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fandecaoch
1 051 abonnés
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4,0
Publiée le 1 septembre 2015
Freddy 7, Freddy sort de la nuit : Et voila, l’ultime opus de la série et quoi de mieux que de terminé par le créateur et réalisateur de la série : West Craven. Vraiment, ça fait plaisir de le retrouver, surtout quand on voit le résultat car la série commencer à aller dans le tout et n’importe quoi a cause de trop de suite. Et donc, il a voulu rectifié tous ça en écrivant un scénario en secret et il s’est dit que il avait essayé de trouvé le fil conducteur de tous les épisodes et il s’était lui-même perdu en regardant l’ensemble de la série, donc il a voulu le faire a ça manière et s’éloigné de la série pour mieux s’approché de son style. Et il faut dire que c’est réussit car il apporte a ce Freddy une originalité et une autodérision qui a fait la force de son autre série : Scream. Car dans ce Freddy, c’est les comédiens du film Freddy qui sont eux même emprisonné de leur sucée et l’enfant de l’actrice principale des Freddy qui est donc l’héroïne du premier mais dans leur réalité, Freddy est une invention de film. Mais, son enfant serait victime de trouble du sommeil et Freddy prendrai vraiment vie… ou est se une pure invention de film ? Réalité ou fiction ? Cette ambigüité fait plaisir (un peu à la Inception) et apporte de la fraicheur à la série tout en gardant le suspense qu’avait instauré West Craven. Bon après, dommage que on ne voit pas autant Freddy mais au moins, on un a scénario malin et en béton. Ensuite, sa réalisation et son ambiance n’est pas aussi magistrale que dans le premier mais elle est simple et efficace et part pas dans tous les sens, ça c’est bien. Et donc, on retrouve l’actrice du premier et ça c’est bien. Donc voila, enfin, Freddy peut reposer en paix avec cette opus, enfin le grand final dans Freddy contre Jason !
Attention, ofni en approche. Ce septième volet des aventures de Freddy Krueger est une nouvelle variation sur le croquemitaine des rêves. Cette fois, on navigue en plein meta-film, avec un film dans le film et surtout la vie réelle dans le film.
Le film démarre d'une manière parfaite, avec un choc en scène d'ouverture, une des plus angoissantes de tous les Freddy, jouée par un Matt Winston trop rare à l'écran. Le truc de ce Freddy, c'est sa dimension meta, vraiment passionnante, grâce aux apparitions dans leurs propres rôles de personnages importants dans la création du film comme la productrice Marianne Madalenna, très connue par les fans de Wes Craven. Malheureusement, ce film souffre de sa dimension horrifique, qui aurait du se contenir à quatre, cinq coups de téléphone et non à deux meurtres un peu malvenus. Au lieu de ça, on a un Freddy normal au bout d'une heure qui perd sa dimension meta avec la dernière apparition du vrai Robert Englund.
C'est rageant, évidemment, même si les acteurs sont très efficaces, Heather Langekamp et Miko Hughes bien sûr, mais surtout Tracy Middendorf, David Newsom et la petite apparition de Cully Fredericksen, inquiétant à souhait. Très bon film, mais film à côté de son sujet, c'est dommage.
Vraiment sympathique ! Après cinq autres Freddy - d'un réalisateur différent - Wes Craven revient au commande ! Maintenant le cauchemar devient réalité. L'atmosphère générale du film est très oppressante, quelques scènes très effrayante et on obtient ce petit cocktail d'humour noir très sympa.
Enfin Wes Craven reprend les choses en main pour ce dernier épisode en lien direct avec le premier. Le tueur retrouve ici toute sa cruauté et bien plus encore pour servir un scénario impeccable. Un coup de maître.
Pour moi Wes Craven à réussi sont coup avec ce dernier opus , faire un film dans un film l'idée est orignal et puis Freddy est plus sadique que jamais dans ce dernier volet .
Pas un chef d'oeuvre de l'horreur, mais les amateurs du psychopathe aux griffes d'acier devraient apprécier cet ultime cauchemar (encore que). Trop linéaire.
Mon préféré de la saga après le 1 bien sur. On voit bien que le grand Wes Craven est de retour ! Ce film est un vrai plaisir et un scénario tellement génial !
Pour ceux qui ont commencé l'initiation Wes Craven avec Scream, nulle surprise quand on évoque ses marottes, de la mise en abyme à son goût pour l'intertextualité/métatextualité. De grands jalons qui en ont fait sa marque de fabrique notamment au travers de la célèbre franchise horrifique déclinée en 4 volets (bientôt 5 mais sans Craven, paix à son âme). Sauf que l'obsession du metteur en scène pour les jeux de miroirs avait préalablement atteint son acmé en 1994 avec Freddy sort de la nuit.
