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Votre avis sur Cashback ?
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Particulier... Et le pouvoir de Ben est mal expliqué, on ne comprend pas vraiment son fonctionnement.
spoiler:
D'ailleurs une autre personne à le même pouvoir que lui mais on n'en parle que 2 minutes. Pourquoi intégrer cela si ce n'est pas développé ?
C'est parfois inventif cinematographiquement même si l'ensemble reste tout de même un peu trop gentillet. On est dans la comédie romantique un peu fauchée et le personnage principal est fade à souhait. Un magnifique idée d'un supermarché à l'arrêt où le héros se ballade et dessine des femmes qu'il dénude le temps de sa création donne une certaine grâce mais pour le reste du film c'est un peu du remplissage.
Ce film est une comédie dramatique qui raconte l'histoire d'un étudiant insomniaque(Ben) après une rupture. Le sentiment du personnage principal varie beaucoup entre la tristesse, la dépression, le bonheur ou la joie ce qui est accompagné par une musique qui colle parfaitement tout au long du film. Le film est poétique et parle du temps qui passe. Ben, qui est sur la lune et veut accélérer le temps à son travail pour tromper l'ennui tout en profitant du moment présent, s'imagine un pouvoir fantastique (arrêter le temps en craquant ses doigts) dans une vie banale. De plus, il y a un certain flou qui pourrait nous laisser penser que c'est réel
spoiler:
(comme le jet de lait sur Jenkins ou la scène finale). Et le film garde certains mystère de ce monde figé(comme l'homme à la capuche).
Cela rajoute un élément mystique dans un scénario réaliste ce qui rend le film originale et captivant. Le personnage principal est attachant avec tous les flashbacks de son enfance qui nous expliquent comment il est. Cependant, cela reste une comédie à l'anglaise avec des personnages(les deux vendeurs et son ami) et des scènes humoristique spoiler: (comme le match de football ou la scène du kung-fu). Mais il reste des moment serieux(comme la romance avec Sharon et le diner où elle évoque son rêve d'apprendre l'espagnol pour aller vivre au soleil en Amérique du Sud)
. Il y a des effets innovants tentés ( spoiler: comme les photos brulés ou le passage du téléphone au lit)
, la réalisation est parfaite pour le budget(notamment les scènes d'arrêt dans le temps).
Bref excellent film pour la première de Sean Ellis.
Cela rajoute un élément mystique dans un scénario réaliste ce qui rend le film originale et captivant. Le personnage principal est attachant avec tous les flashbacks de son enfance qui nous expliquent comment il est. Cependant, cela reste une comédie à l'anglaise avec des personnages(les deux vendeurs et son ami) et des scènes humoristique spoiler: (comme le match de football ou la scène du kung-fu). Mais il reste des moment serieux(comme la romance avec Sharon et le diner où elle évoque son rêve d'apprendre l'espagnol pour aller vivre au soleil en Amérique du Sud)
. Il y a des effets innovants tentés ( spoiler: comme les photos brulés ou le passage du téléphone au lit)
, la réalisation est parfaite pour le budget(notamment les scènes d'arrêt dans le temps).
Bref excellent film pour la première de Sean Ellis.
L’idée de départ était séduisante et laissait augurer un film lyrique et romantique : un étudiant des Beaux-arts devenu insomniaque à la suite d’une rupture amoureuse travaille dans un supermarché pour occuper ses nuits blanches, et là, décide de "donner de la beauté au temps" en le suspendant (afin d’admirer le monde et les clientes en toute quiétude).
Grâce à ce scénario original, Sean Ellis parvient à démontrer l’étendue de son talent de photographe, captant de la beauté dans un univers qui ne s’y prêtait pas forcément. Certaines scènes sont à ce titre particulièrement réussies.
Par ailleurs, le couple Sean Biggerstaff/Emilia Fox possède un charme fou que la caméra a su rehausser, et l’on suit leurs aventures avec intérêt.
J’ai donc trouvé d’autant plus regrettable l’humour souvent très lourd du film et son côté "teen-movie". Passant sans arrêt de la poésie à la bêtise, de la subtilité à la balourdise, "Cashback" agace et déçoit au lieu d’éblouir et d’émouvoir.
Placer des porcelaines dans un magasin d’éléphants, quelle drôle d’idée!
Grâce à ce scénario original, Sean Ellis parvient à démontrer l’étendue de son talent de photographe, captant de la beauté dans un univers qui ne s’y prêtait pas forcément. Certaines scènes sont à ce titre particulièrement réussies.
Par ailleurs, le couple Sean Biggerstaff/Emilia Fox possède un charme fou que la caméra a su rehausser, et l’on suit leurs aventures avec intérêt.
J’ai donc trouvé d’autant plus regrettable l’humour souvent très lourd du film et son côté "teen-movie". Passant sans arrêt de la poésie à la bêtise, de la subtilité à la balourdise, "Cashback" agace et déçoit au lieu d’éblouir et d’émouvoir.
