Attention spoilers, cet article révèle des éléments importants de l’intrigue de “Stranger Things”.
Le premier des deux volumes de la saison 4 de Stranger Things offre aux fans ce qu’ils attendaient. Comme pour combler l’attente interminable depuis la saison 3, les créateurs n’ont pas lésiné sur l’action, l’horreur et les révélations. Cette dernière salve d’épisodes s’immerge dans le passé d’Eleven pour répondre à de nombreuses questions.
Le tout dernier chapitre, intitulé Le massacre du laboratoire d’Hawkins, réunit l’héroïne (Millie Bobby Brown) et One (Jamie Campbell Bower), un ancien patient qui n’est autre que Henry Creel - le fils de Victor Creel - et le monstre Vecna. Dans son monologue final, l’antagoniste revient sur son enfance macabre. Il explique s’être toujours senti à part, étranger aux autres, et raconte son obsession pour les veuves noires.
Très vite, l’enfant développe des capacités surnaturelles. Pour s’entraîner, il torture des animaux sauvages, avant de s’attaquer à sa propre famille en tuant sa mère et sa soeur. Néanmoins, la série n’explique pas comment Henry Creel a acquis de tels pouvoirs.
Si sa force est comparable à celle d’Eleven, leurs parcours sont très différents. Dans la saison 2, l’adolescente apprend que sa mère biologique était elle-même victime des expériences du docteur Brenner (Matthew Modine) alors qu’elle était enceinte. Dès sa naissance, Eleven - nommée Jane à sa naissance - est enlevée par le scientifique pour qu’il puisse poursuivre son travail. L’origine de ses pouvoirs trouve donc une explication logique. Aucune pour Henry Creel.
Le jeune garçon a-t-il, lui aussi, hérité des pouvoirs d’un ancêtre lié au Monde à l’envers ? Pourrait-il être à l’origine de cet univers parallèle ? Ces questions trouveront, espérons-le, une réponse dans le volume 2, disponible le 1er juillet prochain sur Netflix. En attendant, il est encore temps d’élaborer plusieurs théories.
Stranger Things est disponible sur Netflix.