L'impitoyable monde de la finance : Le Loup de Wall Street. "Le film pour lequel DiCaprio aurait dû avoir un Oscar ! L’acteur est totalement habité par son personnage et nous entraîne avec lui dans les méandres de la finance où drogues, sexe et alcool vont bon train. La mise en scène de Scorsese est étourdissante à l’image du discours que fait Jordan Belfort (DiCaprio) à ses traders. Mention spéciale à la scène du restaurant où Matthew McConaughey fredonne en se tapant sur le torse." Laetitia Forhan
Le duo Oliver Stone/Charlie Sheen : Platoon. "Inspiré de sa propre expérience, Oliver Stone revisite SON Vietnam à travers un film poignant, bercé par une musique d'anthologie et l'interprétation inspiré d'un jeune Charlie Sheen pas encore foudroyé par ses déboires privés. Sans aucun doute, Platoon est à ranger au Panthéon des plus grands films de guerre jamais produits !" Clément Cusseau
Quand Charlie et Martin Sheen se croisent dans un autre film et parlent... de Wall Street : Hot Shots ! 2. "Qu'on se le dise tout de suite : Hot Shots, c'est la base. Le premier volet était hilarant, le second est désopilant. Après Top Gun, c'est au tour de Rambo de passer par la moulinette ZAZ. Les gags potaches - que certains trouveront lourdingues - s'enchaînent et ne laissent aucune place au sérieux. Si vous êtes amateur de cet humour, vous tomberez de votre siège dès la première scène. Les dialogues sont poilants (autant en VO qu'en VF) et les acteurs s'en donnent à cœur joie (Charlie Sheen en tête). C'est con, c'est absurde mais que c'est bon !" Caroline Langlois
Un Michael Douglas sans pitié : The Game. "Assez injustement décrié, notamment pour son dénouement, The Game est pourtant un très grand cru du maître David Fincher. Le scénario emmène le spectateur où il veut, le manipulant avec malice. Michael Douglas traverse le film en passant par toutes les émotions, le tout se terminant par un twist complètement fou remettant en perspective toute notre vision de l’œuvre. Ce jeu pervers, passionnant de bout en bout, bénéficie de surcroît de plusieurs niveaux de lecture." Vincent Formica