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Noog
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3 critiques
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Critique de la série
5,0
Publiée le 16 août 2022
Serie tres immersive , j'ai trouvé. On s'attache aux personnages. Entre moments drôles, contemplatifs a la Vince Gilligan et travail pictural très précis, cette serie est anthologique. Hâte de voir l'episode ultime meme si triste que la serie s'acheve.
Moins d'action, moins de suspense et d'intrigue que la séries original mais plan plus posé, personnage plus complexe et réel apport a l'univers de Breaking Bad
une masterclass comme l'était son prédécesseur Breaking Bad. Pour autant il ne faut pas comparer ces deux séries même si elles sont évidemment rattachés sur de multiples points. Mais le ton, le rythme, l'écriture diffèrent et c'est là qu'est le génie du créateur des deux séries, en réussissant à nous montrer l'évolution de ses personnages au fil des saisons qu'elle que soit le style d'écriture adoptée. Tout comme Breaking Bad, Better call saul est un petit chef d'oeuvre et il est scandaleux que cette série n'ait récolté quasiment aucun prix
Encore plus mature que la série mère, mieux filmé et écrit que Bracking Bad, délaissant du spectaculaire au profit de plus d'humanité, cette série commence et conclut l'univers de la plus belle manière. Bravo à Vince Gilligan et Peter Gould pour nous avoir offert de telles œuvres. Juste merci !
Mis à part, malheureusement, la dernière saison, cette série a su relever le défi imposée par le bijou "Breaking bad". A divers égards j'ai même préféré. Le talent des acteurs, le scénario, la psychologie des personnages exploitée par le réalisateur nous amènes à la conclusion que des prequels peuvent tout à fait trouver une place à la hauteur de la série mere dont ils sont issus. Comme je le précisais en amont la dernière saison s'essouffle sérieusement, peut-être en raison des problèmes de santé de l'acteur. Toutefois cela n'enlèvera pas le génie des précédentes saisons, nous faisant saliver d'épisode en épisode.
Ayant adoré Breaking Bad, j ai évidemment regardé cette série. Les 1ers épisodes sont sympas avec un Saul Goodman en forme et tout aussi attachant. Le personnage de Kim est tout aussi agréable... On regarde plusieurs épisodes, c'est lent, mais on veut évidemment en voir plus. Puis arrive Mick, le charisme en moins. Les histoires entre Saul, son frère, et le cabinet d avocats s'enchaînent sans grands intérêts sur plusieurs saisons, on se demande si ça apportera vraiment quelque chose au dénouement . Puis vient le moment où je n en peux plus des histoires rocambolesques qui ne cessent de nous abrutir . J ai envie de stopper net c est trop agaçant. Heureusement qu en parallèle on redécouvre le cartel et sa montée en puissance, avec un Gus tout aussi percutant, les Salamanca tout aussi sombres, un Mick qui reprend ses droits et l'arrivée d un Nacho explosif...donc je m'accroche je refuse d avoir regardé 4 saisons pour en rester là. Alors je m y remets....et quelle claque!!!!!! Meme s'il faut encore attendre la fin de la saison 5 pour halluciner tellement c est génial !!!! Donc je comprends parfaitement les notes médiocres tout comme les 5 étoiles Une série mortelle sur le tard mais bien sur qu elle vaut le coup.
Une série tout simplement brillante et époustouflante sous tous les angles . Elle diffère beaucoup de l'excellent Breaking Bad sur la forme: plus lente, plus subtile, plus approfondie et le début pourra en perdre plus d'un(e) mais accrochez-vous absolument ça vaut le coup ! Un sans faute du premier au dernier épisode et la conclusion d'un univers qui aura marqué et marquera encore l'histoire du paysage audiovisuel de par sa réalisation aux petits oignons ainsi que ses personnages magnifiquement interprétés et développés . spoiler: Big up à Lalo joué par Tony Dalton qui est devenu mon antagoniste préféré du BRBA verse
La série est bien par contre pour moi Breaking Bad est au dessus. La narration est longue je trouve, un peu trop à certains moments. Et puis je veux pas dire mais le personnage de Saul, je le trouve pas extrémement intéressant honnêtement.