Placer des porcelaines dans un magasin d’éléphants, quelle drôle d’idée!
Après un long moment d'attente avant de regarder ce film, j'ai été surpris de la tournure. Après le succès de son court métrage (nommé aux oscars), je ressors très mitigé de ce premier long métrage de Sean Ellis.
D'un coté un scénario bien original et gracieux mais de l'autre un humour à la limite de la lourdeur et des scènes bien trop longues.
De même pour la relation de Ben et Sharon. Une relation bien trop intense auquel je n'arrive pas à croire, tant la rapidité de cette histoire d'amour et le manque de détails, mais tout de même si simple et si belle (notamment grâce à la scène de fin qui vient figer leur amour dans le temps)
La musique de Guy Farley est néanmoins est un personnage à part entière et nous transporte pendant ses 94 minutes dans cette histoire temporelle.
En bref, un timide 3 qui ne manquera pas de me faire revisionner ce film.
D'un coté un scénario bien original et gracieux mais de l'autre un humour à la limite de la lourdeur et des scènes bien trop longues.
De même pour la relation de Ben et Sharon. Une relation bien trop intense auquel je n'arrive pas à croire, tant la rapidité de cette histoire d'amour et le manque de détails, mais tout de même si simple et si belle (notamment grâce à la scène de fin qui vient figer leur amour dans le temps)
La musique de Guy Farley est néanmoins est un personnage à part entière et nous transporte pendant ses 94 minutes dans cette histoire temporelle.
En bref, un timide 3 qui ne manquera pas de me faire revisionner ce film.
Nan mais c une blague ? Jamais vue un film aussi pourri , les acteurs ne sont pas drole du tout . L'histoire d'amour ou je ne sais pas quoi c'est carrément n'importe quoi , il est tres moue . Fin je comprends pas cette note .
J'avais vu ce film à sa sortie au cinoch ! Il y a 14 ans... Autant dire que de l'eau est passé sous le pont depuis ! Une bonne manière de revoir autrement un film sur la vie 👍 !
Derrière un synopsis un peu bateau se cache un film vraiment beau et intelligent : les tribulations d'un jeune homme sensible en pleine rupture amoureuse, qui va revenir sur ses expériences passées tout en tentant d'aller de l'avant... En faisant quelques pauses dans le temps, illustrations fantastiques de ses réflexions les plus intimes et les plus existentielles : la vie, le temps, l'amour, la sexualité, l'amitié, les épreuves...
Je me souvenais d'un film très US dans le ton et pourtant, je viens de redécouvrir qu'il s'agit d'un film britannique. Ceci explique cela ! Cashback reste vif et passionnant tout en explorant en profondeur un monde d'interrogation, d'émotion et d'humour subtil ! Les personnages autour de ce magicien sont tous pittoresques au possible, avec chacun leur charisme et leur fonction dans ce conte du quotidien. On devient vite un membre à part entière de cette petite bande d'adulescents à la stupidité parfois libératrice... On s'identifie rapidement à Ben, le centre de cette agitation réfléchie.
Vraiment une expérience gratifiante pour ceux qui aiment les films posant une réflexion miroir et universelle sur la vie. Les 14 années qui ont séparé ces deux visionnages m'ont permis de repenser aux choses différemment. Beaucoup d'ingrédients propres à Trainspotting (excepté la drogue) se retrouvent dans Cashback... Qui finalement met le romantisme à l'honneur sans un gramme de niaiserie. L'exercice n'est pas aisé ! Vraiment bien <3 !
Derrière un synopsis un peu bateau se cache un film vraiment beau et intelligent : les tribulations d'un jeune homme sensible en pleine rupture amoureuse, qui va revenir sur ses expériences passées tout en tentant d'aller de l'avant... En faisant quelques pauses dans le temps, illustrations fantastiques de ses réflexions les plus intimes et les plus existentielles : la vie, le temps, l'amour, la sexualité, l'amitié, les épreuves...
Je me souvenais d'un film très US dans le ton et pourtant, je viens de redécouvrir qu'il s'agit d'un film britannique. Ceci explique cela ! Cashback reste vif et passionnant tout en explorant en profondeur un monde d'interrogation, d'émotion et d'humour subtil ! Les personnages autour de ce magicien sont tous pittoresques au possible, avec chacun leur charisme et leur fonction dans ce conte du quotidien. On devient vite un membre à part entière de cette petite bande d'adulescents à la stupidité parfois libératrice... On s'identifie rapidement à Ben, le centre de cette agitation réfléchie.
Vraiment une expérience gratifiante pour ceux qui aiment les films posant une réflexion miroir et universelle sur la vie. Les 14 années qui ont séparé ces deux visionnages m'ont permis de repenser aux choses différemment. Beaucoup d'ingrédients propres à Trainspotting (excepté la drogue) se retrouvent dans Cashback... Qui finalement met le romantisme à l'honneur sans un gramme de niaiserie. L'exercice n'est pas aisé ! Vraiment bien <3 !
