Mon compte
    Baron Noir
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    4,1
    4539 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Baron Noir ?

    243 critiques spectateurs

    5
    77 critiques
    4
    102 critiques
    3
    29 critiques
    2
    17 critiques
    1
    12 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ptitmayo
    ptitmayo

    36 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 8 février 2018
    Ce que j'apprécie le plus dans cette série ambitieuse, c'est qu'elle ne cherche pas à simplifier bêtement les choses mais bien à montrer la complexité des enjeux dans le milieu politique où amour, amitié, trahison et ambition justifient les pires magouilles au niveau local, national et au sein d'un même parti, le tout mélangé avec les politiques françaises et étrangères. Si on peut se douter que certaines choses sont exagérées à des fins purement narratives, la résonance du scénario avec des événements présents ou légèrement passés est saisissante. En effet, la série s'inscrit parfaitement dans notre époque, utilisant des éléments de langage bien trop souvent entendus (le Karcher, la faute morale, ...), faisant allusion à des affaires mémorables (fraude fiscale, détournements de fonds, népotisme), rappelant des débats très actuels (dépénalisation du cannabis, les suppressions de postes dans l'éducation, le pouvoir militant des lycéens, renégociation des traités européens, etc...) et présentant un contexte tout sauf étranger (la montée du FN). Comme pour House Of Cards, l'essentiel n'est pas de détailler la construction des lois mais de montrer les actions des hommes et femmes politiques pour accéder au pouvoir et y rester tant bien que mal, offrant des rebondissements bien dosés et des stratagèmes malins. Sans céder au cliché du "tous pourri", j'ai trouvé pertinent que la série ne fasse aucune distinction entre les partis, plusieurs dialogues ciselés et percutants ne manquant pas de balancer des réparties cinglantes sur l'extrême gauche, les écologistes, le FN, la gauche et la droite, prouvant que l'appétit pour le pouvoir et le recours à l'illégalité n'ont pas de couleur politique. D'un point de vue technique, la réalisation est excellente (à l'exception de quelques baisses de rythme), alternant les plans aériens (notamment pour la ville de Dunkerque que je ne connais pas mais dont le centre-ville apparaît très joli) et les plans serrés au plus près des personnages. Côté acteurs, Kad Merad crève l'écran dans un rôle inhabituel pour lui, alors que Niels Arestrup est très convaincant dans un style très "force tranquille". Par contre, j'ai eu un peu de mal au départ avec Anna Mouglalis, dont le timbre de voix particulier est assez perturbant, mais l'actrice, comme son personnage, ont pris de l'épaisseur au fil des épisodes. Au final, Baron Noir est d'un réalisme étonnant, complexe, très bien interprétée et visuellement irréprochable. Un poil d’exagération, des petites pannes de rythme et des débuts mitigés pour Anna Mouglalis sont les maigres défauts de cette saison 1 captivante.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 9 février 2016
    Excellent !
    Jeux d'acteurs, intrigue...
    On accroche dès le 1° épisode, ça transpire le vrai et on regarde la politique dans les yeux... pas sûr que ça aide à remplir les bureaux de votes à l'avenir.
    Comparer la série à House of Cards et Merad à Spacey est absurde... Ça avait d'ailleurs commencé avant la diffusion de la série, dans ce style bien français qui tend à dézinguer par principe tout ce qui vient de chez nous...
    2charles5
    2charles5

