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Votre avis sur C'est Arrivé Près de Chez Vous ?
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un faux docu sur un tueur . pas aussi bon que ce que je pensais mais le film reste trés agréable . sa a des super acteurs est des scénes plutôt choquante . le seul truc un peux dommage c'est que certaines scenes sont un peux brouillones , c'est doomage . mais trés sympa a voir !
Pour certaines personnes, ce film est culte, et je le comprend. Une chose me dérange, c'est que certaines scènes sont très limites,
spoiler:
je pense en particulier à la scène du viol
Benoit Poelvoorde est excellent, il joue son personnage à la perfection ! Je comprend les gens qui n'aiment pas le film, soit tu aimes, soit tu hais car beaucoup d'humour noir mais les gens qui disent que c'est un film raciste, homophobe... Il faut arrêter, c'est un faux-documentaire, il joue seulement un personnage. Bref très bon film.
Benoit Poelvoorde est excellent, il joue son personnage à la perfection ! Je comprend les gens qui n'aiment pas le film, soit tu aimes, soit tu hais car beaucoup d'humour noir mais les gens qui disent que c'est un film raciste, homophobe... Il faut arrêter, c'est un faux-documentaire, il joue seulement un personnage. Bref très bon film.
"C'est arrivé près de chez vous" AKA Strip-tease, le film...
Le pitch : Un reporter en mal de sensationnalisme suit un serial-killer dans l'exécution de son "passe-temps".. Et fini par nous révéler à nous-même comme les voyeurs de l'inacceptable... pour peu qu'on nous le serve à la télé.
Si vous n'aimez-pas l'humour noir, passez votre chemin... Non ce n'est pas une apologie du crime... On ressent à la fin le malaise (surtout à partir du moment où les auteurs nous présentent une nouvelle utilisation de la flûte traversière) qui ne peut que vous faire sauter au visage cette dénonciation de la dérive voyeuriste de la télé...
Et pour les fâcheux qui croient que Benoît Poelvoorde n'est qu'une outre à bière, ce film nous montre que ce type est à la fois un excellent comédien, un homme qui a le sens du drôle très décalé et un auteur de talent... Certes il s'est un peu perdu au long de sa carrière (sans doute devait-il payer ses impôts) mais qui, si on lui sert du bon, sait faire de belles choses (moi qui ne sait pas distinguer une clé de sol d'une clé anglaise, si on me donne un stradivarius pour jouer l'andante con moto de l'opus 100 de Schubert, ça serait pas la faute du violon si j'en arrive à faire de la merde).
Le pitch : Un reporter en mal de sensationnalisme suit un serial-killer dans l'exécution de son "passe-temps".. Et fini par nous révéler à nous-même comme les voyeurs de l'inacceptable... pour peu qu'on nous le serve à la télé.
Si vous n'aimez-pas l'humour noir, passez votre chemin... Non ce n'est pas une apologie du crime... On ressent à la fin le malaise (surtout à partir du moment où les auteurs nous présentent une nouvelle utilisation de la flûte traversière) qui ne peut que vous faire sauter au visage cette dénonciation de la dérive voyeuriste de la télé...
Et pour les fâcheux qui croient que Benoît Poelvoorde n'est qu'une outre à bière, ce film nous montre que ce type est à la fois un excellent comédien, un homme qui a le sens du drôle très décalé et un auteur de talent... Certes il s'est un peu perdu au long de sa carrière (sans doute devait-il payer ses impôts) mais qui, si on lui sert du bon, sait faire de belles choses (moi qui ne sait pas distinguer une clé de sol d'une clé anglaise, si on me donne un stradivarius pour jouer l'andante con moto de l'opus 100 de Schubert, ça serait pas la faute du violon si j'en arrive à faire de la merde).
Humour noir et sombre qui parfois nous choque ... pour notre plus grand plaisir. Une perle du genre.
"J'ai été couler deux maghrebins ici dans la colonne nord, attention hein, jl'ai est tourné vers La Mecque, tu peux être sûr que..." Un film où on se permet tous. Des années plus tard, toujours aussi déjanté !!!
On tient ici le rôle le plus incroyable de Benoit Poelvoorde qui porte le film sur ces épaules tellement il est bon.
Jusqu'au boutiste, C'est arrivé près de chez vous est un précurseur du found-footage et tire parti de ces excellents dialogues, de ces situations loufoques mais aussi de ces moments d'angoisse et de malaise.
Seul le rythme maladroit du film viendra entacher un petit film aussi subversif que divertissant.
Jusqu'au boutiste, C'est arrivé près de chez vous est un précurseur du found-footage et tire parti de ces excellents dialogues, de ces situations loufoques mais aussi de ces moments d'angoisse et de malaise.
