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Synopsis
Interdit - 12 ans
Clarisse rencontre Marc, un jeune chirurgien, avec qui elle passe la nuit dans son hôtel particulier. Au matin, la jeune femme se rend compte qu'elle a été dupée : après l'avoir enfermée dans une chambre de la maison, Marc va l'obliger à endosser le rôle de sa défunte femme, jusqu'à lui donner son propre visage. Peu à peu Clarisse va devenir Hélène... Mais peut-on effacer son identité pour celle d'une autre ?
Fan du travail de cinefuzz depuis quelques temps, j'ai aimé le film, et impossible de rester de marbre face à la critique assassine de Yves, qui tape pour taper. Du coup, je sors de l'ombre pour m’inscrire en faux ! En tout cas, on a pas vu le même film !
Déjà, le réalisateur se frotte à personne, il rend juste hommage. Un si faible budget n'oserait jamais se frotter à de grands réalisateurs installés.
Et pour ce qui est de revenir ...
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Un visiteur
3,5
Publiée le 8 avril 2018
Une tentative intéressante pour un premier long métrage inspiré notamment du "mythe" de G.Franju (Les yeux sans visage). On y retrouve les charmes du film de genre, mêlant beauté et monstruosité. L'oeuvre est imparfaite mais mérite sa place. Les effets spéciaux et les ambiances réjouiront les amateurs du genre.
Yves G.
1 460 abonnés
3 488 critiques
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0,5
Publiée le 5 avril 2018
Clarisse suit Marc, un chirurgien, à son domicile pour une nuit d'amour. Mais Marc l'endort, la ligote et s'apprête à pratiquer sur elle une greffe de visage. On comprend que Marc entend donner à la blonde Clarisse les traits de sa femme défunte, la brune Hélène.
Tout est raté dans "La Fille aux deux visages". Son noir et blanc esthétisant qui louche trop ostensiblement vers "Les yeux sans visage", l'indépassable chef d’œuvre de ...
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La Fille aux deux visages est le premier long métrage de Romain Serir, qui a signé auparavant quatre courts : One Man Show, Ellvis, Lupin 2.0 et La Traversée (co-réalisé avec Florence Guillaume).
Influences
La Fille aux deux visages se veut à la fois un film noir, d'horreur et un thriller. L'idée était de réaliser un film avec peu de budget mais avec une liberté totale, à l'instar des Pinku japonais. Parmi les influences qui ont nourri le film, on trouve Quand l'embryon part braconner de Koji Wakamatsu (dans lequel une femme séquestrée est victime puis bourreau de son tortionnaire), Frankenstein de Mary Shelley, Les Yeux sans visage de Franju, Siste
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Des choix formels forts
La Fille au deux visages a été tourné dans un noir et blanc contrasté et dans différents formats. Ainsi, une partie du film (début, flashbacks, fin) est en 1.85 mais la majorité du long métrage est en 1.33, un format "carré" qui permet de représenter l'enfermement progressif du personnage principal, mais également de rappeler le format des films des années 50 et 60. Sont aussi utilisés le split-screen et le triptyque afin de mettre en scène le dé
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