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Votre avis sur Diary of the Dead - Chronique des morts vivants ?
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Chronique des Morts-Vivants est assez peu emballant comme volet de la saga des zombies de Romero.
Le style fan footage est finalement assez classique dans le genre et n'apporte pas grand chose.
Certes, au fil des films, les maquillages ont gagné en réalisme et il n'y a désormais plus rien à dire là-dessus. Mais justement, il n'y a apparemment plus de marge de progression possible et j'ai l'impression que la saga est arrivée au bout de ce qu'elle avait à montrer.
Les personnages sont ennuyeux, l'intrigue ne propose rien de bien intéressant (là où les précédents avaient au moins une idée un tant soit peu intéressant à proposer sur l'être humain et sa capacité à vivre en société).
Au-delà du style fan-footage, le film est tout de suite oublié.
Le style fan footage est finalement assez classique dans le genre et n'apporte pas grand chose.
Certes, au fil des films, les maquillages ont gagné en réalisme et il n'y a désormais plus rien à dire là-dessus. Mais justement, il n'y a apparemment plus de marge de progression possible et j'ai l'impression que la saga est arrivée au bout de ce qu'elle avait à montrer.
Les personnages sont ennuyeux, l'intrigue ne propose rien de bien intéressant (là où les précédents avaient au moins une idée un tant soit peu intéressant à proposer sur l'être humain et sa capacité à vivre en société).
Au-delà du style fan-footage, le film est tout de suite oublié.
Roméro ne sait plus quoi faire pour se réinventer. Précurseur en son temps, il cherche à renouveler sa saga en copiant ce qui est actuellement à la mode, ici le found foutage. Sa vision d'horreur caméra à la main semble tellement ringarde par rapport à REC sortie un an plus tôt, terriblement terrifiant et tellement bon. Sa chronique des morts vivants aurai pu être tellement meilleure, filmer les origines de la catastrophe, caméra au poing pouvait donner un rendu incroyable. Las, le réalisateur accorde plus d'importance à discours politique dans un film bien trop bavard et sans horreur. Dans Land of the Dead, ces deux aspects étaient réunis mais ici, la voie off est gonflante et le doublage catastrophique...
Cinquième film du maître du genre, Diary of the dead nous plonge dans les premiers instants d'une invasion zombie dans les années 2000. Le film met ainsi l'accent sur la gestion de l'information, à une époque où les smartphones ne sont pas encore généralisés. La mise en scène est globalement réussie, avec de nombreuses trouvailles intéressantes qui viennent ponctuer le film. Mais en termes d'écriture, c'est une véritable catastrophe. Les personnages sont tous aussi improbables et caricaturaux les uns que les autres. Les dialogues sont d'une lourdeur telle qu'on en rit. Et le plus triste, c'est que le film est particulièrement avare en morts-vivants, trop occupé à distiller une vision datée de la jeunesse et de la société.
Mal joué, mal tourné, mal scenarisé, mal doublé, d'un ennui mortel...
Pourtant habituellement je suis bon public pour les films de zombies...
Pourtant habituellement je suis bon public pour les films de zombies...
Pas mal du tout. Décalage et originalité dans un film de zombies et d'étudiants en cinéma. Quelques scènes assez étonnantes.
Comme vous pouvez le constater il y a un progrès dans les films de Romero le commentaire pseudo politique est arrêté. Romero a décidé de réaliser ce film qui en résumé raconte l'histoire d'un groupe d'étudiants qui alors qu'ils tournent un film de monstres se retrouvent au milieu du chaos et décident de le documenter. Un par un la plupart des étudiants sont éliminés alors qu'ils traversent la Pennsylvanie à la recherche de leurs familles bien que si vous restez assis pendant les cinq premières minutes du film et que le narrateur vous dit que le film est déjà terminé. Je n'ai vraiment pas aimé ce film même s'il est clair que les spectateurs du cinéma ont apprécié l'originalité du gore. Dans une scène l'un des morts est choqué par une machine dans un hôpital ce qui fait exploser ses yeux mais ne le tue pas. Le reste n'est qu'un triste portrait de Romero essayant de combler les vides entre ses méthodes fantaisistes pour tuer les zombies qui sont absolument boiteuses et étirées comme choquer un zombie avec un défibrillateur ou casser une bouteille d'acide fort sur la tête d'un zombie et alors qu'il ne blesse même pas son doigt mais le crâne du zombie lui fond en quelques secondes...
c'était terrible car les notes étaient si hautes que je pensais voir un film formidable... au final c'est cliché au possible, des jeunes qui se font mordre par des zombies, la police qui est méchante et les aide pas... la vue à la première personne qui semble pourt
ant filmée par des caméras professionnelles.
