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    Videodrome
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    Redzing
    Redzing

    1 100 abonnés 4 451 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2013
    Le directeur d'une chaîne de télé miteuse devient obsédé par un programme sado-maso, et sombre dans une descente aux enfers. "Videodrome" n'est pas à mettre entre toutes les mains. Avec son scénario étrange au fil conducteur diffus, et surtout sa violence très graphique à base de body horror dérangeant, nombreux sont ceux qui n'adhèreront pas au film. Pourtant, outre l'originalité de ces images, le message délivré est très intéressant. Cronenberg tire sur la télévision, évoquant ses ravages auprès du public. Il la dépeint ainsi comme un outil de manipulation politique, et comme un instrument machiavélique : en donnant l'impression de soulager par catharsis, elle contrôle son public pour lui imposer de nouveaux fantasmes. Un message qui s'applique également aux médias vidéos des années 2000. En somme, "Videodrome" est un film fantastique étrange, qui vaut pour son ambiance et son sujet.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    134 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2015
    Videodrome, plus qu'un film d'horreur, est le symbole flamboyant de ces années Videoclub qui, hélas, ne reviendront plus. Ô comme je me souviens de cet épais boîtier plastique, sésame de tous les rêves et cauchemars du week-end allongés que nous étions sur un clic-clac déployé sur une moquette épaisse et emmitouflés sous une couette rassurante. La pré-adolescence de ce début des années 80 était délectable quand s'emparait de chacun d'entre nous ce sentiment particulier de s'être passé sous le manteau l'absinthe qui chavirerait nos sens jusqu'à la prochaine dose, le vendredi suivant. Et bien voilà, James Woods s'extrayant de cette masse floue et bleutée non pas de l'océan mais d'un vulgaire écran de télé, c'était la quintessence, l'un des emblèmes de cette époque bénie. Et au-delà du symbole, de l'affect qui s'y joue, des défauts de jeunesse ou du manque de moyens dont souffre le film aujourd'hui plus qu'hier, Videodrome reste une des dénonciations les plus frontales qui soient du poison mortel que peut constituer la télévision, des effets hallucinogènes qu'elle peut avoir sur ses sujets, comme la drogue dure, comme le gourou mal intentionné... On est qui plus est dans la plus pure mise en abyme du spectateur qui subit des images sans trop comprendre ce qui l'y fascine autant puisque James Woods c'est évidemment nous devant l'écran. Un personnage principal fasciné par un spectacle qui prend rapidement la forme d'un sabbat cruel comme dans Salo ou les 120 jours de Sodome. La grande époque, la très grande époque de Cronenberg où comment entre ses mains expertes le poste de télévision devient autel sacrificiel !
    Djo D
    Djo D

    62 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2014
    Videodrome est tellement obscur que le propos en devient confus. Entre un personnage principal sans passion, une intrigue pas claire et un final chaotique, on ne saisit pas vraiment quel est le sens de tout ceci. Pourtant, certaines idées ne sont pas mauvaises. D’une part, il y a cette incertitude à propos de l’objet Videodrome. S’agit-il d’une émission, d’une cassette, d’une onde, d’une maladie ? Le doute est d’autant plus fort que l’œuvre porte le même nom. A côté de ça, les pistes de réflexions sont nombreuses : le traitement par le visionnage d’écrans, l’immortalité par la vidéo, la banalisation de la violence à la télévision, mais sans qu’aucune d’elle ne soit approfondie comme elles le méritent.

    Pire, dès lors que commencent les hallucinations de Max , le spectateur ne peut plus que perdre le fil du récit. De là, le film perd toute cohérence, et son message devient indéchiffrable. C’est en même temps que les défauts du film deviennent évidents.

    Dans le positif je noterai quand même le maquillage/les effets spéciaux du film plutôt visionnaire pour son époque !

    Un film trop confus dans son propos.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 324 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Voilà ce qui reste pour moi un incontestable chef d’œuvre au propos torve et à la réalisation des plus vicieuses. Personnellement, je reste admiratif par la capacité de cet auteur à me happer dès la première seconde par ce souffle malsain de folie pure qui me colle ensuite à la peau – devrais-je dire à la chair – jusqu’à la fin du film et même après ! Pas de doute, ce « Videodrome » est un pur plaisir presque masochiste de démence visionnaire. Oui, je le crie haut et fort : « Long life to the new flesh ! »
    NeoLain
    NeoLain