En bref, 1984 : le réalisateur offrait une des figures ultimes du croquemitaine (bogeyman en anglais) en créant Freddy Kruger. Tôlier de nos cauchemars à la face calcinée, le personnage a laissé une entaille bien profonde sur le genre avec Les Griffes de la nuit, à un moment où son collègue Michael Myers commençait à perdre la face. Dix ans plus tard, le psychopathe au gant à lames était complètement émoussé. Toujours la même raison : vous tenez un filon, ce sont les autres qui l'exploitent. Le premier détracteur des suites mettant en vedette Freddy ? Wes Craven lui-même. Qu'à cela ne tienne : il réalisera lui-même l'ultime volet. Régulièrement vilipendé pour le niveau de violence dans ses films et leur prétendue influence sur la jeunesse, l'artiste intègre cette donnée dans le script. À vrai dire, il orchestre un vraie choc des dimensions avec ce retour.
Exit Nancy, nous retrouvons son interprète Heather Langenkamp, alors que l'actrice est perturbée par les appels répétés d'un spectateur désaxé, de multiples séismes secouant la Californie et l'impact de son rôle majeur sur sa carrière et sa vie de famille. La révélation d'un nouveau film Freddy concocté par Wes Craven n'est pas pour la rassurer, d'autant que les évènements prennent une tournure de plus en plus dangereuse et familière. Si tout cela semble étrange, le déroulé de Freddy sort de la nuit ne va faire qu'entremêler les strates jusqu'au vertige. Le cinéaste a un boulevard devant lui, il va donc s'échiner à abolir les frontières. Film dans le film, rêve dans le rêve, faux personnages, vrais acteurs ou l'inverse, il faudrait presque une carte pour s'y retrouver. Ne comptez pas sur Craven pour vous aider. Bien au contraire, il s'amuse du constant télescopage entre fiction et réalité. Il se sert de vraies images pour les ruines de tremblement de terre. Il utilise la vie privée de sa star (le harcèlement téléphonique, véridique) pour renforcer l'atmosphère oppressante. Et quand il apparait, c'est pour amorcer le virage où son script annonce les fondus en plongeant son public dans le noir (littéralement) quant à ce qu'il regarde.
Jusqu'à cette bascule finale,véritable effet spécial du film, voyant les visages se superposer, les interprètes s'effacent derrière leurs grands rôles avant le dernier duel. En creux, Freddy sort de la nuit pourfend l'hypocrisie derrière les critiques dont il fut l'objet, en montrant que son art ne sera jamais aussi dangereux que peuvent l'être les dogmes ou psychoses puisqu'elles conduisent leurs hôtes à l'inconscience ou pire. C'est sur qu'au milieu de ce thriller psychologique gorgé de références, récurrences ou discordances, la présence du croquemitaine au pull rayé paraît accessoire, voire inutile. En dehors de quelques effets pratiques répugnants, Wes Craven semble assumer le grotesque de ce match retour dans un lieu limite mythologique. Ce qui est à la fois raccord et parfaitement ridicule compte tenu de la place occupée par Freddy dans le cinéma d'horreur.
Cet ultime volet est donc la première occasion pour Craven d'ouvrir une ligne de dialogue direct avec son cinéma et surtout son public. Par la même, il ouvrait une brèche qu'il s'évertuera à revisiter avec les suites du Scream originel avec plus ou moins de réussite. L'humour et la peur continueront à cohabiter sur une ligne de crête jamais très loin de la caricature. Avec toujours en ligne de mire une chambre d'écho entre ses obsessions et son époque.