    6 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 15 février 2016
    (Après les 2 premiers épisodes) Série française sur un thème purement politique, ce qui est assez rare et a donc le mérite d'exister. Cela fonctionne assez bien sans toutefois être totalement passionnant, probablement en raisons de l'accumulation de poncifs tant pour les situations que pour les personnages. Donc, l'absence de surprises et quelques baisses de rythme aboutissent à un manque de tension dramatique qui interdit de vraiment se captiver pour l'histoire. De même les rapports entre les 2 principaux protagonistes semblent un peu superficiels ( mais cela peut s'améliorer dans les épisodes suivants) Un bon point pour les acteurs, y compris pour les nombreux seconds rôles, que je trouve très impliqués et crédibles.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2018
    La saison un était très réussie, la seconde l'est tout autant, faisant preuve d'un réalisme et donc d'un cynisme aussi désespérant pour l'électeur que jouissif pour le spectateur qui suit avec un plaisir constant l'hallucinante galerie de personnages qui se débattent sous leurs yeux. Nulle trace parmi eux d'un leader charismatique... puisqu'il s'agit d'une série collant à l'actualité quand les Grands Hommes ont déserté depuis longtemps la place (les héros invoquent d'ailleurs régulièrement Blum ou Jaurés....et cherchent l'inspiration dans des vidéos, très anciennes, de Mitterand). Les auteurs ont même, grâce leur en soit rendue, éviter le poncif consistant à doter la première femme présidente d'une quelconque supériorité sur ses concurrents masculins. Médiocre jusqu'au bout des ongles, dépourvue de toute hauteur de vue, autoritariste sans autorité réelle, la présidente n'a aucune des qualités basiques requises pour ce poste et ne réfléchit pas une seconde au sens de son action, à supposer qu'elle en ait les moyens, action par ailleurs dépourvue de la moindre ligne de conduite hormis les incantations rituelles à "tout changer" et à "faire barrage au front". spoiler: Elle remporte d'ailleurs l'élection grâce à une grande tirade "droit dans les yeux" lors du débat de l'entre deux tours, tirade dans laquelle elle exploite un thème qui lui faisait horreur la veille.
    Et aucun de ses concurrents ne fait mieux, ou presque. spoiler: Son futur allié centriste défend, la larme à l'oeil, son opposition à l'euthanasie suite à une rencontre fortuite avec une vieille femme...avant de conseiller à la présidente de faire de la répression aux adversaires de cette loi la pièce angulaire de sa nouvelle séquence d'action, tandis que le baron noir utilise la laïcité comme créneau pour mettre bas un adversaire avant de renoncer totalement à ce combat quand il s'avère périlleux pour une de ses alliances.
    Sans aucune conviction profonde, sans la moindre réflexion politique au sens noble du terme ni la moindre dose d'autocritique spoiler: (les personnages se demandent en permanence comment lutter contre les accusations d'UMPS proférées par les extrêmes tout en les accréditant parfaitement dans leurs actes)
    les "héros" de Baron noir n'ont pas l'ombre d'une qualité ou d'une vertu qui les élèveraient, n'utilisant leur énergie qu'à se combattre pour occuper un poste ou s'y maintenir. Seul Vidal (la copie de Mélenchon) a, sans doute, une petite dose de sincérité mais qui reste purement théorique, sa rigidité et son ego l'empêchant de comprendre quoi que ce soit à la société actuelle. Dans ce contexte, le véritable exploit des scénaristes est d'avoir réussi à rendre profondément attachant le fameux Baron Noir. Non à cause de son action politique, aussi lamentable que celle de ses collègues, mais du fait de la formidable force qui lui permet de se relever quoi qu'il arrive pour continuer un combat aussi féroce que dérisoire. Le Baron Noir, formidablement incarné par Kad, est un Don Quichotte qui s'ignore, enfermé dans ses mensonges et que la vérité tuerait probablement. Quand tous les autres sont haïssables "sans circonstance atténuante" , lui attire sinon la sympathie, du moins une profonde compassion. Cette série n'est, à mon sens, pas une "série politique" dans la mesure où elle évite soigneusement de nous montrer les vrais décideurs (ni la commission européenne, ni les puissances financières, industrielles ou médiatiques n'apparaissent...) , préservant la fiction d'un pouvoir indépendant de toute pression. Mais c'est une formidable série sur le personnel politique ce qui est déjà beaucoup.(c'est d'ailleurs à la formidable série anglaise The Office sur les péripéties de l'équipe dirigeante d'une petite PME - mélange d'absurdité, de mesquinerie et de bêtise crasse - que Baron Noir fait irrémédiablement penser. Et ce n'est sans doute pas fortuit...).
    moket
    moket

    494 abonnés 4 276 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 mars 2016
    Le joyeux monde des politiques avec ses intrigues, ses magouilles, ses coups bas et ses coups de poignard dans le dos... Une série haletante et bien ficelée où se mêlent petites et grandes intrigues, où toutes les décisions sont liées, les réactions en chaîne, du local à l'international.
    elriad
    elriad

