela, on ne peut faire que des suppositions sur ce qui se passa. Donc, vous êtes prévenu : les évènements qui se déroulent dans cette critique sont purements fictifs

    Jim n'est pas très content que des gens le critiquent. Il décide par conséquent de prendre des vacances. Où ? Jim prend sa mapemonde et tire au sort sa destination. Et paf ! C'est l'Espagne ! Bon, il n'a plus qu'à prendre l'avion. Mais Jim est triste, il n'aime pas voyager seul. Il prend donc son portable dernier cri et appelle des copains pour savoir s'ils ne voudraient pas l'accompagner dans son périple. Miracle, ils sont tous libres ! Allez, c'est parti ! Et comme tout bon cinéaste en vacances, Jim prend dans ses valises sa caméra, histoire de filmer ses vacances et ses potes.

    Ca y est ! Jim, Isaac (de Bankolé), Bill (Murray) et les autres sont en Espagne ! Il fait chaud, beau... Mais Jim s'en veut : le cinéma lui manque. Isaac, plein d'empathie lui propose de faire un film ensemble, maintenant avec toute la bande. Jim reprend du poil de la bête et écrit alors un scénario magistral avec action, poursuite, suspense... Mais Jim est embêté : il n'a personne pour la photo et la musique. Mais... quelle chance. Qui se trouve sur une terrasse de café à Séville ? Le groupe japonais Berlin qui accepte de faire la BO du film, moyennant une somme sonnante et trébuchante dont l'honorable étranger peut sans doute s'acquitter très commodément. Et qui se trouve à la table voisine ? Christopher Doyle qui déprime toujours depuis 2004, en gros depuis sa brouille avec son cher Wong Kar-Wai. Jim lui propose très gentiment de rejoindre l'équipe. Christopher accepte avec gratitude. C'est parti pour le tournage !

    Jim est heureux. Il va, tout en se dorant la pilule, faire un film comme il en faisait à l'époque. D'autant plus que de fieffés pigeons ont chippé le scénario (Jim les incluera dans son film et ce sera bien fait). Pas grave. ''Quel meilleur film que celui sans scénario ?'' se dit Jim. Il décide de filmer Isaac. Isaac au café, Isaac et ses expressos, Isaac au musée, Isaac et sa gymnastique matinale... Le but ? Eviter de faire parler Isaac, le pauvre a, depuis le début du voyage, un grand mal de dent. Ce sera plutôt les autres acteurs qui parleront. ''Mais de quoi parlerons-nous?'' s'interrogent les acteurs. ''Oh, un peu de tout'' répond Jim. Avec un peu de chance, cette brochette d'acteur attirera du monde : Issac (bien sûr) et les autres, Tilda Swinton, Bill Murray, Gael Garcia Bernal, John Hurt...

    Quel beau tournage ! ''Et quel beau film'' s'extase Jim, content de voir Isaac, en tueur à gages, rencontrant à des terrasses de café ses indicateurs. Et à côté de cela, Jim décide de filmer les hôtels dans lequel il descend : joindre l'utile à l'agréable. En parlant de choses censées être agréable, Jim décide d'ajouter dans son film une fille constamment à poil (''pourquoi ? Parce qu'on peut!). ''Pour réveiller le spectateur trop peu intello'' explique Jim.

    Les vacances se terminent, le tournage aussi. Mais Jim est fier. Il pense avoir pondu son chef-d'oeuvre. L'oeuvre qui convoque l'abstraction la plus totale. Un trip planant que seul les êtres doués d'intelligence et de sensibilité pourront comprendre (''l'élite, si vous préférez'' ajoute Jim). En somme, la redéfinition du cinéma. Il ne reste plus qu'à recevoir les louanges de la critique et du public, qui, vu le casting, se ruera sans doute dans les salles. Hé hé !

    Plus sérieusement, jetez ce film à la poubelle. Ce n'est pas qu'il ne s'y passe rien, c'est que les choses qui se passent dans ce film n'ont strictement aucun intérêt. Mise en scène m'as-tu-vu et prétentieuse, scénario inepte, acteurs qui cachetonnent... Sans doute le plus mauvais Jarmusch (qui avait, en des temps anciens et favorables, réalisé ''Ghost Dog'', toujours avec un tueur noir). ''The limits of control'' rejoint le cercle des pensums philosophiques ennuyeux et prétentieux. On le rassure, il sera rejoint par ''Oncle Boonmee'' (Apichatpong Weerasethakul, 2010) et ''Interstellar'' (Christopher Nolan, 2014). A fuir de toute urgence. Les limites du contrôle ? Hélas non, mais les limites de l'ennui, sont, elles, aisément franchies.
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    73 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2016
    Film de gangster très original où il ne se passe pas grand chose, mais magistralement filmé par Jarmusch. Le personnage principal (Isasch de Bankole) excellent dans ce rôle d'une extrême froideur, très disert, mais fort par sa seule présence. La réalisation présente un parti-pris de distanciation, tout est filmé d'une façon géométrique, rectiligne ou circulaire, avec un langage cinématographique très recherché et très agréable à regarder. Beauté des plans, des images, des décors. L'intrigue, sous forme de puzzle, de rébus, est-elle si importante ? Attente, divagation dans les rues : les images sont toujours très soignées. Jarmusch aime les femmes nues, le flamenco, les vieilles rues d'Espagne, Hitchcock, les paysages vus de train... La fin est ambiguë. Comment est-il entré et sorti du Bunker ?
    soulman
    soulman