On est arrivé à terme des (més)aventures de Jim McGill et c'est avec un pincement au cœur et une larme a l'oeil que l'on laisse ce récit derrière nous. Il aura fallu une saison un peu lente et poussive pour qu'il se mette en place mais, une fois lancé, il est parvenu à surpasser son modèle originel Breaking Bad. Ce en corrigeant les défauts de celle-ci : là où Walter White était devenu "détestable" et devait mourir en quelque sorte, les scénaristes de Better call Saul ont parfaitement réussi à nous le rendre tour à tour aimable, touchant, pitoyable, mesquin, drôle, attachant, tendre et cruel à la fois, doux dingue sentimental et passionné...bref ils sont parvenus à créér une figure unique et inoubliable du pétrole écran dont les aventures auront bercé nos froides nuits hivernales. Caractère accompagné d'une floppée de personnages secondaires tous plus remarquables les uns que les autres, parmi lesquels on s'en voudrait de ne pas mentionner l'exceptionnelle performance de Rhea Sheehorn (alias Kim Wexler) dans la peau de la compagne de Jim McGill/Saul Goodman...
Nul. Soporifique au possible. Il ne se passe rien c est mou c est lent. Des histoires sans fins avec des avocats sans aucun charisme. Une perte de temps totale. J ai regardé pour voir le passé des protagonistes de BB étant fan de la série. Mais c est tellement nul que même les passages qui touchent à ces perso ne sont pas assez bien pour remonter le reste qui est juste abominable et infecte. Autant regarder BB en boucle.
Je l’avoue : je suis surpris par la montée en puissance de cette série au travers de sa saison 2. Agréablement surpris même… Parce que bon – ne nous voilons pas la face – je trouve que l’exercice du spin-off est quand même sacrément casse-gueule. Essayer de surfer sur l’univers d’une série forte, sans le délayer et sans le souiller, c’est un exercice bien délicat face auquel la saison 1 s’en était pas trop mal sorti, mais sans s’échouer sur quelques écueils. Pour ma part, j’avoue que certains éléments de l’intrigue faisaient vraiment « remplissage » en mode « il faut bien leur construire une histoire à ces personnages secondaires ». Or, si le traitement de Mike m’avait agréablement surpris, je trouvais que le personnage de Saul / Jimmy avait un côté artificiel, creux et inachevé. Et c’est quand même con de faire une série autour d’un personnage qu’on ne parvient pas à faire convaincant. Mais là, avec cette saison 2, je dois bien avouer que tous ces griefs ont disparu. Fallait-il une saison pour asseoir le concept ? Peut-être. En tout cas, me concernant, c’est pari réussi. Là, pour le coup, je trouve que le personnage de Saul / Jimmy gagne en ambigüité. Il n’est pas simplement un loser qui prend les mauvaises décisions. Il est juste un gars avec ses qualités et ses défauts, et qui s’efforce de trouver sa place dans un monde qui se révèle bien compliqué pour lui. Limite ce personnage en deviendrait presque plus attachant que Walter White tant sa démarche parait davantage légitime et ses opposants davantage vicieux (pour le coup, son relationnel avec son frère et avec Kim sont vraiment habilement explorés). A cela s’ajoute une vraie diversification des intrigues, notamment dans le fait que ce « Better Call Saul » développe petit à petit sa nébuleuse de personnages, construisant son propre univers dans l’univers « Breaking Bad », parvenant même parfois à entrelacer les deux (spoiler: Amener Hector Salamanca dans la danse avant qu’il ne finisse dans un fauteuil roulant : j’ai trouvé cette idée juste géniale ). Et quand la qualité et l’inspiration formelle reste au rendez-vous comme c’est le cas ici, forcément on ne peut qu’être encore davantage séduit. Bref, oui, « Better Call Saul » a fini par me happer. Petit à petit, cette série est en train de se positionner par rapport à son ainée de la meilleure des façons. C’est une série qui a sa singularité propre, son univers et son intrigue bien distincte. C’est une série efficace qui a enfin pris son élan. Et surtout, c’est une série dynamique qui parvient – un peu comme la deuxième saison de « Fargo » par rapport à la première – entend nous faire explorer à sa propre façon les méandres de la stupidité / cruauté humaine. En d’autres termes, je ne suis séduit – Oh ça oui ! – mais pas encore accro, mais je sens que cela ne va pas tarder si l’ami Vince Gillinghan continue sur cette voie.