Seul le rythme maladroit du film viendra entacher un petit film aussi subversif que divertissant.
Un grand film grâce à sa violence mais toujours amorcée par l’humour et aussi grâce à la magistrale interprétation de Benoît Poelvoorde c’est un film culte . Je parle dans mes critiques je parle de mes films cultes ça reste mon avis mais c’est selon moi la plus grande comédie jamais réalisée et aussi il est réalisé pendant une grande passe dans l’histoire du cinéma ( Réservoir Dogs est aussi sorti cette année là )
Sacrée présentation du quotidien peu ordinaire d'un tueur dans un pseudo-reportage sur sa vie. Benoit Poelvoorde incarne parfaitement ce tueur cynique, poëte raté, artiste minable qui tue des gens. Entre les scènes d'humour noir grinçant, Ben, accompagné de son équipe de tournage (Remy Belvaux et André Bonzel) tue à tout va sans que le spectateur ne s'en émeuve. Culte !
Je n'ai pas envie de faire un roman sur ce film car je viens d'en faire un sur Climax de Gaspard Noé et ça m'a suffit, mais je vous conseilles ce film, j'ai vu que les gens trouvent que ce n'est pas de l'humour noir mais juste un film malsain. Ils parlent souvent d'un prétexte pour justifier le fait qu'on à bien aimé. Mais ce n'est pas le pire film du monde, pas de quoi en faire tout un plat. À part la scène de viol qui peut vraiment surprendre et déranger, mais ce n'est pas un film si violent. Certains le qualifient de délire morbide, et c'est ce qui fait le film, après, je l'admet, contrairement à un film de Gaspard Noé, ce film à été vu par la plupart des personnes comme une comédie un peu bête avec un sérial ciller, mais à la place, et ça met une claque, ils ont vu une comédie à l'humour très noir (pas un prétexte, tout le monde n'a pas le même humour, et il faut admettre, accepter que certaines personnes n'aient pas la même façon de penser) et avec des scènes très dures mais qui sont adoucies par la touche d'humour (dédicace au cocktail du petit Jeremy) très noir je le rappelles, et je vous préviens, ce film n'est pas fait pour vous, si vous n'aimez pas les films un peu trash (allusion à la scène de la cuisine)et si vous aimez les enfants (allusion à la scène dans la maison). Si vous aimez l'humour noir (par exemple, si vous aimez les contes de la crypte, même si on est dans un autre délire) vous allez aimer ce film, je pense. Donc, un film. à humour noir, chef d'oeuvre du cinéma belge, avec Benoit Poelvoorde, filmé en found fortage, comment j'aurais pu ne pas l'aimer.
C’est arrivé près de chez vous
Par Ugo Blériot
Man Bites Dog, 95 min, réalisé par Rémy Belvaux ; André Bonzel ; Benoît Poelvoorde sortie en 1992, comédie dramatique Belge. Docufiction humoristique sur un tueur en série exerçant sa passion de tuer des facteurs, des retraités, et des personnes au hasard. Peu à peu il implique l’équipe de tournage dans des viols, et meurtres en tous genres, jusqu'à leurs morts.
« Qu’apporte la forme du documentaire à ce film de fiction ? ».
Durant les années 90, lors des débuts de la téléréalité, avec
Le Loft en France, Big Brother en Angleterre et Striptease en Belgique, deux réalisateurs inconnue du public, Rémy Belvaux et André Bonzel font appelle à Benoît Poelvoorde pour tourner cette critique de la téléréalité. En premier lieux critiqué par l’opinion publique, de par son humour noir et franchement décalé ainsi que sa violence, il est ensuite reconnu à Cannes comme un très bon film par le jury.
On remarque que cette fiction est construite à la façon d’un documentaire. Ce mélange entre deux types de long métrage permet de compenser le manque de moyen. Le réalisateur filme à la première personne tel un reportage à la télévision Cette façon de réaliser se retrouve par exemple dans certains films d’horreur à petit budget comme dans Le projet blair witch de Eduardo Sánchez, Rec de Jaume Balagueró, ou plus récemment dans The visit de Night Shyamalan.
Mais le docufiction permet au réalisateur de construire son film comme une succession de scène comique sans qu’il y ai d’histoire précise. C’est un enchainement de séquences, de sketchs, comme les programmes courts d’humour que l’on retrouve à la télévision ou comme dans le cinéma burlesque du début du siècle.
De plus, grâce aux caractéristiques du documentaire, le film parait plus réel, et plus compréhensible qu’une simple fiction. Le documentaire critique un sujet directement, en le montrant à l’image, alors que la fiction au contraire, critique un sujet indirectement, souvent par message sous-entendu.
