Oubliez les Batman, Superman et autres Iron Man. Le super-héros de la décennie, c’est lui ! Sauf qu’il ne le sait pas encore… Alors qu’il mène une vie très « sex, drugs and rock’n roll », Melvin réalise que la seule façon de retrouver son fils est d’exploiter au mieux ses pouvoirs télékinésiques afin de lutter contre le crime… Tout un programme.
Alors que les super-héros font les beaux jours de l’industrie hollywoodienne, Nick Love s’approprie le sujet et s’en amuse au travers d’une comédie indé, barrée et originale. Aucune adaptation de comics à l’horizon, l’histoire de Melvin est pure fiction. Un parti pris osé qui a le mérite de se faire remarquer. Dévoilé à Gérardmer en février, le film est empreint de sincérité et rend hommage à ces figures super-héroïques qui envahissent le marché.
Stephen Dorff peut-il rivaliser avec Ben «Batman» Affleck ? Pour le savoir, rendez-vous dans les salles le 8 juin.
D’ici là, vous pourrez toujours apprécier un autre super-héros…
Ou bien, celui-ci peut-être ?