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Un visiteur
3,0
Publiée le 28 janvier 2012
Légèrement moins bien que le précédent, il fait tout aussi enfantin selon moi. Mais la prestation de DeVitto est très bonne, mais le film reste en lui-même acceptable. Tim Burton signe une bonne suite de Batman, mais il y a pas de quoi non plus casser trois pattes à un canard ^^3/5
Plus jeune je considérais ce second opus comme inférieur à l'original et cet avis a perduré pas mal de temps dans mon esprit. Mais avec ce nouveau visionnage je trouve "Batman Returns" d'un niveau sensiblement égal à celui de 1989. À la différence que pour cette suite Tim Burton à eu carte blanche et ça se voit. L'univers burtonnien se ressent beaucoup plus que dans le film original.... Pour le meilleur et pour le pire. Car l'univers du chevalier noir sied à merveille aux obsessions du gothique Tim. Hélas certaines scenes frôlent un peu le ridicule et Danny DeVito surjoue un peu par moment. Mais "Batman Returns" c'est surtout la meilleure Catwoman encore à ce jour (2022). Bref une belle suite à l'œuvre de 1989.
Tim Burton remet le couvert pour sortir trois ans plus tard un deuxième épisode de Batman . Cet épisode n est pas une suite car reprenant très peu d ingrédient du premier à part Michael Keaton et Alfred.
Cette fois ci ses partenaires sont Michelle Pfeiffer en sexy Catwoman , Danny de Vito en méchant de l histoire alias Pingouin et Christopher Walken en Max Shrek, autre méchant de l épisode .
Danny de Vito est puant et livre une performance de haut vol mais c est surtout celle de Michelle pfeiffer en catwoman qui perce l écran . Elle est démoniaque et terriblement sexy en même temps .
Batman le défi est encore plus sombre que le premier. Ce qui en fait à mon avis le plus sombre de la série des Batman . D’ailleurs c est pour ça que Warner décidera de ne pas renouveler Tim Burton pour les suivants .
La musique , les personnages haut en couleur et extravagants, les décors hyper stylisés , la patte du maître de la science fiction est bien présente .
le scénario est un peu plus travaillé que le premier mais ça reste peu crédible . Un monde imaginaire de Tim Burton en quelque sorte.
Encore un bon film de Tim Burton , meilleur que le premier Batman mais qui reste trop sombre à mon goût et peu réaliste .
Très bonne suite de Batman de Burton presque aussi bon que son premier. On passe encore un agréable moment devant ce film avec de nouveaux personnages que l'on découvre pour le coup : Catwoman, Le pingouin. Pas mal d'action, de rebondissement et un décor toujours aussi sombre. Le personnage de Batman (Michael Keaton) joue très bien. Burton prouve une nouvelle fois son talent et généralement je suis assez preneur et satisfait de ces films
Voila bien le film le plus difficile à regarder... autant le premier j'avais aimé à l'époque quand j'étais gosse, mais cet opus la, ne m'avais jamais tenté ; une bande annonce suffit à me donner une idée sur un film, s'il va me plaire ou non, et celui la était catalogué direct ! Aujourd'hui j'ai beau me forcé, impossible de passer les 40 minutes de film : ce soir j'ai battu mon record absolue, je me suis forcé mais, je n'ai pas tenue le coup ! Ce film est une vraie daube ; déjà je n'aime pas l'ambiance des films de Burton mais la il a mit le paquet quoi ; la musique nous sort par le nez, et les longueurs par les oreilles ! Trop bizarre comme univers, ils sont tours complètement space ; entre les costumes du riche débile, le pingouin aussi nul comme personnage que Catwoman est ratée ! C'est pas un film d'action, c'est un ersatz des feux de l'amour.
Batman Returns avec une atmosphère encore plus gothique et une intrigue qui fait la part belle aux ennemis de Batman, plus qu'à lui. Le Pingouin prend un rôle majeur et est incarné de manière inoubliable par Danny De Vito dans un mélange de clownerie et de pathétique. Michelle Pfeiffer est une Catwoman écorchée vive et très ambigue qui donne beaucoup de profondeur à sa relation avec Bruce Wayne. Un tour de force de Tim Burton à nouveau que de réussir à imposer son univers.
Pauvre Tim Burton, la production l’écarte car ce deuxième volet est jugé trop sombre, mais surtout il n’a pas rapporté autant que le premier. Tim Burton avait déjà envisagé de se retirer. Et c'est tant mieux !
Ce « Batman : Le Défi » n’avait aucun mérite à être nettement plus sombre, comparé à son premier « Batman » dans un esprit plus BD. Un tantinet plus violent et un tantinet plus coquin aussi. Et c’est tant mieux !