La non histoire du héros le plus ennuyeux que j'ai jamais vu. Dépressif sans raison, nombriliste, limite pervers, qui passe son temps à imaginer toutes les (belles) femmes qu'il croise à poil (pour l'art bien sûr). Il ne paraît décent qu'en comparaison avec ses amis, pires que lui. Mêmes les quelques blagues tombent complètement à plat. Rien à garder.
"Cashback" est un film qui plaira surtout aux jeunes, car c'est à nous que s'adresse l'histoire à laquelle on peut facilement s'identifier et les effets de style particulièrement réussis. Un film qui navigue à la fois entre réel et irréel, passé et présent qui représente bien le bordel intérieur des jeunes. Un très bon film donc, mais qu'on risque de voir différemment avec le temps.
« Cashback » fait beaucoup penser à « Eternal Sunshine of the Spotless Mind » (2004) et à « Garden State » (2005) mais il est beaucoup mieux, beaucoup plus abouti que ces deux films. Comme Zach Braff, Sean Ellis est à la fois le réalisateur et le scénariste de son film mais au lieu d'en être l'interprète, il a choisi d'en être le producteur. Il s'est beaucoup investi dans ce film et bien lui en a pris. Ce film a beaucoup de qualités : de l'originalité à revendre, un travail sur l'image incroyable, des trouvailles de réalisation surprenantes (l'utilisation à bon escient du plan/contre-plan, la pause temporelle...), des beautés féminines sublimées par les choix de réalisation, une musique superbe et un dénouement d'un romantisme absolu. A part une baisse de rythme dans la seconde moitié du film et un interlude football qui aurait pu être évité, il n'y a pas beaucoup de points négatifs à sortir de ce premier film de Sean Ellis. Un film à voir.
Un petit chef d’œuvre de romantisme et d’humour...
Quand à l’histoire, une simplicité désarmante mais tellement originale. Il suffisait d’y penser...
Quand à l’histoire, une simplicité désarmante mais tellement originale. Il suffisait d’y penser...
Ce film est surprenant, on passe de moment très futiles, presque niais, à des moments magiques, intenses, non ce n’est pas de l’incohérence, c’est subtilement mené, je vous le recommande vous passerez un agréable moment
Film qui brille par son incroyable immaturité. On y retrouve tout au plus le fétichisme adolescent à travers cette idée du temp qui s'arrète mais ce discours sur l'amour et le temps, c'est vraiment indigeste. Le jeune héros,fraichement largué, et son ami sont plutot sympathiques, il ya quelques scènes saisissantes mais le film s'érode une fois la première demi-heure passée. L'étoile va directement à Emilia Fox, dont on ne croit pas un instant qu'elle puisse être célibataire.
Fêtons le cinéma
Cashback nous dit quelque chose de profondément vrai sur l’homme et son rapport à l’autre, sur son rapport au temps, cette solitude viscérale qu’une rupture ou qu’une vie seule exacerbent au point de rendre l’existence inhabitable. La première moitié du film – à laquelle correspond le court-métrage originel ayant inspiré le présent film – sonne comme un chef-d’œuvre : puissante, juste, originale, esthétiquement incroyable, elle nous transporte au plus profond de notre être, dans une temporalité chamboulée par le tout-puissant désir et le regret destructeur pourtant source d’inspiration. Les maux donnent naissance aux plus belles créations, façonnent l’art qui ne serait sans eux que coquille vide. La suite du métrage tire malheureusement le concept vers des retranchements plus hasardeux et prévisibles, basculant dans la romance stéréotypée en dépit d’une scène de fin magnifique. La composition musicale accompagne à merveille le film, lui confère une ambiance flottante et fascinante à l’image de cette œuvre forte et dense à la qualité esthétique et réflexive immense. Manque à Cashback une prise de risques totale qui aurait permis d’emporter le spectateur dans un voyage sans retour ; on peut le regretter, mais cela n'enlève rien à sa superbe. Excellent.
Il n'y aurait pas cette scène de football ratée parce que trop lourde, on tenait là un chef d'œuvre. Ce métrage est clairement un film d'un amateur de l'image et des courbes féminines, il le dit il le montre et il en joue (la réalisation est magistrale). Il fallait oser à l'heure du politiquement correct, réaliser cette scène où il déshabille les clientes du super marché pour qui le temps s'est arrêté, comme il fallait oser filmer cette petite fille qui monnaye ses exhibitions. Mais c'est aussi un film sur le temps qu'on peut ralentir voire arrêter, mais jamais remonter, ce qui est fait étant fait même si ça n'a duré qu'un instant. Jolie méditation sur le sens de la vie que la fin dont on se demande si elle n'est pas une parodie des comédies romantiques ne saurait faire oublier. Un mot sur l'interprétation elle est bluffante, et la bande son envoûtante.
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