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    Le Guerrier silencieux, Valhalla Rising
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    septembergirl
    septembergirl

    603 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Un film de Nicolas Winding Refn qui nous plonge vers l’an mil, dans la Scandinavie médiévale, au cœur d’un clan viking, dans un contexte de tension entre chrétiens et païens. La photographie, soulignée par la beauté froide des paysages, est très belle et Mads Mikkelsen incarne avec charisme et intensité One Eye, un guerrier muet incroyablement fort et habile. Une réalisation lente mais puissante, au caractère singulier. Une épopée viking tout aussi intrigante et envoûtante que déroutante, qui se présente comme une expérience initiatique et contemplative !
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    326 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2013
    Valhalla Rising est une sorte de western spaghetti scandinave. Très peu de dialogue, un rythme lent, des paysages vastes et désert et des vikings à la mine patibulaire (mais presque) filmés en gros plan. Même si le film est inférieur à la trilogie Pusher, Refn parvient à faire de grandes choses avec très peu de matière (le scénario doit tenir sur une page). Un cinéaste quelconque aurait sans doute pondu un film chiant et sans intérêt, mais Refn nous hypnotise littéralement grâce à une mise scène hallucinée et jamais racoleuse. Ce type a vraiment du talent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2010
    Film expérimental, sorte de 2001 quelque part sur terre, Le Guerrier Silencieux est une œuvre folle, presque psychotique, mais incroyablement exigeante car porteuse de significations diverses. Le début du film se fait par de longs plans silencieux, où seul le vent vient balayé des images arrêtés, comme intemporelles, on peut y voir un être maculé, esclave immobile jusqu'à son entrée dans l'arène d'une violence extrême révélant ce pourquoi One-Eye comme on l'appelle, a été créé. Le gain de sa liberté se fera au prix de sacrifices, sacrifices humains, longtemps encouragés par nombre de religions. One-Eye, débute alors son ascension vers le Valhalla, comme Odin ( borgne lui aussi ), le premier a y accéder et qui par sa vaillance et son art au combat, formerait les plus grands guerriers pour la bataille finale, le Ragnarök. Les références claires à la mythologie nordique se confondent avec les inspirations Kubricienne et Herzogienne, de Refn, ainsi qu'une touche de Coppola quand il y fait référence par la tribu indigène du nouveau monde.

    Le film est une expérience sensorielle, moment de transe sauvage, perdue dans une nature immense, dense, une nature de originelle, où les Hommes angoissés et emprisonnés par elle vont basculés, à coup de meurtres violents dans une folie inspirée grandement par Aguirre, la colère de Dieu et son côté énigmatique qui rend cette dégénérescence complètement flippante de surcroit qui s'inscrit dans un trip métaphysique Kubricien par sa conception de la création, matérialisé par la conception ahurie du monolithe de pierres par One-eye. Mégarde rappelant la petitesse humaine face à l'omniscience divine, ici animiste, on pourrait alors pensait à un moment indéfini dans le temps, un instant ellipsé, intemporel mais Refn peut être rend-il hommage aux Vikings en faisant d'eux les premiers à découvrir le Nouveau Monde, ce n'est pas impossible étant donné le fait que cette hypothèse est défendu par un certains nombre d'historiens. Cependant ce détail ne constitue pas l'élément déterminant faisant de ce film une œuvre historique, non le but est bien philosophique, l'époque reculé étant un moyen de montrer des hommes à l'état brut, loin des superflus actuels. Ainsi les dialogues, rares servent seulement à exprimer les besoins vitaux en premier lieu, puis les questions essentielles, existentielles que ces hommes se posent, sur leur devenir, sur l'origine et la cause de leur situation.

    Refn évoque ici les interprétations du monde par l'Homme, comment il perçoit ce qui l'entoure, l'invocation perpétuelles de malédiction, dictés par une religion corrompues par la cupidité. Le réalisateur montre clairement un paradoxe entre les croisés et One-eye, allant même jusqu'à faire de One-eye, le mal absolu, confrontant ainsi Homme d'Église et le Diable. Le mélange entre mythologie nordique et religion chrétienne est un peu déroutant, puisque One-eye qui aurait été voué aux enfers par les " hommes de Dieu ", semble en fait en venir et se diriger vers le Valhalla. C'est là où Refn marque le plus, et le mieux, son empreinte, en s'intéressant précisément aux conséquences du meurtre, sa perception : un pêché d'un côté, un acte de bravoure de l'autre.