J’ai toujours plaisir à revoir les deux que j’avais eus le bonheur de découvrir à leur sortie au ciné. Tim Burton assume un virage qui correspond bien à son univers : gothique et macabre. On lui a laissé carte blanche suite au succès de « Batman » et il en a bien profité.
Tant mieux s’il a dérangé la morale des associations parentales. Tant mieux si son Batman ne séduit pas ou plus les enfants.
Quant aux allusions que je qualifierai de coquines, soit je suis naïf, soit les associations diverses et autre producteurs ont l’esprit vraiment mal placé, soit je le fais exprès, ce qui est possible, soit je pense qu’il n’y a pas lieu de crier au scandale, tout simplement.
Batman ne se confronte pas à un seul ennemi, mais à deux : le Pingouin, Oswald Cobblepot et Max Shreck, un industriel véreux. Danny deVito campe un Pingouin à la corpulence répugnante ; Christopher Walken incarne presque naturellement une girouette fourbe qui suit sans scrupule là où le vent assure ses vils intérêts.
L’air de rien, Tim Burton, invite le spectateur à avoir une conscience écologique en évoquant les déchets que camoufle Max Shreck, crapule industrielle et manipulatrice. Avec le Pingouin, c’est la recherche de l’identité ; c’est tenter de faire accepter sa différence et de s’élever dans la société. Identité brouillée que l’on retrouve aussi en la personne de Selena Kyle.
Donc, comme on peut le voir, dans ce deuxième volet, Tim Burton ne se contente pas d’opposer le bien au mal, son scénario est beaucoup plus consistant que le premier opus. Et c'est tant mieux !
Plus noir, plus dense, complètement Burton... ce retour de l'homme chauve-souris pour la deuxième fois sur grand écran est un grand coup de maitre. C'est tellement rare aujourd'hui de pouvoir se délecter d'un film de super-héro avec une vraie signature visuelle (Timmy), que c'est presque triste que l'on constate toute la grandeur de ce Batman Returns de nos jours. Michael Keaton pour la seconde fois incarne un Batman juste ce qu'il faut, pas trop bavard et présent, discret même en retrait, c'est le Batman idéal! C'est aussi pour ça qu'il fonctionne toujours aussi bien... Le reste évolue de façon totalement épanouie et validée pour cette seconde aventure. Gotham est plus gargantuesque et se rafraichie un peu grâce à l'arrivée d'un nouveau méchant arctique, le pingouin (jamais retenté depuis, c'est tellement celui qui incarne le mieux l'imagerie burtonnienne qu'un nouveau ne pourrait que paraitre pathétique à côté j'imagine...), De Vitto qui s'éclate et ça se sent. Sans compter l'arriver d'une deuxième masquée, la délicieuse Catwoman incarnée par une Michelle Pfeiffer plutôt bien inspirée, moi perso j'adore le grand absent de l'affiche du film, Christopher Walken. Presque trop beau pour un rôle si petit mais important, celui de l'homme d'affaire sans foi ni loi, Max Shreck, sous le charme de son magnétisme froid et presque féminin, wahou. Une aventure avec tout ça tout simplement délectable que l'on peut regarder sans se lasser. Je pense notamment à la scène d'ouverture qui annonce la couleur : vous êtes chez Tim Burton bienvenue et Enjoy!
Batman, Le Défi s'inscrit dans la même veine que son prédécesseur, à quelques détails près ... L'humour du premier est ici troquée contre une mélancolie assez désarmante tant la sensibilité déployée est à fleur de peau. Tout les personnages y sont plus ou moins touchés, la gaucherie et le manque d'assurance de Batman ou la peur de l'abandon et des trahisons de Selina Kyle mais c'est surtout lorsqu'il s'agit du Pingouin que la dramaturgie opère. Il est difficile de ne pas ressentir de l'empathie pour ce personnage, Danny DeVito est d'ailleurs totalement bluffant et habité. Le film est dans son contenu très moderne et traite de sujet qui sont encore d'actualités, c'est d'ailleurs hyper troublant ... Mon cycle Tim Burton se poursuit donc, cette plongée dans son univers m'enchante de plus en plus et mon envie de revoir Ed Wood se fait pressente !
Une bonne suite à l'excellent premier volet des batman de Burton. Michelle Pfeiffer et Danny DeVito sont parfait dans leur rôle. La tâche n'atait pas aisée pour Danny DeVito car jouer le rôle d'un méchant vraiment crédible après le joker de Nicholson, c'était pas évident. Chapeau.