    4 915 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 février 2010
    Avec une une prestation au diapason de James Woods, une réalisation efficace, de même pour l'histoire, musique et une ambiance déstabilisante. Tout est fait pour que cela soit un film culte. Le hic ! j'adhère pas du tout à sa vision de la relation chair/machine à part pour La mouche.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    322 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Réalisé par le maître du bizarre-gore, ce film fantastico-terrifique est vraiment très spécial…carrément zarbi et ce depuis le début : lors de sa 1ère présentation en salle en 1982, à la fin de la projection, tous les spectateurs étaient unanime : incompréhensible !!! Et encore, à l'époque, le film ne faisait que 1h12, c'est dire si Cronenberg voulait vraiment limiter son discours !! Nous sommes ici dans un contexte de futur proche où l'on suit une histoire limite réaliste…puis des éléments bizarres et malsains apparaissent, basculant le film dans le cadre d'un thriller noir….puis nous basculons dans un cauchemar où on perd tous ces repères. C'est impressionnant car Cronenberg a réussi à faire en sorte qu'on ne s'y attende pas du tout et on est happé par cet effet de surprise à un point qu'on devient prisonnier du script. Le script justement…quand on regarde ''Videodrome'', on a l'impression que Cronenberg nous amène à une critique du phénomène Big Brother….alors que cela n'existait pas encore !! Précurseur Cronenberg ? Peut-être…mais à l'époque on avait déjà une peur des images, de la télévision et de leur influences…terrible quand on y repense et surtout quand on voit où on en est arrivé de nos jours sur ce sujet !! Sinon Cronenberg ne se limite pas à cette seule critique….il explore encore une fois les confins de l'esprit de l'être humain et de ces vices les plus cachés : il s'attarde ici sur les désirs sado-masochistes des hommes ainsi qu'à leurs déviances extrêmes. Et oui car si Max et Nicky s'adonnent à ses pratiques, c'est tout de même après avoir vu un snuff, après le visionnage de l'émission Videodrome…jusqu'où peut on aller pour avoir du plaisir ? Douleur ? Souffrance ? Mort ? Voilà sur quoi s'attarde aussi Cronenberg. Je sais c'est spécial, voire dérangeant, mais Cronenberg as toujours fonctionné comme ça…y'a qu'a voir ''Crash'' ou encore ''Spider''. En tout cas, sa mise en scène est toujours très efficace et c'est payant à l'écran : scènes étranges, flippantes, coup de poing …quand je vous disais qu'on était happé par cette histoire, ce n'était point une blague (si du moins on arrive à accrocher au scénar). De plus les acteurs sont très convaincants : James Woods est exceptionnel et on ne voit pas qui d'autre aurait pu jouer le rôle de Max tellement James s'y investit. Un petit bravo aussi à Deborah Harry, la chanteuse du groupe Blondie, qui joue très bien dans le rôle de Nicky Brant. Bon je tiens quand même à avertir tout le monde : ''Videodrome'' est tout de même un film de genre, underground, comme l'œuvre de Monsieur Cronenberg. Un véritable et captivant cauchemar de science-fiction dans un univers pas si éloigné du notre où la vidéo peut contrôler et modifier la vie humaine, où "L'écran de la télévisuel devient la rétine de l'âme humaine". Le thème de l'hallucination est très intelligemment traité : on nous expose une critique sur les effets de la télévison mêlée à une histoire fantastique dont le final frappant nous amènes à plusieurs hypothèses possibles. Bref, pour public averti.
    Akamaru
    Akamaru

    3 075 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Pourquoi tant de haine?Dans le genre auteur pessimiste,David Cronenberg se pose là.Son "Vidéodrome" dérange profondément,ce qui est évidemment le but recherché.Plutôt visionnaire pour un film de 1983,il dénonce la dictature de la télévision,et les dérives hallucinogènes qui peuvent en découler.Confusion du réel et du virtuel.Intégrité physique remise en question.Mort violente inéluctable.Cronenberg n'y va pas avec le dos de la cuillère,même pour une parabole.On flirte parfois avec le gore dérangeant.Les effets spéciaux sont impressionnants pour l'époque.Ce qui est impressionnant aussi,c'est comment le film a pris un sérieux coup de vieux.De la gestuelle aux looks,plus rien n'est crédible.Et je ne vois pas l'esquisse d'un film culte là-dedans.CQFD.
    Truman.
    Truman.

    226 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2013
    Avec Vidéodrome David Cronenberg remet en question la société actuel qui est obnubilé par la télévision, le sexe, les déviances perverse et autre curiosité malsaine, un message qui date de 1984 qui n'a pas vieillit d'un pouce, un film visionnaire et en avance sur son temps tout comme ses effets spéciaux .