non, sans rire, en film filmé à la main dans la même période il y a du Rec, autrement plus inquiétant, autrement plus palpitant.
un nanard sans nom. j'ai coupé avant la fin car je ne voyais pas où ils voulaient en venir
ant filmée par des caméras professionnelles.
non, sans rire, en film filmé à la main dans la même période il y a du Rec, autrement plus inquiétant, autrement plus palpitant.
un nanard sans nom. j'ai coupé avant la fin car je ne voyais pas où ils voulaient en venir
Un film vraiment flippant, histoire gore, zombie et scénario très bien travaillé, le film est convainquant, si vous aimez la mort, et la fin de la mort, vous serez servi, on est sous pression durant tout le film, mème au au final c'est un classique de zombie.
Suintant un tout petit peu moins l'amateurisme cheap que son précédent volet (Land of the dead), ce nouveau Romero d'outre tombe apporte peu au genre, produit forcément quelques redites et fatigue par sa réalisation caméra au poing usante. Pas dingue.
Le meilleur film sur la danse des zombies de tous les temps du cinéma et c'est amusant, parce que son maître le maîtrise avec une solution net plus ultra son scénario horrifique, une mise en scène à faire sursauter quand les créatures créés ce sentiment de peur au long de cette réalisation, on ressort abasourdi.
La chronique des morts-vivants filmée par des amateurs d'acteurs gérés par un réalisateur qui a de l'idée pour rendre ces zombies intelligents avec beaucoup de férocité teintée de tristesse à tomber, c'est trop génial depuis les errants livides du cimetière, une virée au centre commercial pour son humour atypique.
Appuyant sur ce REC pour intensifier l'effet sonore du bruitage strident, le frisson qui rapproche dangereusement le chemin des deux mondes, le crépuscule s'annonce dans ce chef-d'œuvre grand moyen correction.
Une génération YouTube d'actualité par la mondialisation zombifique fiction dévorant l'humanité toute entière, vous n'y échapperez pas, le bunker comme dernière planque post-apocalypse.
La chronique des morts-vivants filmée par des amateurs d'acteurs gérés par un réalisateur qui a de l'idée pour rendre ces zombies intelligents avec beaucoup de férocité teintée de tristesse à tomber, c'est trop génial depuis les errants livides du cimetière, une virée au centre commercial pour son humour atypique.
Appuyant sur ce REC pour intensifier l'effet sonore du bruitage strident, le frisson qui rapproche dangereusement le chemin des deux mondes, le crépuscule s'annonce dans ce chef-d'œuvre grand moyen correction.
Une génération YouTube d'actualité par la mondialisation zombifique fiction dévorant l'humanité toute entière, vous n'y échapperez pas, le bunker comme dernière planque post-apocalypse.
Catastrophique, c'était juste affligeant, de la bonne touche pipi intellectuelle ! Qu'est ce que la mort ? Où se trouve la vérité ? Les médias sont des menteurs et blablabla, même Rec à un message plus profond que le sien. Non mais sérieusement, Romero cherche à nous faire réfléchir sur des questions philosophiques ridicule surtout que ses questions sont totalement désamorcées par l'aspect technique à commencer par les jeux d'acteur, tout les personnages sont détestables ! Il y en a pas un pour rattraper l'autre, il n'y a absolument rien de naturel chez eux, ils surjouent et parfois ils jouent très mal, rien que les 2 premières minutes du film m'ont fait comprendre que j'étais face à un navet. Et vas y que je balance des centaines de jump scare, ainsi qu'une justification des musiques qui vont à l'encontre même du found footage, attendez d'après le personnage principal "on donne de vrai information filmée, en revanche j'ai mis de la musique en espérant de vous faire peur" Bravo Romero, tu as réussi à gâcher tout le réalisme et les principes de ton found footage en mettant en place une technique à la Hollywood car pour ceux qui n'avaient toujours pas compris, ce qui fait la saveur d'un found footage c'est l'absence de musique, comme si les images ont été prise d'un trait sans aucun montage derrière, hors ici des musiques il y en a partout, même durant les jump scare (d'ailleurs je précise que les jump scare sont ridicules et contribuent à la réduction du réalisme). Evidemment Romero a tout prévu car pour baisser davantage l'effet du réalisme, pourquoi ne pas tout filmer avec plusieurs caméras et rajouter dans le montage des extraits inutiles provenant d'autre caméra de surveillance éradiquant ainsi tout le mystère du film et par dessus tout ça romancer l'histoire, car oui de la romance vous en avez beaucoup à en gerber. Je ne m’obstinerai pas plus longtemps sur ce film, je finirai par dire que Romero a crée un très beau nanar car il n'a rien compris au found footage, ses messages n'ont rien de profond et sont mêmes désamorcées par les personnages sortis tout droit d'une série B ou Z (au choix).