Le sixième épisode de la série Freddy s’intitulant La Fin de Freddy : L’Ultime Cauchemar, on pouvait s’attendre à ne plus jamais voir le tueur nocturne d’Elm Street sévir sur les écrans. Pourtant, en 1994, sort un nouveau film le mettant en scène même si cela n’est pas totalement le cas. En effet, l’univers dans lequel se situe Freddy sort de la nuit n’est pas du tout celui des précédents épisodes. Cette fois, l’histoire fonctionne sur le principe de la mise en abime car elle considère la saga Freddy comme ce qu’elle est dans la réalité, c’est-à-dire une œuvre de cinéma créée par Wes Craven et incarnée par le comédien Robert Englund. Nous sommes donc dans le monde réel. Sauf que Freddy n’est peut-être finalement pas totalement une œuvre de fiction ! Ce septième épisode est donc un volet totalement à part dans la saga. Il bénéficie d’un scénario véritablement original qui préfigure un peu le travail de recontextualisation du cinéma d’horreur qu’effectuera Wes Craven avec la série des Scream. Ici, le film multiplie les personnalités jouant leurs propres rôles à l’écran : Heather Langenkamp, Robert Englund (qui n’est pas sensé jouer également le rôle du croquemitaine puisque le générique précise ironiquement que Freddy Krueger est incarné par lui-même), Wes Craven, John Saxon, Robert Shaye… Ce qui intéresse Craven est plus d’offrir une réflexion sur le rôle du cinéma d’horreur sur la société et sur la vie des personnes qui le font que de réellement créer un film d’horreur. Il est donc en rupture totale avec les derniers opus de la saga en supprimant totalement l’humour et même en le critiquantspoiler: (la séquence de l’émission télévisée fait ressentir, notamment via le regard d’Heather Langenkamp, la contradiction qui existe dans le fait de faire d’un personnage de tueur d’enfants une star amusante) . Il n’est d’ailleurs pas innocent que le cinéaste ait choisi de modifier l'aspect physique de son nouveau Freddy. Ainsi, même si le film possède certains défauts (notamment au niveau des effets spéciaux pas toujours totalement réussis : en particulier, certains effets d’incrustationspoiler: comme ceux de la scène de l’autoroute ), Freddy sort de la nuit est une œuvre très intéressante par son jeu entre réalité et fiction mais il ne faut en aucun cas le regarder comme étant une continuité des précédents volets, auquel cas, on pourrait être très dérouté et donc déçu.
Avec Freddy Sort De La Nuit, Wes Craven, le créateur de la franchise, reprend les rênes de son œuvre en écrivant et en réalisant ce septième volet de la saga, dix ans après la sortie du premier, pour un résultat peu convaincant. L'histoire se veut méta puisqu'elle nous fait suivre Wes Craven qui souhaite tourner un nouveau film de la licence Freddy. Pour cela, il demande à Heather Langenkamp et John Saxon, présents dans les premiers et troisièmes films, ainsi qu'à Robert Englund de rempiler. Seulement, Heather hésite car elle est harcelée au téléphone par ce qu'elle croit être un fan désaxé. Mais, des signes étranges et le comportement de son fils lui font comprendre que Krueger est bel et bien sorti du film et qu'elle se doit de l'arrêter. Ce scénario s'avère peu emballant à visionner pendant toute sa durée d'un peu plus d'une heure et quarante-cinq minutes. Une durée rallongée par rapport à ses nombreux prédécesseurs qui tournaient autour de l'heure et demie. Et cela se ressent. En effet, l'intrigue prend beaucoup de temps à se mettre en place et il faut attendre de très longues minutes pour qu'il se passe enfin quelque chose de palpitant. Et ces moments sont très courts. Car oui, dans ce septième épisode, fini l'exubérance, la créativité, l'originalité et le grain de folie. Le ton se veut plus sérieux, moins extravagant et du coup on s'ennuie fermement. Le métrage est vraiment avare en scènes de meurtres et celles-ci ont un air de déjà-vu et de manque d'inventivité criant. Non, la nouveauté de cette énième suite réside dans son concept de mise en abyme. Et cette façon de faire n'est pas vraiment convaincante. On sent bien que l'auteur souhaite surtout effacer des mémoires les opus qui entachent sa création. Mais ce concept casse un peu le mythe. De plus, l'ensemble manque cruellement de rythme et est assez redondant. L'ambiance horrifique et fantastique est pour sa part absente pendant quasiment tout le récit. On ne ressent aucune tension ni suspens. Même l'humour a disparu. En conséquence, il ne reste plus grand chose. Point positif, on retrouve certains personnages de la première heure. Des rôles interprétés par des visages familiers comme ceux d'Heather Langenkamp, John Saxon et Robert Englund. Le reste de la distribution comprend Miko Hughes,Wes Craven et Robert Shaye, le producteur attitré de la saga dans la vraie vie, ou encore l'enfant d'Heather. Mais celui-ci est franchement irritant tout du long. Hélas, tous ces individus entretiennent des échanges peu intéressants, soutenus par des dialogues trop neutres. Sur la forme, la réalisation du cinéaste américain n'est pas particulièrement emballante. Sa mise en scène est beaucoup trop sobre. Elle manque cruellement de folie et de prises de risques. De plus, elle évolue dans des décors sans inspiration et il manque cruellement de scènes nocturnes pour créer une atmosphère stressante. Les effets spéciaux restent eux bien fichus et la nouvelle allure de Freddy est appréciable, même si elle fait un peu trop aspect masque par moments. Ce visuel quelconque est accompagné par une b.o. aucunement marquante signée J. Peter Robinson. Ses compositions n'ont tout simplement aucun impact sur l'action et les images. Reste une fin peu satisfaisante venant mettre un terme à Freddy Sort De La Nuit, qui, en conclusion, est un long-métrage clairement dispensable tant c'est une des suites les moins qualitatives de la saga en dépit de la reprise de contrôle par son papa.