    L'immersion du spectateur est garantie par la musique hypnotique, qui effraie autant qu'elle attire, qui met le spectateur en phase avec ce qu'il voit par sa résonance irréelle renvoyant aux vision de One-eye, mystérieuse, prédilections sanglante avérés, indice nouveau sur la prétendue divinité de cet être qui dans une lente descente dans les profondeurs du fleuve semble, plus qu'un simple retour à la nature, accéder au Valhalla. C'est là que Refn évoque Coppola, avec l'apparition, au milieu de nulle part d'une tribu d'indigènes, bourreau de One-eye consentant à son sacrifice, sa mort donc lui permettant d'atteindre le lieu suprême et de sauver le garçon, comme lui avait sacrifié des hommes auparavant pour sauver sa vie. C'est un moment clé du film puisque c'est là que nous comprenons que toutes " tribus " que ce soit les indigènes, les Vikings ou les Chrétiens ont intégrés la notion de sacrifice et de mort. Aussi l'apparition de la tribu comme dans Apocalypse Now est essentielle, car elle renvoi l'Homme à son essence, à sa qualité d'être primitif.
    Vinz1
    Vinz1

    180 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2015
    Film métaphysique s’il en est, « Valhalla rising » est d’une beauté implacable. Si le guerrier silencieux ne voit que d’un œil, le spectateur est amené, lui, à en prendre plein les yeux avec des panoramiques et des gros plans magnifiques. Si ce même combattant invincible ne parle pas, c’est pour que l’on entende mieux les sons qui nous entoure afin d’être en immersion totale. Tantôt violent, tantôt onirique et rappelant parfois « Aguirre, la colère de Dieu », ce métrage conte le voyage initiatique d’un homme dont la vie ne fut que souffrances vers un monde meilleur, le paradis des viking donc, comme dans le titre. Pouvant en décourager certains par son rythme parfois hyper lent et son côté contemplatif, il peut cependant constituer pour d’autres une expérience sensorielle unique, ce qui fut mon cas. A voir, rien que pour l’atmosphère.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 069 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mars 2010
    Refn signe ici sans doute son meilleur film (et Dieu sait que je suis fan de la trilogie Pusher), ce film n'est pas un vrai film de Viking, c'est plus un trip métaphysique dans lequel on peut voir bon nombre de choses, le film est d'une très grande beauté visuelle, impressionnant de bout en bout. Très bon film qui tient surtout sur les paysages et le charisme de Mads Mikkelsen qui ne parle pas, ne bouge pas, reste immobile, muet, classe.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 janvier 2011
    Valhalla Rising est l'un des films les plus étranges et les plus difficiles de ces dix dernières années, le rythme lent, le peu de dialogues risque d'en rebuter plus d'un. Et pourtant c'est une pur merveille, un chef d'œuvre mystique. Dans ces interviews Winding Refn dit qu'il a toujours voulu réalisé un film drogue, ou les sensations provoqué par les images sont plus importantes que l'histoire elle même, et c'est exactement ce qu'il a fait avec ce film avec grand succès. Pour peu que l'on accepte de se laisser emporter par ces images et ce rythme hypnotisant, c'est tout un univers qui s'ouvre a nous, mystérieux, brutal, primitif et beau, oscillant entre mythologie (ce mystérieux guerrier borgne, muet et apparemment invincible hanté par des visions prémonitoires sur son destin serait il le dieu Odin?) et histoire (ces vikings chrétiens sont ils ceux dont a retrouvé des traces en Amériques, ce que suggère très fortement le film). En tout cas c'est une oeuvre inclassable, incontestablement majeur que l'on compare un peu vite aux films de Kubrick ou de Tarkovski avec lesquels il partage la lenteur et les interrogations métaphysique, mais qui dans sa réalisation est assez indépendant de ces références. Une œuvre expérimental, un voyage métaphysique exigeants, mais que l'on ne regretteras pas pour peu que l'on accepte de se laisser guider sans resistance
    Caine78
    Caine78

