Partout dans l’Europe occupée, des Résistants condamnés à mort ont écrit à leurs proches la quintessence de leur “vie à en mourir”. Ni supplication, ni cri, ni fulmination. Au contraire, une lumineuse invitation, portée par une singulière polyphonie de voix et de musiques, à raisonner sur le sens à donner à la vie, à l’amour, à l’amour de la vie.