    411 abonnés 1 835 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,5
    Publiée le 9 mai 2020
    Difficile d'avoir de sérieuses réserves sur cette série encensée tant par la presse que par le public, et pourtant je dois avouer qu'en ce qui me concerne, j'ai beaucoup de mal. Outre le personnage principal, Kad Merad, dont le jeu manque cruellement de nuances, la série accumule de nombreux poncifs sur les motivations politiques qui ne semblent tourner qu'autour de leurs petite ambitions personnelles et carriéristes au mépris d'idées plus nobles pour le pays, rendant le propos plus que simpliste. Particulièrement dans la saison 3 dont je doute d'ailleurs aller jusqu'au bout, tant le tableau offert ici semble caricatural.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 272 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 2 avril 2018
    « Baron noir », pour moi, c’était la grosse claque de l’an dernier. Je ne l’espérais pas et pourtant elle s’est posée là comme une remarquable série explorant habilement les arcanes du pouvoir. Forcément, j’attendais cette saison 2 avec excitation et anxiété. J’espérais que cette saison 2 saurait ne pas souiller le travail jusqu’alors accompli. Et bien autant vous le dire tout de suite : moi je trouve que le contrat a été pleinement et dument rempli. J’avoue même qu’une fois de plus, cette saison a su me surprendre. Et parmi ces surprises là, ma plus grande satisfaction, ça a clairement été de constater comment cette série avait su marier fiction et analyse de la réalité. Parce qu’au fond, pour moi, il aurait été là le grand piège. Vouloir coller absolument à la réalité, coûte que coûte. Ne se poser que comme un décalque de la situation actuelle où il suffirait de changer les noms des personnages fictifs par des personnages réels pour comprendre au fond qui était qui. Là, « Baron noir » explore sa propre voie avec ses propres personnages, tout en n’ignorant pas la réalité politique actuelle. La saison 2 a été tournée pendant l’élection présidentielle 2017 est ça se sent. Toutes l’actualité est là : le PS qui explose en faveur d’une recomposition de l’échiquier politique. L’émergence d’une nouvelle gauche. La question du Front national qui est posée comme un épouvantail à chaque élection et recomposition… Néanmoins, les problématiques posées par la série sont différentes que la réalité. Mieux, je trouve que les personnalités politiques qu’elle présente sont plus intéressantes que les personnalités politiques de notre paysage politique réel. Vidal est un bien meilleur Mélenchon que Mélenchon lui-même. Plus subtil. Plus séducteur. Chalon est lui aussi une bien meilleure Marine Le Pen que l’originale. Plus habile. Plus ambigu et plus séducteur dans ses positionnements. Et je pourrais d’ailleurs dire la même chose pour ce qui est des débats abordés par la série. La question de la gauche rouge-brun était notamment une question très audacieuse à aborder et elle l’est avec une rare intelligence. Même chose pour ce qui est de l’opposition entre ces deux visions de la politique avec d’un côté le schéma classique gauche/droite et de l’autre cette nouvelle vision dite des « trois blocs ». En tout cas, si tout cela marche, c’est parce que – certes – c’est pertinent, mais c’est aussi parce que ça a de la chair. Les personnages sont efficaces et les enjeux personnels clipsent bien avec les enjeux politiques. Et si tout cela marche, c’est aussi parce qu’il y a de la forme. Certes, plastiquement cette saison 2 est plus nonchalante que la précédente, néanmoins en termes de rythme et d’écriture, ça reste très habile ; totalement échevelé ; sachant bien mêler politique de l’instantanéité et enjeux à longs termes. Alors certes, tout n’est pas parfait non plus (la question terroriste fait un peu plus artificielle dans son traitement), mais globalement il y a une audace et une pertinence dans cette série que je ne peux que louer. Donc oui, j’ai adoré cette saison 2. Et oui – encore une fois – j’ai hâte de voir débarquer la saison 3… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Arnaud R
    Arnaud R

    87 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    4,0
    Publiée le 5 février 2017
    Une première saison qui pose des personnages très forts et un duo Kad Merad - Niels Arestrup exceptionnel. Avec des intrigues relativement à échelle humaine la série sait se rendre passionnante et rythmée avec un cliffhanger final qui donne envie de voir la suite.
    Vinz1
    Vinz1

    157 abonnés 2 379 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    4,0
    Publiée le 5 février 2018
    C'est toujours aussi bon, même s'il faut être bien concentré sur les manœuvres politiques des uns, les trahisons ou les alliances des autres, on sent que les réalisateurs ont parfaitement travaillé leur sujet et sans doute bénéficié de conseils éclairés voire d’informations sur ce qui se passe en coulisses. Kad Merad est toujours aussi incroyable en politicard gauchiste et magouilleur qui a tout de même un idéal mais le reste du casting est tout aussi bon : un véritable panier de crabes et de requins aux dents longues ! Mention spéciale également à Anna Mouglalis incarnant Amélie Dorendeu la Présidente venue au pouvoir on ne sait comment et qui s’affirmera tout au long de la saison jusqu’à un final savoureux…
    elamx
    elamx

