Jacques Laurent est un réalisateur de films pornographiques vieillissant et quelque peu névrosé, qui a connu son heure de gloire dans les années soixante-dix. Aujourd'hui, il est forcé de reprendre son activité suite à des problèmes financiers.
Angélique a soixante ans. Elle aime encore la fête, elle aime encore les hommes. La nuit, pour gagner sa vie, elle les fait boire dans un cabaret à la frontière allemande. Avec le temps, les clients se font plus rares. Mais Michel, son habitué, est toujours amoureux d’elle. Un jour, il lui propose de l’épouser.
En 1895, les frères Lumière inventent le Cinématographe et tournent parmi les tout-premiers films de l’histoire du cinéma. Mise en scène, travelling, trucage ou remake, ils inventent aussi l’art de filmer.
Un bord de mer en Bretagne : Anna, 50 ans, anglaise, emménage dans sa nouvelle maison. Les pièces sont envahies de "boxes", les cartons de déménagement qui renferment mille objets... Anna a vécu beaucoup de vies et son passé surgit des boites...
Casanova fait la connaissance d’un nouveau serviteur qui sera le témoin des derniers moments de sa vie. Quittant un château français aux ambiances galantes et libertines typiques du 18ème siècle, il passe ses derniers jours dans les terres pauvres et sombres de l’Europe septentrionale.
Durant un été, Sam se rend au Portugal, où réside sa mère. Sur sa route, il croisera plusieurs auto-stoppeurs qui l'amèneront à prendre un autre chemin...
Cinq garçons ont décidé de s'initier au saut en parachute. Dans ce film drôle et sensible, ils vont éprouver cette fraction de seconde où l'on se décide à plonger dans l'inconnu. Ce qui les rassemble ? Leur séropositivité.
Confrontés à la faillite de leur entreprise de lingerie, des salariés tentent de la reprendre sous forme de coopérative. Au fur et à mesure que leur projet prend forme, ils se heurtent à leur patron et à la réalité du marché...
A la veille d'une transplantation cardiaque, un homme malade décide de quitter la montagne où il mène une existence solitaire pour partir vers les îles à la recherche d'un passé et d'un paradis perdus.
"Je rencontre Pierrot à l’automne 2018. Quelques semaines après, nous manifestons ensemble au coeur du mouvement des Gilets jaunes. La terre tremble et nos coeurs aussi. Nos corps se mêlent à des milliers d’autres qui expriment leur colère dans la rue tous les samedis, des mois durant."
Après un long exil, le réalisateur irakien Abbas Fahdel retourne dans sa ville natale de Babylone, à 100 km de Bagdad, afin de voir par lui-même la vie que mènent sa famille et ses amis dans l'Irak d'aujourd'hui.
A travers la presse, la radio et les actualités cinématographiques de l'époque, évocation du régime de Vichy. "Ce film, déclare son auteur, ne montre pas la France telle que je la vois, mais telle que Pétain et les Vichyssois ont voulu qu'on la voie.
Des hommes viennent du monde entier dénicher leur bonheur d'entre tous les vestiges d'une casse automobile. À travers cet océan d'épaves à ciel ouvert, le monde se monte, et se démonte à chaque rencontre...
Une femme a abandonné sa brillante carrière de violoncelliste pour l’amour d’un homme.Mais cet homme a un contrat a remplir, contrat qui ne peut pas s’encombrer d’amour…On n’aime jamais de la même façon et en même temps.
Composé de fragments qui se renvoient et se télescopent les uns avec les autres, créant ainsi de multiples jeux de temporalité et de spatialité, ce film montre sur une durée de trois ans, les conditions de vie des personnes migrantes à Calais...
Le père de Bruno contraint son fils à annuler son voyage à Amsterdam pour qu'il reste travailler dans les vignes. C'est là que Bruno rencontre Hakim, un jeune homme qui va l'aider à ouvrir les yeux sur le monde.
Thierry est ornithologue, "spécialiste des espèces en voie de disparition". Sa liaison avec Judith, de trente ans sa cadette, déclenche une véritable tempête affective sur ceux de son "espèce". Et quand Thierry finit par devenir à sa manière un "empêcheur de vieillir en rond", sa relation fait petit à petit dérailler le traintrain de ses ...
Ce documentaire sur une troupe d'acteurs autistes répétant le plus grand poème épique indien, le Mahâbhârata, occasionne une réflexion sur l'art et le handicap.