    Tout l'univers et la patte si spécial du réalisateur en ressort a merveille, dégoutant et étrange mais aussi gore et fou avec une touche de génie . Cronenberg manipule son personnage principal tout autant que le spectateur, même un peu trop que l'on pourrait lâcher le film en cours de route .

    Le film dégage une ambiance spécial entre l'univers du voyeurisme, du sexe et ces effets gore réussit qui sont un signe du réalisateur ( Exemple avec la main du personnage qui se transforme en pistolet ) .
    Entre démence et réalité Vidéodrome est bien un film d'anticipation ou tout l'art de Cronenberg est a l'air libre .

    Mais dans tout ça il y a quelques petit points négatifs, on semble un peu perdu entre temps, et le rythme s’alourdit vraiment par moment nous plongeant dans des phases ( courtes ) d'ennui .
    Vidéodrome est impressionnant dans ses effets spéciaux qui n'ont pas vieillit d'un pouce, dans ses propos visionnaire sur le monde du virtuel et de la télévision mais une chose est sur il faux aimer l'univers de Cronenberg .
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 mai 2012
    David Cronenberg est complètement cinglé. Une foi le visionnage de "vidéodrome" terminé, on ressort convaincu de cette affirmation. Avec un scénario terriblement difficile d'accès, on reste parfois sceptique quand au déroulement même du film. Nous ne sommes jamais sûr de rien. Et même si James Woods nous dévoile ici l'étendue de ses talents, on reste toujours avec un arrière goût dans la bouche, celui d'avoir vu un film dispensable et outrageusement gore.
    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    58 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Choisissant un visuel brut et violent, Cronenberg livre un pamphlet d'anticipation cru et sans concessions contre le pouvoir de la télévision. Et nous ne sommes qu'en 1983 ! Imaginons Cronenberg traiter ce sujet aujourd'hui, le film serait sans doute interdit aux -18. La télé comme prolongement du cerveau humain, comme objet hypnotique accaparant le cortex cérébral, cela n'est pas sans rappeler certaines formules à base de boissons gazeuses et de temps de cerveau disponible, non ?... Le réalisateur pousse le spectateur à la réflexion, joue sur la dualité fiction/réalité et utilise des thèmes forts comme la manipulation mentale et le voyeurisme, avec toujours cet attrait étrange et extrême pour le corps humain. James Woods est impeccable dans ce rôle, la mise en scène soignée et les effets spéciaux de qualité pour l'époque. Une plongée glaçante dans l'univers barré d'un cinéaste étrangement génial.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 047 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 octobre 2011
    Cronenberg est un réalisateur déroutant, c'est le moins que l'on puisse dire. Si j'avais été déçu de Crash, j'avais un peu peur pour ce Videodrome de rester un peu hermétique malgré les bonnes idées. Mais ce ne fut pas le cas. J'ai tout de suite été pris dans cette atmosphère étrange, sans concession, violente, perturbante. Je veux dire il faut être un sacré malade pour imaginer un tel film et rien que pour ça j'ai envie de l'aimer. Gore, sexuel, politique même je dirai, je ne sais pas si le pamphlet contre la télévision est juste un background au film, ou si c'est une réelle volonté de Cronenberg, mais toujours est il que c'est fascinant, intriguant, on ne sait jamais si c'est réel ou non, si on hallucine, pour le final je m'attendais à voir des tripes sortir de mon propre téléviseur. Je crois que j'ai un réel goût pour ce genre de film à la fois inventif et foutraque, qui semblent totalement bordélique, à l'univers baroque, faisant ressortir des craintes freudiennes, des fantasmes inavoués, refoulés. Bon après je comprend parfaitement que certains détestent, c'est totalement marginal comme film, ça ne ressemble à pas grand chose, si ce n'est à d'autres Cronenberg, à ma connaissance. Et puis voir un mec dont le ventre s'ouvre avec une forme de vagin, c'est assez spécial pour valoir le détour.
    Wobot
    Wobot

    20 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    Même si l'intrigue et le sous-texte metaphysique peut paraitre souvent trop obscur,'Videodrome' est un film unique,subversif et visionnaire.En effet,il anticipe 20 ans avant l'arrivée de la télé realite et des dérives de la TV!Il traite aussi du voyeurisme,du rapport de l'homme avec la perversité ou encore des méfaits de l'image...Tout ça raconté avec ambiguité par un Croenenberg génialement malsain.On ressort de ce film sous le choc et lessivé.Une oeuvre devant laquelle on ne reste pas de marbre...
    Danny Wilde
    Danny Wilde