La critique de la téléréalité avait déjà été abordé sous forme de fiction dans des films tel que Le prix du danger d’Yves Boisset, La mort en direct de Bertrand Tavernier ou The Truman show de Peter Weir. Cependant ces films sont bordés par le téléspectateur comme un film d’action plus qu’un film critiquant la téléréalité.
En conclusion, Rémy Belvaux, dans son film, interroge le spectateur sur jusqu’où iront les médias et la téléréalité. Mais de nos jours la problématique est remis au gouts du jour avec internet où la réalité a dépassé la fiction, avec le suicide d’une jeune fille en direct sur périscope.
Par Ugo Blériot
Man Bites Dog, 95 min, réalisé par Rémy Belvaux ; André Bonzel ; Benoît Poelvoorde sortie en 1992, comédie dramatique Belge. Docufiction humoristique sur un tueur en série exerçant sa passion de tuer des facteurs, des retraités, et des personnes au hasard. Peu à peu il implique l’équipe de tournage dans des viols, et meurtres en tous genres, jusqu'à leurs morts.
« Qu’apporte la forme du documentaire à ce film de fiction ? ».
Durant les années 90, lors des débuts de la téléréalité, avec
Le Loft en France, Big Brother en Angleterre et Striptease en Belgique, deux réalisateurs inconnue du public, Rémy Belvaux et André Bonzel font appelle à Benoît Poelvoorde pour tourner cette critique de la téléréalité. En premier lieux critiqué par l’opinion publique, de par son humour noir et franchement décalé ainsi que sa violence, il est ensuite reconnu à Cannes comme un très bon film par le jury.
On remarque que cette fiction est construite à la façon d’un documentaire. Ce mélange entre deux types de long métrage permet de compenser le manque de moyen. Le réalisateur filme à la première personne tel un reportage à la télévision Cette façon de réaliser se retrouve par exemple dans certains films d’horreur à petit budget comme dans Le projet blair witch de Eduardo Sánchez, Rec de Jaume Balagueró, ou plus récemment dans The visit de Night Shyamalan.
Mais le docufiction permet au réalisateur de construire son film comme une succession de scène comique sans qu’il y ai d’histoire précise. C’est un enchainement de séquences, de sketchs, comme les programmes courts d’humour que l’on retrouve à la télévision ou comme dans le cinéma burlesque du début du siècle.
De plus, grâce aux caractéristiques du documentaire, le film parait plus réel, et plus compréhensible qu’une simple fiction. Le documentaire critique un sujet directement, en le montrant à l’image, alors que la fiction au contraire, critique un sujet indirectement, souvent par message sous-entendu.
La critique de la téléréalité avait déjà été abordé sous forme de fiction dans des films tel que Le prix du danger d’Yves Boisset, La mort en direct de Bertrand Tavernier ou The Truman show de Peter Weir. Cependant ces films sont bordés par le téléspectateur comme un film d’action plus qu’un film critiquant la téléréalité.
En conclusion, Rémy Belvaux, dans son film, interroge le spectateur sur jusqu’où iront les médias et la téléréalité. Mais de nos jours la problématique est remis au gouts du jour avec internet où la réalité a dépassé la fiction, avec le suicide d’une jeune fille en direct sur périscope.
Le meilleur film de Benoit Poelvoorde, le plus décalé, le plus noir et le plus politiquement incorrect. Une référence pour tout fan de cinéma qui se respecte. Un vrai faux documentaire sur un tueur, une télé réalité dans l’intimité d’un monstre qui, au-delà du coté voyeur et malsain du projet, fait rapidement s’interroger sur l’impact de cette proximité sur le spectateur. En effet, le film est bien plus intelligent qu’il n’y parait, oui on se marre quasiment pendant tout le film, mais il y a quand même un coté inquiétant à trouver sympathique ce tueur, non ? N’est-ce pas là justement la vraie puissance du film, faire coexister un homme haineux et ignoble et un homme drôle et naturellement attachant. Une deuxième interrogation découle de ce procédé : quel est le véritable rôle des journalistes ? …puisqu’ils en viennent à aider Poelvoorde et même participent à ses délits dans une scène de viol hallucinante et choquante. Un film d’un cynisme ravageur donc qui trace avec beaucoup de justesse et d’anticipation le devenir de la télé poubelle…On y vient croyez-moi !
