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    Better Call Saul
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    Marius C
    Marius C

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 13 juin 2022
    Je passe mon temps à lire des critiques de films/séries sans jamais en mettre mais là c'est un devoir.

    J'ai mis un temps fou (oui il faut être fou) pour regarder Breaking Bad cette année (j'avais dis que c'était fou) et j'ai été comme beaucoup complètement admiratif devant ce chef d'oeuvre et c'est naturellement que je me suis tourné vers Better Call Saul juste après avoir terminé. (Même si Saul n'était pas du tout l'un de mes persos favoris dans Breaking).

    Mais alors j'étais loin d'imaginer que six saisons plus tard j'allais être dans cet état.

    Quel bonheur, mais quel bonheur de pouvoir regarder une série d'une telle qualité.

    Si l'ambiance de breaking Bad est très vite retrouvée en terme de photographies et de réalisation, elle est clairement dépassée, et de loin, au fil des saisons.

    Alors oui, c'est une série qui prend son temps, mais elle le prend bien. C'est aussi ça l'avantage des séries. Toutes les scènes sont pensées, filmées d'une manière complètement immersive ou chaque détails compte. Les images sont folles et que dire des acteurs.

    On s'attache pour différentes raisons a chacun des personnages, on aime en détester et on se surprend à s'attacher à d'autres.

    Il faut absolument voir cette série et lui laisser sa chance, vous allez être conquis c'est une évidence.

    Mention spéciale pour le scénario qui monte en puissance au fil des saisons, et pour la bande son aussi, toujours juste, qui colle parfaitement à l'ambiance
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    532 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 21 août 2022
    Inutile de tourner autour du pot, puisque tout est lié à elle. Oui, Breaking Bad a été importante pour tous ceux qui y ont participé. Cinq années passées à Albuquerque, chacune d'elle gravant un peu plus le feuilleton dans la mémoire collective, le genre d'expérience propre à marquer une vie, même plusieurs. Un temps fort, suffisamment pour vouloir le prolonger à tout prix. C'est en tout cas la première justification invoquée par Vince Gilligan lors du festival Series Mania en 2017 pour donner vie à Better Call Saul. Personnage secondaire s'il en est, l'avocat véreux chargé de blanchir l'argent amassé par le trafic de Meth s'est vite imposé parmi les plus populaires de la série. L'idée, c'était d'offrir un format plus court (30 min par épisode), plus léger, plus excentrique, plus Saul quoi. Seulement, Gilligan et Peter Gould (tous deux showrunners cette fois-ci) vont très vite élever l'ambition. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça leur réussit très bien.

    Qu'est ce qui a fait la réussite de Walter White, Jesse Pinkman, Hank Schrader, Gus Fring, Mike, Skyler et ainsi de suite...? C'était devant vos yeux, à chaque épisode. Tout simplement eux. De vrais personnages. On apprend à les connaître, à les comprendre, à trouver une logique à leur comportement, une justification à leurs actes et finalement à les aimer. Même les plus corrompus, surtout les plus corrompus. La plus grande force de Gilligan fut d'obscurcir la ligne de séparation entre compromis et compromission avant de prendre son spectateur en flag. Comment reproduire l'opération avec un escroc déjà bien identifié comme Saul...Ah bon, on l'a percé à jour ? Un virtuose de l'entourloupe aux costards bien flashy et à la langue bien pendue ? Première illusion. Elle va sauter dès le premier épisode. L'immense talent d'écriture ne s'est pas perdu en quelques années, il s'est au contraire consolidé.