    116 abonnés 502 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    En 1982, David Cronenberg réalise ce thriller éprouvant sur les dangers de certains programmes TV ; ça sent par endroits le produit bricolé, mais plus de 30 ans après, on réalise à quel point le cinéaste était visionnaire sur l'émergence d'univers virtuels. Porté par un James Woods habité et quelques effets choc, le film inaugure l'obsession de Cronenberg pour le malsain et le nauséeux qu'il poussera au paroxysme dans ses films suivants.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 375 abonnés 4 414 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2013
    Videodrome est un des films bien connus de Cronenberg. Il a des qualités certes, maintenant le résultat n’est quand même pas parfait.
    L’interprétation est efficace. James Woods dans le rôle principal assure un maximum, livrant une prestation très solide dans la peau d’un personnage pas facile. Il est réellement intéressant, et c’est là un bon point. A ses cotés Deborah Harry. Elle est certes meilleure chanteuse qu’actrice, mais elle à un physique tout à fait en adéquation avec le rôle, à la fois attirant et possédant en même un coté un peu antipathique, inquiétant. Elle ne s’en sort pas mal jouant la carte de la sobriété. Sonja Smits qui apparait assez peu et Peter Dvorsky dans un second rôle sont convenables, mais n’ont pas énormément de choses à faire. Videodrome fonctionne en fait avec peu d’acteurs. Je voudrai quand même signaler la présence de Lynne Gorman, assez marquante.
    Le scénario est inégal. Il a de réelles qualités, avec une intrigue mystérieuse et originale, de bonnes idées avec une dimension métaphorique agréable bien qu’un peu sous-exploitée. Il y a aussi quelques passages bien prenants. Maintenant le souci c’est qu’il est parfois vraiment lent. Il se construit très progressivement, or le film est assez court (1 heure 25), et pourtant il est possible de s’ennuyer par moment, d’autant qu’il y a des moments tellement enthousiasmants, que juste après bien sur ca démultiplie le coté fade. La gradation n’est pas très bonne non plus avec une conclusion inférieure à plusieurs moments du film.
    Sur la forme, le résultat est là aussi inégal. Cronenberg livre une mise en scène soignée. On trouve son efficacité, son style épuré, sans fioriture, cette propreté tout en sobriété qui l’identifie. La photographie a pris un peu de plomb depuis 1983, mais elle est d’un niveau normal pour un film de cette époque. En revanche les décors sont très mauvais. Ils ne sont pas juste minimalistes mais franchement laids, donnant l’impression que le film a été tourné dans deux caves et un entrepôt. C’est fort dommageable car du coup Videodrome peine à installer une réelle ambiance. Les fx sont quant à eux d’un très bon niveau. Pour la plupart lié au coté gore du film, ils sont impressionnants pour l’époque. Bien qu’assez peu nombreux au final, il y a des passages qui le déconseille quand même aux personnes sensibles. Enfin la musique bien que signée d’un grand compositeur est assez décevante. Peu présente, peu exploitée, elle est aussi très simple et peine à rehausser l’ambiance.
    En clair Vidéodrome est un film intelligent, avec de bonnes idées, bien interprété et porté par une mise en scène solide. Maintenant il ne se déploie pas de façon exceptionnelle, visuellement les décors sont atroces et il peine à installer une réelle atmosphère comme c’est le cas dans d’autres films de Cronenberg. Il vaut néanmoins le coup d’être vu une fois.
    Max Rss
    Max Rss

    196 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mars 2019
    En premier lieu, j'espère que même sur les chaines dont les programmes s'orientent sur l'érotisme et la pornographie, il n'y ait pas de telles émissions qui soient diffusées. On peut voir "Vidéodrome" comme un film avant-gardiste mais surtout comme un curieux objet cinématographique. Décidément, Cronenberg a une imagination des plus débordante et je dirais même effrayante par instants. Curieuse idée tout de même: une émission de télé qui provoque un signal qui transmet des hallucinations, des tumeurs cérébrales, qui altère atrocement les capacités mentales. Mais alors ces fameuses hallucinations, sont-elles réalités ou sont elles pur produit de l'imagination? Un film mélangeant épouvante, horreur et science fiction et qui montre que la frontière entre le réel et le virtuel est finalement très très mince et que la télé est un objet (extrêmement dangereux) d'influence et de manipulation...
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