Après avoir rencontré un franc succès sur France 2 au moment de sa diffusion en janvier 2023, la série Vortex connaît une seconde vie sur Netflix. En effet, rachetée par la plateforme, la fiction très réussie avec Tomer Sisley s’est placée dans le top 10 des contenus les plus visionnés sur l’interface dès sa sortie !
Vortex cartonne sur Netflix
Ici, l’action commence en 2025 et l’acteur campe le rôle de Ludovic. Celui-ci est capitaine de police judiciaire à Brest. Il a perdu il y a 27 ans l’amour de sa vie, Mélanie. La mère de sa fille Juliette est morte dans ce qui semblait être un accident…
Soudain, grâce à une faille temporelle qui s’ouvre à l’intérieur d’une scène de crime reconstituée en réalité virtuelle, ils peuvent communiquer entre 1998 et 2025 ! Ludovic prévient Mélanie : elle va mourir dans 11 jours !
Mais la sauver d’une mort certaine, cela signifie que Ludovic risque de perdre sa vie au présent, celle qu’il a mis tant de temps à reconstruire : sa nouvelle femme, Parvana et leur fils Sam... Bien ficelée et tenant en haleine, Vortex a été saluée par un succès critique et public. Un engouement qui pourrait favoriser une saison 2 ?
Une suite possible ?
Dès le départ, la série n’a pas été conçue pour connaître une suite. Cependant, interviewé par nos confrères de chez Première, Slimane-Baptiste Behroun (le réalisateur) a récemment laissé une porte ouverte en déclarant qu’une seconde salve d’épisodes "n’est pas impossible" mais "pas prévu[e] pour l’instant."
Visiblement intéressé par l’idée d'approfondir la mythologie de Vortex, ce dernier a ajouté : "Il y a plein de pistes à explorer, c'est sûr, avec le concept de Vortex. Mais si suite il y a, elle ne devrait pas concerner ces personnages-là (…)"
"Cette histoire d'amour est résolue. On laisse Ludovic et Mélanie [Camille Claris, ndlr] sur le point le plus haut émotionnellement. Je ne suis pas sûr qu'on ait envie de voir la suite, de ce qui leur arrive à eux... En revanche, un autre Vortex, ailleurs, une autre technologie, pour une autre histoire, peut-être…" L’espoir est donc toujours permis !