    On était venu découvrir comment Saul est devenu Saul. Peter Gould (véritable chef d'orchestre ici) et Vince Gillian vont plutôt nous raconter comment Jimmy McGill est devenu Saul Goodman. Loin d'être une simple ruse, ce contre-pied va cimenter une "origin story" et tourner en ridicule notre question n°1 car la réponse nous est assénée illico. L'énergie, le culot, la fantaisie ; tout faisait déjà partie intégrante de Jimmy. Ah. Bon bah on se raccroche aux branches : comment le sieur à dégoté son bureau ? Sa statue de la liberté gonflable ? Sa Cadillac ? Ses chemises bariolées ? Peine perdue, ce genre de questions superficielles, Gould ne va même pas s'y intéresser. À la grâce d'une ellipse en fin de parcours, la bascule s'opère et on réalise à quel point tout ce décorum était accessoire. Le cœur de la série, c'est comment Saul va s'assumer tel qu'il est. Better Call Saul comme Breaking Bad, c'est avant tout une histoire d'alchimie. Sauf que le transformation, c'est d'abord une question de perception.

    On partait sur l'idée d'une comédie ? Deuxième illusion. Les trois premières saisons seront concentrées autour d'une tragédie filiale avec en toile de fond une lutte de classes dont les répercussions vont s'étendre sur la série entière (le monologue face à l'étudiante Kristy, déchirant). Et amorcer l'un des tournants majeurs pour Saul dans son voyage du prétoire vers les ténèbres. Un revirement que personne n'avait vu venir. Voilà ce qui arrive quand on est persuadé d'avoir cerné son client. L'occasion de proposer un tiercé d'éléments déclencheurs. J'en garde un pour la fin, mais les deux premiers sont également capitaux. Le grand frère Chuck, personnalité complexe et insolite, campé avec génie par Michael McKean (le Morris Fletcher de X-Files). Puis Howard Hamlin, dont la subtilité et l'importance vont aller croissant. Patrick Fabian y apporte raffinement et sensibilité, marquant de son empreinte le récit jusqu'à la toute fin. Du côté du cartel, que raconter puisqu'on sait déjà quand et comment tout cela va (mal) finir ? Troisième illusion.

    Certains revenants sont (ré)introduits au fur et à mesure mais comme on l'a déjà vu plus haut, Better Call Saul ajuste sa visée entre le familier et les nouveautés. Par exemple Mike, l'homme à tout-faire bourru, sur lequel on porte un regard plus tendre car empli de tristesse. Jonathan Banks s'en donne à cœur joie, le vieux briscard gagne en profondeur, le spectateur a encore plus de raisons de l'apprécier. De simples allusions deviennent des personnages de chair et de sang. Nacho (Michael Mando, superbe) grossit le rang des malfrats héroïques, mû par une volonté d'émancipation et rattrapé pour ses errements. Vient l'une des meilleures révélations du casting et de l'univers installé en 2008, carrément. Elle tient en deux syllabes : La-Lo. Méphistophélès au charisme d'enfer, Tony Dalton expédie la série au firmament à chaque apparition. Capable de transformer le moindre sourire en arme de dissuasion massive ("Raconte moi encore", "sois gentil") Lalo fait rebondir à lui-seul l'intrigue à partir de la saison 4. Gus Fring a un concurrent de taille. Pour trouver un méchant sublime comme ça, il faut remonter à Lorne Malvo (saison 1 de Fargo).

    Les enjeux grimpent de manière significative à l'arrivée de cette nouvelle Némésis. La photographie ensoleillée devient cuivrée, Saul se rapproche inéluctablement du précipice, la mort rôde sur tous les théâtres d'opération. Vient le moment de secouer son spectateur avant le dernier tour de piste, comme la grande sœur Breaking Bad. Un mouvement de caméra renversait le point de vue hier, un simple dialogue parsemé de silences suffit aujourd'hui à révéler sa myopie au spectateur. Alors qu'on devrait y voir plus clair, c'est justement dans ses deux dernières saisons que Peter Gould et Vince Gilligan embrument leurs spectateurs. Le rapport aux personnages est troublé, les attitudes sont de plus en plus équivoques. Le venin agit. On a beau savoir que tout cela va tourner court, on ne sait pas d'où le coup va partir. Ne craignez rien, vous ne les verrez pas venir (oui, les au pluriel). Les 13 derniers épisodes sont autant de pièces du puzzle à imbriquer. Au deux tiers, la boucle semble bouclée, le sens est intégré, ça y est...Dernière illusion, parce qu'il reste quatre heures. Tout s'achève dans un final absolument parfait, d'une cohérence redoutable. Tous les personnages ont droit à un adieu en bonne et due forme. Cette fois-ci, le cycle est définitivement complet.

