Nous sommes à la fin de Jurassic Park. Alan Grant, Ellie Sattler et les enfants tentent désespérément d'échapper aux vélociraptors dans le complexe principal de l'île, et se voient forcés d'escalader des échafaudages pour se soustraire aux mâchoires des monstres.
Alors qu'ils rampent dans un faux plafond pour atteindre un conduit d'aération, l'une des bestioles lève sa gueule pour tenter de les repérer. C'est à ce moment-là qu'une étrange combinaison de lettres, probablement projetée à travers une grille, se reflète sur le raptor : A, C, G et T. Quatre lettres qui se répètent en boucle et dans un ordre aléatoire sur les écailles du dinosaure.
Si vous pensiez que ce code n'avait pas de signification particulière, sachez que rien n'est jamais laissé au hasard dans Jurassic Park. En effet, les lettres en question correspondent aux mots "adénine", "cytosine", "guanine" et "thymine", qui sont les quatre composés essentiels de l'ADN.
Sachant que la question génétique est bien évidemment au coeur du film de Spielberg, et que les dinosaures de Jurassic Park ont été créés grâce à la reconstitution d'un brin d'ADN vieux de plusieurs millions d'années, le clin d'oeil prend tout son sens : le raptor que l'on peut voir à l'écran - comme toutes les créatures du parc - n'est finalement que le produit de ces quatre éléments.
(Re)découvrez tous les détails cachés dans "Jurassic Park"...
Jurassic Park : 10 détails cachés dans le film