    85 abonnés 1 204 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 janvier 2016
    L'art de Jarmusch poussé à l’extrême : le problème, c'est qu'il n'y a plus, ici, la moindre substance et qu'il devient difficile de s'intéresser à ce personnage de tueur au bout de 10 minutes...
    Reste la mise en scène bien entendu et, comme toujours, une composition des plans de haut niveau.
    BeatJunky
    BeatJunky

    148 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Pour moi le moins accessible, le plus hermétique des Jarmusch ... Pas accroché au personnage trop froid de Isaach de Bankole. Pourtant on retrouve dans le film tous les ingrédients des films du metteur en scène comme ces personnages secondaires tous plus délirants les uns que les autres, la musique (tjrs aussi géniale!) , la mise en scène et cette ambiance si spéciale qu on retrouve presque à chaque fois... Je rentre facilement dans le truc d'habitude mais pas ici faute à un scénario pas assez clair à mon goût. C est bien beau de vouloir installer une atmosphère mystérieuse et demander au spectateur de se laisser porter mais la méthode a ses limites et ici j'ai trouvé qu'il y avait trop de distance avec ce personnage du coup je n'ai jamais réussi à rentrer vraiment dans le film, à m intéresser au trip et à ce que devait accomplir ce personnage... Il y a évidemment de bonnes choses comme la mise en scène, la photo, les personnages secondaires délirants, la musique etc.... Donc le film se regarde mais il n'a pas produit sur moi l effet attendu, celui que j'avais trouvé sur "Dead Man" par exemple... Après c'est du Jarmusch, certains adoreront les autres détesteront.... A chacun de voir!
    SamuelOTook
    SamuelOTook

    2 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2015
    J'ai aimé cette belle oeuvre cinématographique. Je comprends qu'on puisse être barbé soit par la lenteur, soit par la répétitivité du film. Le film se veut volontiers hermétique : entre les passages où le héros est mutique, et les dialogues décousus des gens qui le rencontrent, on peut sembler manquer d'explications bien claires. Et, pourtant, j'ai été séduit par cette mise en scène, qui à la fois répète certains motifs, mais en y appliquant des variations, un peu comme dans une fable finalement. Un vrai travail d'artiste.
    Beaucoup de plans intéressants, voire beaux, qui restent en tête. Et finalement, on est tenu en haleine par l'odyssée de cet homme, car quoi qu'on en dise, il avance, et atteint un but à la fin. Ca donne envie de se renseigner sur les différents lieux visités en Espagne, de se pencher sur le fond du discours de chacun des artistes ou personnages hors contrôle.
    Bref, un travail ma foi pas mal brillant.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    134 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 27 janvier 2015
    Un Jarmush en roue libre dans ce qu'il sait faire de pire ! Il n'y a plus de pilote dans l'avion ou personne n'ose plus lui dire la vérité... C'est incompréhensible parce que le ridicule ici est partout, De Bankolé ou Murray ne sont même pas dirigés... The Limits of controls dit bien qu'en matirèe de contrôle et d'auto-critique, Jim Jarmush a littéralement quitté la terre... Un fiasco intégral. Peut-être son plus mauvais film !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 janvier 2015
    Les plans arrétés du film sont géniaux, ainsi que la musique, c'est ce qui m'a fait tenir jusqu'au bout car le scénario et les dialogues sont nulles jusqu'à etre soporiphiques
    Diane Lana
    Diane Lana

    4 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2014
    Mélancolique, mystérieux, ésotérique voire fantastique parfois...On se laisse entraîner dans le voyage ou pas...
    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 avril 2014
    Malgré les 2 étoiles et demie, je ne dirais pas que The limits of control est moyen. C'est juste qu'il s'agit du premier film de Jim Jarmusch qui me laisse complètement en plan malgré la qualité de chacun des plans qui justement le compose. Si l'étrangeté du récit et la répétition des scènes nous hypnotise au début, à mesure que le temps passe, il semble ralentir comme pour laisser descendre ceux qui comme moi auraient les paupières trop lourdes pour ce voyage. J'aime Jim pourtant, mais sa singularité m'a dérouté et au terme de cette aventure esthétique hors-normes, je ne sais toujours pas ce qui a bien pu m'arriver.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 avril 2014
    The Limits of Control est un film esthétiquement parfait. La photo, le cadre, les mouvements de caméra, la lumière. Jarmusch est un esthète. Cependant, il est également le cinéaste du vide. Le scénario est inexistant, la parole n’existe que par bribes sous formes d’énigmes, il n’y a pas de rebondissements, il n’y a pas d’histoire. Il y a une succession de personnages comme une succession de plans. De ce vide nait un ennui profond au visionnage, contrasté par le délice qu’est chaque plan. Les nombreuses références au cinéma (Godard, Melville), et aux obsessions de Jarmusch que sont la guitare, le violon, la littérature et l’art en général, meublent tant bien que mal un film esthétisé à l’extrême. C’est beau mais c’est très chiant, et surtout, ça n’a aucun sens. Si le terme n’était pas déjà pris, on pourrait qualifier The Limits of Control de « Free Cinema ».
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