    6 712 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2010
    Nicolas Winding Refn n'a pas que des adeptes et ce n'est surement pas avec ce « Guerrier silencieux » que sa réconciliation avec le grand public va avoir lieu! Bancal, cérébral et surtout totalement inclassable, l'oeuvre est pourtant très loin d'être sans intérêt, en tout cas d'un point de vue purement réalisation car comme a pu le dire Winding Refn lui-même à Mads Mikkelsen avant le tournage : « je n'ai pas de scénario », ce qui ne semble pas vraiment avoir changé à la fin de ce dernier. Pourtant, et même si les longueurs ne manquent pas à bien des reprises, il est rare de voir des oeuvres contenant un tel pouvoir de fascination, que ce soit par ces incroyables couleurs que ses combats d'une violence inouïe et que l'on a rarement l'occasion de voir à l'écran. Le film est ainsi du début à la fin de la sorte : brillant visuellement et formellement, mais finissant tout de même par lasser quelque peu à force de ne rien raconter (c'est au spectateur lui-même de deviner ou de comprendre ce qui se passe devant ses yeux, ce qui n'est que rarement bon signe...) Bref, soit on adore soit on déteste (ou comme moi on est partagé entre deux sentiments bien contraires), mais en tout cas impossible de rester indifférent devant ce nouvel OFNI venu du Nord, certes très en-dessous du monument « Bronson » débarqué l'année dernière, mais qui n'en demeure pas moins une expérience assez indescriptible. Puissant.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2011
    Visuellement remarquable il manque quand même l'essentiel a ce film une histoire.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2013
    Quelques mois seulement après le surprenant Bronson, Nicolas Winding Refn revient avec une nouvelle surprise, un film d'époque quasi-muet, très très loin de ses habituels films noirs aux allures de thrillers modernes. Le réalisateur danois fait donc un nouveau pas et offre à sa filmographie un nouveau tournant. Car ce Guerrier Silencieux peut, comme son précédent film, en dérouter plus d'un, voire même s'attirer quelques haters qui cracheront sur l'incompréhension que peut dégager le film. Toutefois, Valhalla Rising est un film unique, une expérience époustouflante, un nouveau coup de poing dans la gueule qui a bien pris son élan... Winding Refn retrouve pour l'occasion son acteur fétiche Mads Mikkelsen, abandonné depuis Pusher II, pour une quatrième collaboration. Il incarne ici un homme sans nom, l'esclave de Vikings qui va s'affranchir et vivre une aventure en terrains inconnus auprès d'un enfant. Surnommé Le Borgne par ce dernier, il va se joindre avec réticence à une bande de Croisés pour une aventure en vue d'atterrir en Terre Sainte, ou plutôt aux confins des ténèbres... Si le pitch se rapproche au début de celui de Conan le Barbare, le reste du film et surtout son atmosphère en sont très différents, Winding Refn allant encore plus loin dans le soin de la photographie et le pouvoir du silence. Il délivre ainsi un film incroyablement puissant qui n'a pas besoin d'effets spéciaux ni même parfois de mots pour demeurer. En fait, Valhalla Rising est un chef-d'œuvre qui prouve que son réalisateur n'est pas un simple faire-valoir mais bel et bien un auteur. N'y voyez donc pas un film bourrin ni même un produit d'action, le long-métrage est d'une lenteur pesante, enivrante, obnubilante, 80 minutes intrigantes où le spectateur est juste happé par ce qu'il voit, par ce qu'il vit. Des thèmes forts sont présentés tout en nuances, à l'instar de séquences parfois difficilement compréhensibles (la scène de viol, les visions du Borgne) et qu'il laisse l'histoire exister d'elle-même, avec plusieurs interprétations aux différences minimes. Winding Refn nous sert ainsi sur un plateau d'argent un film d'époque d'un réalisme saisissant, une fresque filmique à la beauté renversante, aux décors naturels bouleversants et à l'interprétation au-delà de toute concurrence (Mads Mikkelsen dans le rôle de sa vie, ou l'homme le plus imposant du monde). Du cinéma, du vrai.
    Akamaru
    Akamaru