    Le périple de Walter White se traduisait par une mise en scène sauvage, beaucoup de caméras à l'épaule, un style vif, des rebondissements à la pelle, comme pour embrasser la nature chaotique d'une tragédie construite sur la corruption des personnages et de l'environnement. Better Call Saul va dans une direction plus clinique, avec des cadres millimétrés, beaucoup de plans fixes avec de simples panneautages. Magnifique stratagème esthétique pour rendre les personnages prisonniers d'une destinée sur laquelle ils n'auront pas prise. C'est aussi notre cas. Néanmoins, le sentiment d'accomplissement est total pour Jimmy. Et Kim, ce nouveau personnage majeur dans la vie de Saul, le troisième après Chuck et Howard mais le premier sur lequel tous les regards convergent, alors que le feuilleton progresse vers Breaking Bad. Jusque-là abonnée aux seconds ou troisièmes rôles, Rhea Seehorn offre à la mythologie sa plus belle héroïne. Quelqu'un qu'on admire, qu'on soutient mais qui sait désarçonner d'un simple regard. "Cherchez la femme", mantra de James Ellroy quand il veut sonder ses anti-héros. Il s'appliquerait tout aussi bien ici, à se demander si ce n'est pas là que se niche la plus belle des surprises, faire d'une histoire d'amour le fil rouge de cette tragédie noire.

    Continuer avec la même équipe, faire durer le plaisir de tourner ensemble. C'était la volonté de départ et quand il s'agit d'une bande aussi talentueuse, voilà ce que ça peut donner. Pour être honnête, c'est la raison du seul grief perceptible dans la narration. Il n'y a pas une saison de trop, chacune d'elles est signifiante. Mais au vu du tableau final, il est permis de se demander si le résultat n'aurait pas été plus fort condensé en 5 chapitres au lieu de 6. Voilà pour le point noir. Le seul. Du reste, ce spin-off est un nouveau jackpot pour Peter Gould et Vince Gilligan. Fort peu de séries atteignent ce degré d'excellence à tous les niveaux. C'est avec joie et un petit pincement au cœur qu'on dit au revoir à cet univers comme nul autre pareil sur le petit écran.
    Benoit C.
    Benoit C.

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 4 mai 2022
    Petite sœur du chef d'œuvre Breaking Bas, BCS arrive à faire mieux que son aîné, ce qui n'était pas chose facile tellement BB frôle la perfection à chaque épisode.
    Et pourtant, l'histoire de Jimmy McGill fascine, épisode après épisode, faisant monter la tension au fil des saisons.
    Chaque acteur est indispensable et incontournable, c'est bien filmé, les dialogues sont parfaits, bref une série tellement sous côté (et quel dommage)
    dhl
    dhl

    30 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2022
    La première saison est lente.C'est délayé à l'extrême .Il ne se passe pas grand chose .C'est certes le plantage de décor ,mais c'est interminable .
    Jimmy,le personnage principal,est attachant et sympathique ,l'acteur est excellent,mais est-ce que ça suffit,se dit-on?
    En fait il faut s'accrocher et se lancer dans la suite:on est récompensé car ca monte en puissance à la 2 e saison et ça tient jusqu'au bout malgré quelques temps faibles ,notamment les inévitables flash back typiques des séries américaines,qui alourdissent le récit.
    Et puis le véritable "héros",le vieil ex-flic ,un personnage à la Clint Eastwood, est tout simplement génial.
    A voir sans hésiter
    L'ECRAN FOU
    L'ECRAN FOU

    100 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 18 août 2022
    La fin d'une masterpiece, ça fait toujours un petit pincement au coeur, même si on sait que ça ne servirait à rien de rallonger le truc tant la boucle est bouclée avec brio.
    Vince Gilligan vient de nous offrir encore une fois une série phare au style et à la sincérité éclatants, qui n'est pas prête de disparaître de la conscience de ses spectateurs.
    Ma review de la série complète, garantie sans spoiler sur ma chaine YT de L'ÉCRAN FOU :
    https://youtu.be/gkcgXTsasCY
    kirikouu
    kirikouu