    1 abonné 1 critique Suivre son activité

    Critique de la saison 2
    5,0
    Publiée le 25 janvier 2018
    Cette saison 2 est un tour de force de scénariste: écrite en 2016-début 2017, tourné en plein campagne présidentielle, elle anticipe bon nombre de changements survenus dans le monde politique durant cette année 2017 ! Un scénario nerveux, des acteurs tous au top, la série de l'année !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 10 février 2016
    Bluffant et très crédible, la mise en seine des méandres de la politique politicienne les stéréotype et clichés à gauche sont croustillants : moralisateurs, ordures, prolos, bobos, loubards, hommes de main, adjoints complices, jeunes militants sacrifiés en chaire à canons, confrontations entre parisianisme et baronnies locales, manipulations ... tout y est dans un concentré rythmé esthétique et parfois pathétique tellement c'est cliché mais j'ai aimé ...
    En effet, il ne faut pas être pointilleux sur le jeu d'acteurs qui reste du niveau "série" pas de temps mort dans les dialogues ...
    Arnaud R
    Arnaud R

    87 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 5 février 2017
    Un House of Cards à la française mais moins sensationnaliste et très vrai, résonnant de plein de thèmes d'actualité.
    L_huitre
    L_huitre

    74 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 27 février 2016
    Il y a des jours où l’on se félicite de son abonnement à Canal+. Des moments assez uniques où la chaîne cryptée retrouve l’esprit de ses origines. Quand Canal apportait autrefois un vent de fraîcheur et de nouveautés sur un PAF assoupi…

    La série « Le Baron Noir » est un grand moment de télévision. Déjà une série sur la politique, telle qu’elle est pratiquée en France, c’est plutôt gonflé. Mais présenter les dessous de l’engagement politique sous tous ses aspects boutiquiers et combinards, c’est carrément de la dynamite…
    Ce téléfilm est scotchant de réalisme avec un Kad Merad hallucinant qui y gagne ses galons de très grand acteur. Sans oublier Niels Arestrup, mitterrandien plus vrai que nature et Anna Mouglalis, redoutable en ambitieuse saisie par quelques cas de conscience.

    Les deux scénaristes, Eric Benzekri et Jean-Baptiste Delafon, sont soit des vieux routiers de la politique de base. Soit ils ont fait les poubelles des grands partis. En tout cas, le scénario sonne juste, à tout moment. L’histoire de cette ascension politique d’un « surdoué » de la combine est d’une vérité criante. Le spectateur rentre ahuri dans les coulisses de cette « pièce de théâtre permanente » dont il est en même temps le public et le mécène. Car la force de ce tandem de scénaristes est de jalonner leur histoire d’événements en lien avec la réalité. On gobe donc l’histoire avec avidité, stupéfait par l’absence de conscience de tous les protagonistes de l’histoire, sidéré aussi par le bal des égos d’un débat politique qui a perdu tout sens du concret. C’est l’écœurement qui domine. Mais la force du film tient aussi au fait que le personnage de Kad Merad a des côtés sympathiques et humains. Dans la noirceur de ces jeux de pouvoir apparaît parfois un éclair lumineux, comme un retour de flamme des motivations d’origine.

    La lutte politique pervertit-elle nécessairement toute la pureté des débuts ? Un politique avec des principes peut-il triompher dans le marigot du débat bi-polaire droite/gauche ?

    J’ai adoré ce film par la tension permanente qui s’en dégage. Mais il me conforte aussi totalement dans l’idée qu’il faut sortir de ce monde bi-polaire où l’on ne peut composer avec l’adversaire et servir ensemble les intérêts du pays. Mon engagement politique chez « Nous citoyens » est ma façon de répondre à l’impasse dans laquelle nous nous trouvons. Objectivement, au vu du réalisme de cette série, je n’ai vraiment plus envie de voter pour l’un ni l’autre des deux camps.

    « Le baron noir » peut avoir un effet bénéfique s’il provoque chez les Français ce réveil des consciences que notre avenir à tous ne peut pas être abandonné à tels zigotos. Renvoyons chez eux ces mauvais acteurs et essayons de nous entendre ensemble sur les moyens de les remplacer au service de l’intérêt collectif. Un beau challenge en somme. Et là nous serons tous les acteurs du changement…
    conrad7893
    conrad7893

    286 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 6 mars 2016
    Une série politique qui n'hésite pas à nous montrer ce monde de pourris, où manipulations, malversations, coups bas , mensonges, ne sont que le quotidiens de ce monde.
    Une série coup de poing avec des dialogues percutants qui égratigne sans complexe le monde politique.
    Kad MERAD est parfait très loin de ses rôles de bêtas . Niels ARESTRUPS est glaçant .
    une bonne série pour les amateurs.
    ouadou
    ouadou

    79 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 9 février 2016
    Désastre. Canal + devrait faire attention. Cette série est particulièrement mal fichue, mal jouée. A force de vouloir mettre de la star partout, on fait des fautes de casting et Kad, si drôle, est vraiment pas adapté pour ce rôle. Il récite son texte sans aucune incarnation. Que dire d'Anna Mouglalis qui joue comme une étudiante de dernière année option théâtre. Ridicule
    Back to Top