Après un 6e film qui était annoncé comme le dernier la saga se termine avec ce chapitre 7 si on ne compte pas le crossover avec Jason ou bien le remake et pour conclure la saga qui mieux que celui qui l'a commencée c'est-à-dire Wes Craven, on note aussi le retour d'Heather Langenkamp absente depuis le 3. Déjà je dois dire que je ne suis pas un grand fan des Freddy à part le 1 et le 2 que j'ai bien aimé malgré qu'ils soient différents les autres ne m'ont jamais convaincu tout comme ce chapitre 7 d'ailleurs malgré l'originalité de l'histoire car dans ce Freddy les acteurs jouent leur propre rôle ce qui est sympa c'est comme si la réalité avait dépassé la fiction (ou l'inverse...). Je trouve aussi le scénario plus "solide" ça se voit que Craven a repris les commandes on a plus d'histoires farfelues et ridicules comme ça a pu être le cas auparavant pour autant ça ne suffit pas malgré un concept intéressant ce Freddy reste trop gentil pour un slasher on finit par s'ennuyer à cause d'un manque de rythme et d'action puis comme d'habitude la fin est toujours la même autant dans le cadre que dans le déroulement.
Wes Craven reprend les rennes de la franchise qu'il avait lancée 10 ans plus tôt, et décide pour ce 7ème opus d'utiliser le procédé du film dans le film. Ainsi, Craven, Heather Langenkamp, Robert Englund, et quelques autres jouent leur propre rôle. Et alors qu'un nouveau film sur Freddy se prépare, celui-ci semble décidé à se matérialiser dans le monde réel. "Wes Craven's New Nightmare" dispose de bonnes idées sur le papier, qui renouvellent intelligemment la saga. De plus, les délires cartoonesques des films précédents sont laissés de côté. Le film a une ambiance plus horrifique, avec notamment un Freddy relooké, plus organique et sombre. Heather Langenkamp est également convaincante dans son propre rôle, et porte bien le film. Le problème est que le scénario se sait pas trop où aller, il amène certaines idées pour ne pas les exploiter, ou enchaînes les séquences de rêves sans trop de logique. Dommage, car cette conclusion aurait pu être fort sympathique.
Cette énième suite de « Les griffes de la nuit » propose d'amener la franchise ailleurs, et ici, ce sera dans le domaine de la mise en abyme avec des acteurs jouant leur propre rôle ! On aura ainsi le plaisir de revoir la ravissante Heather Langenkamp, ainsi que le sémillant John Saxon. Ici, Freddy Krueger (étonnamment peu présent jusqu'à la dernière demi-heure) cesse d'être le bouffon outrancier qu'il était devenu au fil des opus : ses meurtres redeviennent plus classiques mais font froid dans le dos et son maquillage le rend plus effrayant que jamais. Toutefois, il faudra subir le jeu d’acteur horripilant de l’enfant de Nancy/Heather et une fin un peu bâclée, mais cet épisode est tout de même sympa à regarder.
Wes Craven, le créateur de Freddy Krueger revient, après avoir réalisé le premier volet (1984), lui qui a toujours été déçu des nombreuses suites (inutiles pour la plupart), revient à la charge et sonne le coup de grâce avec Freddy sort de la nuit (1994), le dernier chapitre (enfin !). Si on le retrouve derrière la caméra, on lui doit aussi le scénario, ainsi qu’une apparition dans son propre rôle. Une intrigue toujours aussi tirée par les cheveux, mais avec un soupçon de suspens et de tension (chose rare que l’on n’avait plus eu dans chacune des autres suites). Un vrai retour à l’essence même du monstre, dont on aura plaisir à retrouver Heather Langenkamp (qui interprétait dans le premier volet l’héroïne, à savoir Nancy Thompson). Cette nouvelle suite bénéficie aussi d’un lifting pour Freddy, nouvelle allure, nouveaux makeup-effects (saisissants !!!). Ce chapitre final redore une franchise tombée bien bas depuis ses débuts, à cause de New Line qui aura sans cesse privilégié les scripts bas de gamme au profit d’un vrai travail, dénaturant au passage tout le travail en amont, réalisé par Wes Craven. Ce dernier se rend justice en s’offrant l’ultime opus, ainsi qu’une fin digne de ce nom. Reste à savoir maintenant ce que vaut le crossover Freddy contre Jason (2003) et le remake (2010).