    3 096 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Après avoir assisté au choc "Drive",j'ai eu envie d'en savoir sur Nicolas Winding Refn,et donc de découvrir ses oeuvres précédentes,à commençer par ce "Valhalla Rising".Et ma déception fut à la hauteur de mes espoirs:immense.Trip métaphysique et esotérique d'une prétention auteuriste ahurissante,ce film de vikings se complait dans sa propre vanité.Privilégier le pouvoir des images sur celui des mots,très bien,sauf lorsqu'il n'y a absolument rien à raconter.Idem en ce qui concerne le Borgne,le guerrier silencieux interprété par le toujours impeccable Mads Mikkelsen.Muet,hiératique,vide,il ne dégage pas vraiment le mystère souhaité.On retiendra que toute la seconde partie rappelle le "Aguirre" de Werner Herzog.C'est même carrément pompé entre la descente du fleuve,la brûme persistante,et la menace à travers la forêt.Lorsque NWR veut poser des questionnement ambitieux sur les enfers,c'est encore pire!d'abord subjugué par les plns larges des Highlands écossais,on finit dégoûté d'ennui et de consternation,qui s'enfonce dans sa vacuité hermétique.Sans concessions,sans rien.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juillet 2010
    Valhalla Rising est une œuvre vraiment singulière, ce film presque sans dialogue est, selon moi, à regarder comme un tableau : il n'y a pas nécessairement d'histoire à proprement parler, mais les sentiments qu'il évoque sont d'une puissance inouïe. Cependant, comme en peinture : certains seront touchés par sa beauté, l'harmonie des couleurs, le traitement de l'image, les impressions qu'il dégage et resteront béat d'admiration devant ce chef d'œuvre tandis qu'il ne parlera pas à d'autres qui préfèreront quelque chose de plus classique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 août 2013
    Avertissement néanmoins, amateurs de films à grand spectacle et autres stupidités : Passez votre chemin. Valhalla Rising n'est pas un film; c'est une poésie.. une recherche. Doté d'une esthétique visuelle tout simplement grandiose (qui est d'ailleurs appuyé par l'oeil manquant du héros) et d'une bande sonore tout simplement magistrale s'alliant à la perfection avec les beautés de ce paysage "infernal" et la cruauté omniprésente de cette aventure (Tiens le héros est muet aussi). Son rythme lent et posé impose une réflexion personnelle et apporte ici la même touche que dans Only God Forgives : une succession de tableaux lyrique (ici clairement affichés par le découpage en chapitre). Nicolas Winding Refn signe ici une oeuvre magistrale, certes pas forcément accessible au tout à chacun, mais qui à l'immense mérite dans l'air du cinéma actuelle, de faire réfléchir et de penser par l'intermédiaire de ses yeux et de ses oreilles.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 333 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mars 2010
    On nous disait qu’il s’agissait du meilleur film de Vikings (c’est un genre ?) de tous les temps ; on hurlait aussi au scandale (moi le premier) que le dernier film du réalisateur du merveilleux "The Pusher" n’ait eu le droit qu’à 25 salles dans tout l’hexagone... C’était donc avec le sentiment d’être un grand privilégié que je me suis déplacé le voir. Mais au fond tout ça pour voir quoi au final ? Ni plus ni moins qu’une insulte ! Quelle mouche a donc piqué Nicolas Winding Refn de sombrer dans une telle autosatisfaction autiste ? C’est bien simple, on croirait voir un film réalisé par un enfant de 5 ans à qui on a confié une caméra. Je filme une flaque, je filme le vent, je filme un visage inexpressif (ceux qui voient là un magnifique jeu d’acteur de Mads Mikkelsen devront m’expliquer, car ici « One eye » se limite aussi à « one face ») et SURTOUT il ne faut rien raconter... Je me prends pour un Tarkovski sauce "Treizième guerrier" ...et je m’enferme dans mon petit monde ...et je brode tout ça dans une bouillie de sons infra-basses (un record a dû être battu, il faudrait prévenir le Guinness). Au final, ce "Valhalla Rising" est d’une vacuité inégalée, mais le pire c’est que, partant du principe qu’elle est volontaire, quelques papiers totalement déboussolés et craintifs de passer pour des ignares (qu’au final ils sont puisqu’ils se mentent à eux-mêmes) encensent un film dont on dit carrément qu’il « déborde d’énergie » (Excessif) alors que tout être sain de corps et d’esprit se rendra quand même bien compte qu’il ne s’y dit rien et surtout qu’il ne s’y passe strictement rien non plus. Mais bon, cela n’empêche pas d’ajouter (est-ce du second degré ?) que si tous les films étaient comme celui-ci, « le marché de cocaïne s’effondrerait ». Tu m’étonnes ! Le jour où le cinéma ressemblera à ce "Valhalla Rising", la solution ne sera plus la drogue pour fuir cette dure réalité, mais bien le suicide pour abréger la souffrance insoutenable d’un monde sans art..
    dorian48
    dorian48

    8 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 décembre 2011
    Le film le plus ennuyant de tous les temps!!! Le pire film du genre!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 octobre 2011
    Que les choses soient bien claires ; pour aimer ce film, il faut savoir se "masturber" la tête. Ce n'est pas mon cas, je trouve donc que ce film est très très très² mauvais. Il est comparable à l'art contemporain : vide, et chacun y voit ce qu'il veut y voir. Moi je n'y ai rien vu.
    Les meilleurs films de tous les temps
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