Véritable et seul coup de cœur de la saga emblématique, ce 7ème et ultime volet avant le remake ma directement frappé dès les premières minutes. Je viens de le voir en cette soirée du Mardi 24 janvier 2017 avec mon coffret Blu-ray.
La première grande scène étant le séisme au cœur de la maison des personnages principaux, le second séismes arrivent par la suite, comme étant le synonyme de l’arrivée sur Terre de Freddy. Ensuite, on voit mais un peu plus tôt, et après le générique du début les toutes premières images de ce dernier volet sous forme des coulisses du tournage d’un volet de Freddy, mais dans le film lui-même et par celles et ceux qui ont fait le volet d’origine.
A ces moment-là, ma critique fut faite et mes étoiles noté, mais je préférais être sur mes gardes mais tout en étant certains de cette note finale. Ensuite, l’attitude de plus en plus flippante du fils de Heather, jouant son propre rôle, qui au fur et à mesure donc, se fait posséder par Freddy et va lui ouvrir les portes de la Terre, d’où ce nom de « sort de la nuit », car il vient enfin sur Terre et non plus dans les cauchemars.
Prochaine scène, celle de l’enterrement du mari de Heather, le vent surpuissant qui balaye tous et le fils et la mère emporté dans le cercueil du père, une prise de vue magnifique de l’intérieur du cercueil en question avec l’atmosphère parfaite.
Encore une avec dans le final, la langue de Freddy géante enveloppant la mère et son fils, gluant, drôle et donc dégueux, toute les émotions passant dans cette scène très courte pourtant. Ce qui me frappe et m’interroge, c’est le costume de Freddy, largement moins réaliste que tous les autres et pourtant, son aspect très déguisement de carnaval ou Halloween le rend presque plus autoritaire, méfiant. Puis l’idée géniale de mettre tous les membres connue de la saga de ce même film, l’actrice principale rejouant son rôle avec son faut père et L’acteur de Freddy puis Wes Graven en personne dans son univers. On comprend qu’ils faisaient tous du vrai et pur cinéma dans les précédents volets, qu’ils jouaient réellement un rôle de fiction et que maintenant, ils sont dans leurs vies quotidiennes. Difficile à décrire à l’écrit tous çà, mais je me comprend à le dire, c'est déjà çà. Enfin décors, effets spéciaux, et la petite musique religieuse sur chaque séquence de stress, impeccable. Cet ultime volet marque le fin d’une époque, d’une grande saga entreprise par Graven, et terminée par lui-même sans que les volets entres eux ne soit dirigés par lui. Une saga ou j’aurais aimé ou détesté certains volets, heu non, un seul volet en vérité, le 2, mais très heureux de le avoir tous vu, et de pouvoir, dans les mois ou années à venir, tous les revoir.