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Terreurvision
210 abonnés
505 critiques
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3,0
Publiée le 26 août 2012
Avec un discours du type "avant c'était du cinéma, maintenant c'est la réalité", Wes Craven, de retour à l'écriture et à la réalisation, atteint sa cible et créé une proximité inédite entre le spectateur et Freddy Krueger, pourtant peu présent à l'écran. Malheureusement, le tout vire en une étrange bouillie mêlant pseudo réalité et épique, dans un décor gigantesque où est traquée l'incarnation du mal, dans une déflagration d'effets spéciaux pas toujours des plus réussis. Dommage, car si la forme pêche, le discours s'avérait passionnant. Lire notre critique complète ainsi que notre dossier Freddy Krueger sur le site Terreurvision !
Septième et dernier volet de la saga des Freddy , ici Wes Craven reprend la réalisation du film , ça remonte un peu le niveau du 5 et du 6 mais ça n'est pas pour autant si bon . Ici le concept change complètement c'est original et sympa mais finalement assez lourd sur la fin , Freddy a eu le droit a un relooking complet et c'est pas terrible , ça fait plastique par moment , Freddy a aussi beaucoup moins de charisme . Malgré ses défauts ce Freddy est a voir pour les fans de la franchise .
Une saga globalement sympa, le personnage de Freddy est mythique! Mais à de nombreux moments on est proche de la série B, les effets spéciaux sont archaïques, les acteurs pas terribles et l'humour est parfois en trop
Une idée originale qui est difficilement exploitable. Freddy Kruger pour ma part quand il emprunte à l'humour il faut que ce soit vraiment trés drôle et là ce n'est pas le cas. Et plus ce n'est pas effrayent non plus. Et un loupé! 10/20
Une mise en abime du cinéma d'horreur intéressante, mais du coup Freddy se retrouve au second plan et ne sert pas vraiment à grand-chose. Film très inégal. Intéressant malgré tout.
Attention Chef d'oeuvre d'autodérison made in Craven, original de bout en bout, " la nuit américaine" version horreur, Wes Craven prouve avec ce film qu'il est un réel cinéaste et un auteur capable du meilleur loin des bouffonades des suites de m'sieur Krueger. Craven tout au long du métrage s'amuse à jouer avec le contraste réalité/fiction, et explique les nouvelles origines de Freddy,, l'apparence de Freddy est nouvelle aussi,le pari est risqué mais gagné bref un GRAND FILM, MERCI QUI, MERCI M'SIEUR CRAVEN !!!!!!
Quelle triste manière terminer la franchise en demi-teinte de Freddy Krueger. Avec une idée de mise en abîme somme toute intéressante sur le papier, ce dernier épisode s'avéra n'être qu'une simple farce au final plus pathétique qu'effroyable.
13 695 abonnés
12 418 critiques
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2,5
Publiée le 23 juin 2009
Dans ce septième volet de la cèlèbre sèrie horrifique, Wes Craven imagine que Freddy Krueger, le croquemitaine qu'il avait inventè dans le terrifiant "A Nightmare on Elm Street", cherche à rejoindre la rèalitè pour y poursuivre ses mèfaits! Sans renoncer aux plaisirs du genre (effets spèciaux, rebondissements angoissants), il propose ainsi une rèflexion sur le cinèma d'horreur! La fiction est d'autant plus troublante que les acteurs interprètent leur propre rôle (Heather Langenkamp, Robert Englund et même Wes Craven)! Un septième opus ingènieux, naviguant entre fiction et rèalitè, qui redonne un peu de souffle à cette saga lègendaire, nous offrant ègalement un "new look" au masque de Freddy...
Ce 7ème volet de "Freddy" est aussi bon que le 1er. Avec un très bon scénario, très intelligent. Les acteurs sont très bon, le petit garçon qui incarne "Dylan" est vraiment doué...Attention Freddy est peut être caché sous votre lit...
Après six films, dont la qualité fut de plus en plus consternante, la franchise Freddy semblait morte et enterrée avec le précédent film qui, trois ans plus tôt, s’achevait par la mort du célèbre boogeyman. C’était sans compter sur le gout de Wes Craven pour revenir avec intelligence sur son propre travail, et les dix ans de son film étaient l’occasion idéale pour imaginer une histoire qui sache en mieux tirer profit le pouvoir terrifiant de son propre personnage. C’est donc sur un brillant procédé de film dans le film que repose son scénario, s’ancrant non pas dans la réalité des personnages mais bien dans celle des acteurs qui les ont incarnés. C’est ainsi que l’on retrouve l’héroïne du film, Heather Langenkamp, mais aussi Robert Englund, éternel Freddy Krueger, dans leur propre rôle, se faire harceler par le monstre des films qui les ont connaitre. Cette idée de reléguer tout ce qui a été vu au rang des fictions qu’elles sont réellement permet de mettre le spectateur à la même hauteur que les personnages, et celle de voir Wes Craven en personne explique que le scénario du 7ème Freddy qu’il est en train d’écrire correspond à la virgule près aux évènements qui surviennent accentue ce trouble profond entre ces notions de réalité et de fiction. Entre une plongée assez cynique dans les coulisses du cinéma et le syndrome de l’acteur traumatisé par son personnage, ce procédé de méta-film réussit, dans la première heure du film, à être véritablement déconcertant et à retrouver toute la puissance horrifique du film original, avant que le concept même de Freddy ne devienne un divertissement. Mais, quand arrive la seconde partie du film, où se multiplient les inévitables scènes de meurtres sanglantes et de courses-poursuites hurlantes, et donc à un déferlement d’effets spéciaux à tel points ringards (ceux du film de 1984, qui avait un budget quatre fois moindre, ont bien mieux vieillis… cherchez l’erreur !) que ce semblant de réalisme que voulait instiller le scénario en devient caduque. Le tout trouve son apothéose dans un final terriblement grand-guignolesque purement grotesque. Cet épisode décalé et inventif est incontestablement l’exemple type de la bonne idée gâchée par le respect d’un cahier des charges qui lui fait passer à côté de son sujet. Regrettable.