    2 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 1 mai 2022
    Bonjour.
    Déjà la dernière saison (snif !), cette série est vraiment superbe mais avant de la regarder il faut regarder la série Breaking bad, cela vous promet des heures de suspens.
    Il y a vraiment une ambiance une façon de filmer dans ces deux séries qui sort de l'ordinaire passer à côté ce serait comme aller en Egypte et ne pas voir les pyramides.
    Vince H
    Vince H

    12 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 19 août 2022
    Bonne série dans l'ensemble mais qui traine trop en longueur avec des passages longs et inutiles...on pourrait facilement virer 2 saisons...de grosses ficelles aussi des fois avec des personnages qui s'en sortent trop facilement...bien mais pas du tout a la hauteur de breaking bad me concernant
    Marj d
    Marj d

    8 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 27 avril 2022
    Bjr à toutes et à tous, série originale les saisons sont de plus en plus intéressantes et pour une fois ça va crechendo... Mais ds la saison 6 épisode 3 le personnage spoiler: qui m' attendri le plus c'est NACHO pourquoi ils l'ont fait mourir... Il va me manquer ce personnage... RIP NACHO...
    [/spoiler]quelle série, des rebondissements sur les actions, les personnages qui changent et qui affirment leur caractère je pense spoiler: à KIM
    qui change totalement et se laisse emporter par la vague SALL GOODMAN. spoiler:
    spoiler:
    un beau personnage, spoiler: MICKAEL
    , le tueur qui a une morale et on sait comment ça finit dans BB. Franchement je vous conseille de regarder BREAKING BAD avant de commencer...BB était ma série préférée et je me tâte pour dire que mnt c'est BCS
    dragoyo
    dragoyo

    111 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    3,0
    Publiée le 17 août 2022
    3/5 Pas mal. Cette dernière saison est malheureusement l'une des moins passionnantes de cette série. Évidemment certains épisodes sont réussis et importants mais il y a beaucoup de flashbacks et de scènes décalées dans le temps, parfois pour meubler car elles n'apportent pas grand chose, parfois pour apporter un vrai plus. L'épisode final pour offrir une fin au personnage divisera, le choix est surprenant et tellement différent de ce qu'on aura suivi 6 saisons qu'il devrait laisser sur sa faim pas mal de spectateurs. C'est fini, on a connu mieux, on a connu pire. C'est pas mal.
    Vinz1
    Vinz1

    182 abonnés 2 436 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 6
    5,0
    Publiée le 11 novembre 2022
    Voici donc la fin de cette fascinante série sur un arnaqueur de génie autodestructeur. Fourmillant d’idées géniales, alternant la couleur, le noir et blanc, mélangeant les époques, intégrant quasiment tous les protagonistes de la série séminale (la géniale « Breaking bad »), tout en y associant de nouveaux personnages hyper bien brossés et plein de charisme (cf. Lalo), cette série se conclut enfin avec une saison en apothéose qui va crescendo en événements démentiels qui s’enchaînent jusqu’à un final inévitable achevant en feu d'artifice une saison 6 extraordinaire en tous points de vue. Chapeau bas !
    legend13
    legend13

    250 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 29 octobre 2022
    "Better Call Saul" c'est comme la série mère d'où elle provient : une œuvre remarquable qui se bonifie de saison en saison. Bien les 2 premières. Très bien en saison 3 et excellente pour les 3 dernières.

    La vie de Jimmy McGill avant son basculement et avant sa rencontre avec Walter White et Jesse Pinkman. Et le moins que l'ont puisse dire c'est que l'évolution du personnage est vraiment passionnante. Grace à une écriture remarquable et un Bon Odenkirk vraiment habité par son personnage.

