Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Synopsis
Fatima-Zahra traîne son fils de 17 ans, Selim, de ville en ville, fuyant les scandales qui éclatent sur sa route. Quand Selim découvre la vérité sur leur passé, Fatima-Zahra lui promet un nouveau départ. Ils arrivent alors à Tanger, où de nouvelles rencontres leur donnent l’espoir d’atteindre la légitimité qu’ils recherchent tant. Mais ces aspirations menacent la relation fusionnelle qui les lie depuis toujours.
Regarder ce film
En VOD / Blu-Ray, DVD
Canal VOD
Disponible en HD
Location dès 2,99 €
Regarder
Orange
Location dès 2,99 €
Regarder
PremiereMax
Disponible en HD
Location dès 2,99 €
Regarder
Voir toutes les offres VODVoir toutes les offres DVD BLU-RAY
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
« Les Damnés ne pleurent pas » fait partie à mon sens des bonnes surprises de l’été, comme « Les filles d’Olfa » …pendant toute la projection j’ai cru être devant un film de femme, tant Fyzal Boulifa décrit avec beaucoup de tendresse et de sensibilité la relation fusionnelle d’une mère et son fils. Autant pour moi, Fyzal Boutifa est un homme, citoyen britannique d’origine marocaine qui renoue avec le Maroc de ses ...
Lire plus
ben desiles
42 abonnés
73 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 31 juillet 2023
Sans doute un des meilleurs films sortis cet été. Très beau portrait d'une relation complexe mère-fils, entre fusion presque incestuelle, jalousie et ressentiment. Il y a fort à parier qu'eu égard au nombre de familles monoparentales, ces relations sont plus fréquentes qu'on l'imagine... Et puis il y a le Maroc que le cinéaste filme dans toute sa sensualité et sa cruauté. L'acteur qui joue le rôle de Sélim est d'une très sulfureuse ...
Lire plus
St Montipel
7 abonnés
152 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 2 août 2023
Quel dommage que ce très beau film ne sorte que dans une quarantaine de salle en France. Merci au CGR Odéon de Cherbourg de l'avoir programmé. Ce long métrage possède tout ce que le cinéma français a perdu ces dernières années: une histoire qui nous prend ,une émotion constante et enfin des acteurs (non professionnel) qui croient en ce qu'ils jouent et savent exprimer leurs sentiments sans cabotinage, surjeu et narcissisme .
Un film ...
Lire plus
iker
1 abonné
9 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 6 août 2023
Je suis sorti de la salle sous le choc, les larmes aux yeux. Ce film est bouleversant, tellement réaliste. C'est pour cela que j'aime le cinéma, être transcendé par les émotions. Cette mère et son fils sont tellement touchant. Leurs combat pour se sortir de la misère absolue dans une société marocaine impardonnable. Merci Fayzal Boulifa pour ce chef d'oeuvre, dans la lignée de Razzia et Much Loved de Nabil Ayouch
Fyzal Boulifa s'est inspiré d'un scandale qui a éclaté dans sa famille éloignée des années plus tôt. Une tante, qui avait perdu son mari brutalement, a été accusée d’entretenir une co-dépendance avec son fils, qui prenait progressivement le rôle du mari défunt. "Ce qui m’a le plus marqué était la manière dont leur amour était affecté par la honte et à quel point cela rendait leur relation compliquée, voire même explosive. Ils semblaient rejeter s
Lire plus
Entre la Grande-Bretagne et le Maroc
Fyzal Boulifa est anglais d'origine marocaine. Il avait déjà réalisé un court-métrage au Maroc en 2012, The Curse. Cette expérience lui a donné envie d'y revenir pour tourner un long-métrage, et il a développé plusieurs histoires situées au Maroc mais aucune ne lui convenait tout à fait. "Je tiens de ma mère ce lien fort avec le Maroc. Elle a grandi dans la pauvreté, sans éducation, adoptée par une femme plus âgée et célibataire, et ce dans une s
Lire plus
Joan Crawford
Le titre est emprunté à The Damned Don't Cry (L'Esclave du gang en VF), un film noir avec Joan Crawford réalisé en 1950. "Je trouvais qu’il exprimait bien ce mouvement de propulsion en avant que je recherchais avec ce type de structure narrative", explique Fyzal Boulifa. Il voulait donner à son film un ton libre et romanesque, avec des personnages instables et imprévisibles : "Je me suis rendu compte que ce style était proche des romans mélodrame
Lire plus