Deux ans après transformer Jack Nicholson en un inoubliable Jocker, Tim Burton revient à Gotham City pour donner à cette suite encore davantage de l’esprit gothique propre aux prémices de sa filmographie. Jamais les rues de la ville n’auront en effet paru aussi obscures et effrayantes que dans ce second opus dont les décors macabres sont directement issus de l’expressionisme allemand. L’autre preuve de la touche "burtonesque" de cette aventure, et la principale différente avec le précédent film, vient de l’absence de ce manichéisme inhérent aux films de super-héros dans la caractérisation des personnages, puisqu’ici les méchants les plus monstrueux semblent être des humains en quête de vengeance alors que le valeureux Bruce Wayne est en pleine remise en question de sa lutte contre le mal. Que l’on apprécie ou non la prestation de Michael Keaton (visiblement moins impliqué que dans le premier Batman), on ne peut être qu’impressionné par celles de Danny DeVito dans la peau de l’irascible Pingouin, de la plus sensuelle que jamais Michelle Pfeiffer mais aussi de Christopher Walken dont justement le rôle de Max Shreck a beau ne pas être, à proprement parler, un monstre, est le personnage le moins humain du scénario.
Deuxième film Batman pour Tim Burton. Batman, le défi est aussi bien que le précédent opus. Plus sombre et plus burtonien, ce volet des aventures de l'Homme Chauve-Souris est une vraie réussite. Michael Keaton est toujours aussi bon dans le rôle de Batman mais les meilleurs rôles reviennent à Michelle Pfeiffer, absolument parfaite en Catwoman féline et érotique et à Danny DeVito, impeccable en pinguoin triste et cruel. Les décors sont toujours aussi bien faits, les effets spéciaux toujours aussi bons et la musique de Danny Elfman toujours aussi belle. Ce deuxième opus est, une nouvelle fois, une très bonne adaptation des aventures de Batman que les fans de l'univers de Batman ne peuvent qu'apprécier. Un régal.
"Batman : Le Défi" est l'une des adaptations les plus fidèles à l'univers des comics. Là où Nolan a influencé par la suite l'univers du Batman en ne faisant aucune concession, Burton a, lui, choisi de s'approprier le matériau de base tout en y imprimant son propre style.
Et il faut bien avouer que cette suite, largement supérieure au précédent opus, est très burtonienne. Par la présence des acteurs fétiches du réalisateur, d'une part, mais également dans les décors gothiques, les gadgets inventifs ou le "freak show" chers à Burton.
C'est donc un Batman sombre, violent et pas du tout pour les enfants qui est proposé ici, sous un enrobage visuel très comics compatible.
Mais ce qui m'a surtout marqué dans ce film, ce sont deux personnages très charismatiques. Nous avons ici la plus belle incarnation de Catwoman jusqu'à présent. Michelle Pfeiffer a trouvé le juste équilibre entre la séduction et la folie pour sa Selina Kyle. Dans ses face-à-face avec Bruce Wayne, ce dernier paraît bien fade en comparaison.
Mais surtout, celui qui est le plus impressionnant, c'est le Pingouin et ce, pour 3 raisons : Dany DeVito lui donne une épaisseur impressionnante, son maquillage n'a pas vieilli pour un sou et sa back story est forte et très triste. J'adore Jack Nicholson mais son Joker ne fait clairement pas le poids face à ce méchant si complexe.
Comme vous avez pu le deviner, j'émettrai plus de réserves sur Batman. Je le trouve plus effacé, moins intéressant que ses némésis.
Cependant, ce "Batman : Le Défi" est une très bonne adaptation et elle se laisse regarder et re-regarder sans difficultés.
Le meilleurs opus de la série des "vieux Batman" : du grand T. Burton au sommet du glauque et du sombre, mené par un Danny de Vito magnifiquement mauvais en Pingouin. Malgré son age et le côté kitch du film, on ne se lasse pas de le regarder. A voir et a revoir encore et encore.
Tim Burton revient en très grande forme après un premier épisode décevant ( Jack Nicholson en Joker cabotin, c'est dommage...). Ici, les personnages possèdent une indéniable épaisseur et ils ont une vie en dehors du film. Danny De Vito est incroyable en Pingouin, tout comme l'est Michelle Pfeiffer en Catwoman. Micheal Keaton est tout à fait crédible dans le rôle de Batman, mais c'est surtout Christopher Walken qui m'a le plus surpris : qui d'autre que lui aurait pu jouer avec autant de force cette ordure de Max Schreck ( faut-il d'ailleurs y voir une référence à l'expressionisme allemand ? )? Comme toujours avec Tim Burton, l'atmosphère est macabre et la mise en scène est foisonnante de trouvailles. Le cinéaste joue beaucoup sur la symbolique, accompagné de son compositeur attitré : le talentueux Danny Elfman ( c'est l'une de ses plus belles compositions avec Edward Scissorhands et The Nightmare Before Christmas ). Au final, Batman Returns restera le meilleur épisode des aventures du héros masqué ( sans compter Batman et Robin, que je n'ai pas vu...). Un incontournable burtonien : génial !