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De quoi ça parle ?
A l'aube de l'an 2000, Detroit est la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible état, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais ce cyborg a aussi une âme...
Ca passe quand ?
Ce dimanche 2 février à 20h50 sur NRJ12.
5 bonnes raisons de (re)voir "Robocop" :
1/ Pour sa virulente critique de la société américaine, habilement cachée derrière le second degré (à l’instar de Starship Troopers) de Paul Verhoeven. C’est pourquoi on peut tout aussi bien regarder Robocop comme un divertissement que comme une véritable satire sociale.
2/ Bien qu’aucune star n’apparaisse dans le film, le casting de Robocop est composé de véritables "gueules", des acteurs apparaissent souvent dans des seconds rôles similaires d'un film à l'autre mais dont Hollywood est très friand. Citons par exemple Peter Weller, Kurtwood Smith, Ray Wise ou encore Miguel Ferrer.
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3/ Pour son thème musical bien connu et sa bande originale signée Basil Poledouris, à qui l’ont doit également les scores de Conan le barbare et Starship Troopers.
4/ Parce qu’il s’agit du premier épisode d’une franchise prolifique : deux suites seront tournées pour le cinéma tandis que trois séries ont été produites à la télévision. Enfin, un reboot du film sortira sur nos écrans le 5 février prochain.
5/ L’action du film se déroule à Detroit. Cette ville industrielle connue également pour ses gangs violents est le cadre idéal pour Robocop, cette machine qui règle leur compte aux criminels les plus nuisibles. L'occasion d'y découvrir une région des Etats-Unis peu souvent montrée au cinéma.
Clément Cusseau
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