1er : La Mort de Louis XIV
Note moyenne presse* : 3.86 / 5
"Ainsi, si La Mort de Louis XIV met en scène quatre corps, le film lui-même semble avoir deux corps qui fusionnent : celui du didactisme historique sur les derniers jours de Louis XIV, et celui de la sacralisation symbolique et de l'hommage en acte à l'acteur qui nous est cher. Si La Mort de Louis XIV nous instruit, c'est bien le spectre de la mort de Léaud hantant ce film qui nous bouleverse." par Serge Kaganski (Les Inrockuptibles)
"Au-delà de la chronique d’un épisode historique inédit et morbide, "La Mort de Louis XIV" serait surtout un film costumé sur la fin de vie, un regard appuyé sur la longue dégradation d’un corps, observée attentivement par une armée de courtisans grotesques et pourtant vécue avec grâce par son principal protagoniste." par Axel Scoffier (Critikat.com)
2ème : Réparer les vivants
Note moyenne presse* : 3.83 / 5
"Plus délicat qu'un film choral, plus subtil et en même temps plus volontaire, "Réparer les vivants" accomplit ce miracle d'aller de la naissance du jour à celle d'un battement de cœur, d'une mort cérébrale à un réveil physique, et d'un départ amoureux à des retrouvailles d'amantes." par Sophie Avon (Sud Ouest)
"Sans les affects du pathos, ni la démagogie d’une leçon de vie lourdement dispensée, la réalisatrice de Suzanne et Un Poison violent, libre de ses choix, nous achemine vers la lumière, là où d’autres auraient lourdement insisté sur les noirceurs de la perte." par Frédéric Mignard (aVoir-aLire.com)
3ème : Mademoiselle
Note moyenne presse* : 3.8 / 5
"Cette maison de poupées peuplée d'imposteurs est un décor idéal pour Park Chan-wook, virtuose dans l'art de faire tomber les masques et de retourner le récit comme un gant. Il a le bon goût de ne pas jouer à la poupée avec ses personnages." par Etienne Sorin (Le Figaro)
"Servi par une merveilleuse photographie, ce film (...) cache doublement son jeu : non seulement il est d'un érotisme inflammable lorsque la relation entre les deux femmes tourne à l'éducation sensuelle d'Hideko, mais il installe en douce la mécanique du thriller historique "Du bout des doigts", signé de la romancière britannique Sarah Waters, dont il s'inspire." par Corinne Renou-Nativel (La Croix)
* Selon les notes presse du baromètre AlloCiné, à la date du vendredi 4 novembre 2016, et pour des films sortis le 2 novembre ayant au moins 10 critiques.