Shawn777
Ce cinquième volet de la Saga des zombies, sorti en 2007 et toujours réalisé par George A. Romero n'est pas mal. On revient en quelque sorte ici à zéro puisque le film, ou en tout cas le début, nous montre le début de l'invasion des zombies, de quelle façon cela s'est propagé etc. Le scénario est donc intéressant et même s'il traite du même sujet, à savoir les morts-vivants, il n'est pas répétitif par rapport aux quatre précédents films. Nous avons même un changement de ton puisque c'est le premier film de la saga à être tourné en caméra embarquée et nous sommes même dans une mise en abyme puisque le found footage est tourné par un étudiant en cinéma, d'ailleurs appelé très sobrement "The Death Of Death". Outre le fait que ce genre était très en vogue au début des années 2000, il trouve ici une réelle justification. Effectivement, nous avons d'une part une voix off au début du film et qui interviendra d'ailleurs de temps en temps dans le film, qui nous explique le pourquoi du comment. On pourrait penser que c'est un peu facile, surtout que cette voix off en question nous explique que les musiques, les effets etc. sont placés exprès pour faire peur au public et ainsi ne pas répéter les erreurs que les personnages ont commises. Malgré tout, cet effet sert surtout de critique sociale pour tout ce qui concerne les médias etc. Nous avons toujours eu une critique sociale acide dans les films de Romero mais elle est ici encore plus marquée car elle est soutenue par les personnages, et notamment par Debra qui en parle en voix off. Le film pointe en effet du doigt les médias qui nous disent tout et n'importe quoi et qui imposent leur caméra même dans des moments où elles ne devraient pas être là. Le film critique également les spectateurs, toujours plus assoiffés de violence visuelle. Voilà, bon en dehors de ça, le film n'est pas spécialement original car sa trame est plutôt classique, de même que la fin et les personnages. Le film possède également quelques scènes un peu longues, surtout vers la fin du film qui en devient au bout d'un moment un peu ennuyant. En ce qui concerne les acteurs, ils ne jouent pas trop mal mais ça s'arrête là, il n'y a rien d'exceptionnel. Les effets spéciaux sont quant à eux toujours aussi réussis que dans le film précédent. "Chronique des morts-vivants" est donc loin d'être un chef-d’œuvre mais il est porteur d'un message intéressant, qui est d'ailleurs toujours d'actualité plus de dix ans après, et il fait office de bon divertissement.
Waouh, incroyable ! Sans aucun doute le meilleur volet de la célèbre saga des zombies de Romero ! Le film est pourtant un found-footage, genre que je n'apprécie pas systématiquement. Mais le fait que l'histoire se concentre sur les zombies et, je dirais même plus, les prémices de leur invaZion, ça rend le tout fichtrement prenant et angoissant ! Ce cinquième volet de la célèbre saga zombiesque apporte un message vraiment fort et nous plonge entièrement dans l'apocalypse. Côté points négatifs, je peux reprocher un certain essoufflement au dernier quart d'heure, et je trouve que certains protagonistes ont des réactions étranges mais bon... Ce film monte la barre très haute et s'approche inexorablement du chef d’œuvre "Rec".
« Diary of the Dead » est un film de zombies très moyen, voire médiocre, n’offrant rien de novateur dans ce genre, l’histoire, l’intrigue, le développement sont du vu et du revu. Rien de nouveau sous le soleil des zombies, même venant du « père » du film de zombies, ce qui ajoute à la désolation. Le casting offre des prestations correctes et la photographie en found footage est correcte sans révolution aucune. On lui préférera peut-être « Land of the Dead » (2005) ou probablement « Day of the Dead » (1985).
J'adore les zombies, mon œuvre préféré est The Walking Dead, pas pour son action mais pour ses thèmes abordés, notamment ce dont on est capable pour protéger ceux qu'on aime, essayer de garder son humanité dans un monde qui ne le permet plus, voilà ce qui me passionne dans ses histoires la, mais pour Romero ce n'est pas vraiment ce qu'il pense, et ça se sent. Diary of The Dead est donc un film de George Romero, et ce film est l'opposé contraire de The Walking Dead, aucune thématique abordée, juste du gore, des personnages agaçants et non développés, une histoire prévisible, ensuite son parti pris de Faire un found footage n'est même pas bon car il n'assume pas à fond et trouve des excuses bidons pour faire des contrechamps, ensuite les appareils électroniques sont horribles, on sent que c'est tout sauf une caméra amateur et filmé dans la précipitation, c'est exagéré, tout est mauvais, je suis très gentil avec mes notes mais La, c'est HORRIBLE. 2/20
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