    D'ailleurs niveau jeux d'acteurs et écriture de personnages la série fait un quasi sans faute. De Chuck McGill à Nacho Varga en passant par Howard Hamlin. Sans oublier les Salamanca et l'impitoyable Gus Fring. Tous sont au top.
    Et comment ne pas parler de l'indispensable Kim Wexler. Véritable moteur de la série et de son personnage principal.

    Bien sur "Better Call Saul" à d'innombrables références à "Breaking Bad" avec des cameos en tout genre. Juste super kiffant. D'où l'intérêt de se revoir "Breaking Bad" avant de commencer ce spin off. Le meilleur exemple est l'horrible secret que cache le laboratoire souterrain où travaillerons Jesse et Walt plus tard. Je n'en dirais pas plus.

    Et plus la série avance plus un univers sombre, impitoyable et même malaisant s'y installe. Si les premières saisons sont indéniablement tourné vers une bonne dose d'humour on ne peut pas en dire autant des dernières. C'est une grande qualité.

    Bref, certes je garde une préférence pour Breaking Bad" mais force est de reconnaître que "Better Call Saul" malgré ces nombreuses connexions avec l'œuvre originelle à réussi à s'émanciper, à trouver sa propre identité. Une très bonne série donc. Qui vient conclure avec subtilité l'univers créé par Vince Gilligan. Brillant.
    Deli K.
    Deli K.

    39 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 31 août 2022
    Excellente série. L'écriture est aux petits oignons. Les personnages intéressants. Better Call Saul est l'une des très rares séries qui ne nous prend pas pour des idiots.
    Géraldine Corso
    Géraldine Corso

    8 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 10 août 2022
    BCS est une excellente série sans pouvoir et chercher à surpasser sa soeur Breaking Bad, de loin la meilleure série des 10 dernières années.
    La psychologie des personnages est intelligemment travaillée, les scénarios aboutis et même si le rythme semble lent , il n’y aucune lassitude.
    Breaking Bad et BCs sont deux chef d’oeuvre ..
    bruno
    bruno

    21 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    Préquelle de Breaking Bad, cette série s’attache à nous narrer la genèse d’un de ses célèbres personnages : l’avocat Jimmy Mcgill, alias Saul Goodman.

    On retrouve avec plaisir le génie de Vince Gilligan ; à savoir sa maitrise du narratif, l’art de nous embarquer sans attendre dans n’importe quelles intrigues, sa mise en scène sobre et brillante. Ici les cadrages (par ex. les contreplongées renversantes), les photographies et ambiances sont particulièrement soignés, quant à la colorimétrie ; c’est là son élégante signature qui avec cet ocre omniprésent imprègne les paysages, les intérieurs et donne à ses personnages la densité des émotions requises.

    Les acteurs, outre ceux déjà connus, sont tous excellents ! Bob Odenkirk bien sûr mais aussi Rhea Seehorn, sa partner in crime et sans oublier son frère Chuck joué par Michael McKean…

    La dernière saison se joue en deux parties : la première qui installe Jimmy Mcgill dans sa nouvelle identité de Saul Goodman tissant ainsi le lien vers Breaking Bad. L’autre poursuivant au-delà de Breaking Bad nous révèle son devenir et adopte le noir et blanc comme référence temporelle et tragique à la fois.

    Même si on peut être un peu circonspect quant à l’issue moralisatrice que Vince Gilligan réserve à son personnage, il n’en demeure pas moins que l’ensemble des 6 saisons aura été pour nous un régal sans pareil, un petit bijou à la hauteur de son illustre prédécesseur : Breaking Bad.

    A consommer sans modération !
    Jetable1908
    Jetable1908

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 17 mai 2022
    Je suis pas très série... mais celle là est vraiment une de mes préférées.
    Alors certes il y a Game of Throne dans le genre épique, Peaky Blinders dans le genre Prohibition des années 20, Dexter dans le genre sociopathe killer et dans un le registre de la tendresse - je n'ai pas dit mièvrerie et c'est là toute la difficulté - de rendre cet anti héros tellement sypathique. Il est vrai il est aidé en cela par d'autres personnages attachants de Breakind Bad.
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