Suite au tsunami du 11 mars 2011, le centre de la commune de Rikuzentakata a été entièrement dévasté par les eaux. Teiichi Sato, un semencier qui a tout perdu, décide de rouvrir sa boutique. Il se met à écrire des ouvrages en anglais et en chinois, afin de transmettre son expérience du désastre et ses recherches sur l’histoire de la ville et des tsunamis dans la région.