Et puis, il convient d’insister sur la qualité de l’écriture et des dialogues absolument savoureux, dignes de l’émission « strip tease » de la grande époque (ahhhh la soucoupe et le perroquet pour les connaisseurs !), que ce soit la recette du petit Grégory, le cours de lestage de corps ou bien encore la vérification de la légende du sexe africain...Bref, un chef-d'œuvre d'humour noir.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Et puis, il convient d’insister sur la qualité de l’écriture et des dialogues absolument savoureux, dignes de l’émission « strip tease » de la grande époque (ahhhh la soucoupe et le perroquet pour les connaisseurs !), que ce soit la recette du petit Grégory, le cours de lestage de corps ou bien encore la vérification de la légende du sexe africain...Bref, un chef-d'œuvre d'humour noir.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
Mouais pas fan de ce genre de film très malsain qu'i te mets plus mal à l'aise qu'autre chose. Pourtant je suis un grand fan de film d'horreur. Mais la j'aime vraiment pas
Nyns
Alors oui j'avoue c'est subversif, drôle et osé. L'idée même de faire un faux documentaire sur un assassin, avec tout l'aspect ordinaire de la chose est très bien pensé. Puis on apprécie l'aspect en noir et blanc, qui permet de dédramatiser tout ça en ôtant à la violence tout son pouvoir visuel. On sait tous que la couleur du sang a de quoi le faire tourner, c'est d'ailleurs par sa fameuse longue tirade que Poelvoorde le rappelle avec ses fameuses "briques rouges"... L'acteur y fait ses débuts en corealisant, et rien que pour cela on peut remercier à "c'est arrivé près de chez vous" d'exister. Heureusement, il améliorera son jeu au fil des années, car les mimiques qui accentuent l'accent belge finissent par un peu agacer. Voilà donc on rit, sporadiquement ici, mais on s'ennuit aussi. Et ferme. Parce que le concept est là on se le prend en pleine face le premier quart d'heure et puis après ? Ça continue... Jusqu'à donner quelque chose de plus vraiment digeste au bout d'un moment. On a des gags de répétition qui en fait ne fonctionne même plus ma deuxième fois. C'est un film à voir par extrait plutôt, car en un bloc c'est franchement compliqué. Moi qui suis adepte du rien faire devant un film, là j'ai vraiment du mal. L'idée nous capte directe puis nous perd presque aussi vite. Mais c'est quand même sympa de découvrir les débuts du talentieux belge. Première fois je me suis endormie au bout d'une demie heure, là je me suis forcée mais avouons le, c'est pas l'exercice de style à petit budget le mieux réussi que l'on connaisse...
Shawn777
Ce faux film-documentaire réalisé par Rémy Belvaux, André Bonzel et Benoît Poelvoorde et sorti en 1992 n'est vraiment pas mal. Une équipe de tournage suit un homme qui tue des gens pour gagner de l'argent en les volant et plus précisément des petits vieux. Le film parodie l'émission belge "Strip Tease", ce que l'on remarque tout de suite dans la façon de le tourner. Effectivement, au début en tout cas, les commentateurs s'effacent et la caméra s'efface elle aussi pour donner l'impression au spectateur d'assister à un film ou en tout cas de regarder (plus précisément, de s'incruster) un épisode de la vie d'une personne quelconque. Ici, évidemment, le vice est très poussé puisque le sujet du reportage est un tueur, ce qui donne lieu à des scènes très crues et très violentes mais également à de l'humour noir. Il ne faut effectivement pas être sensible pour regarder ce film car les meurtres y sont de plus en plus froids et violents et il y a bien-sûr cette scène de
spoiler:
viol
totalement atroce. Mais si on regarde le film au second degré, le choquant en devient risible car l'équipe de tournage laisse faire tous ces meurtres sans rien dire et finit même par aider le tueur dans ses atrocités. Il faut bien-sûr également adhérer à ce genre d'humour mais une fois que l'on y prend goût, cela passe tout seul, par exemple toute la scène se passant dans la maison du quartier résidentiel est excellente. Il faut dire aussi que le personnage est très bien joué par Poelvoorde qui montre déjà à travers ce film de fin d'études son humour si particulier et son talent d'acteur. La réalisation est également très bonne car si on prends en compte le fait qu'ils n'ont bénéficié que d'un tout petit budget, le tout est très bon et on reconnaît même très bien le style de "Strip Tease" dans la manière de filmer et de présenter les choses. "C'est arrivé près de chez vous" est donc un film culte qui n'a pas volé sa réputation.
totalement atroce. Mais si on regarde le film au second degré, le choquant en devient risible car l'équipe de tournage laisse faire tous ces meurtres sans rien dire et finit même par aider le tueur dans ses atrocités. Il faut bien-sûr également adhérer à ce genre d'humour mais une fois que l'on y prend goût, cela passe tout seul, par exemple toute la scène se passant dans la maison du quartier résidentiel est excellente. Il faut dire aussi que le personnage est très bien joué par Poelvoorde qui montre déjà à travers ce film de fin d'études son humour si particulier et son talent d'acteur. La réalisation est également très bonne car si on prends en compte le fait qu'ils n'ont bénéficié que d'un tout petit budget, le tout est très bon et on reconnaît même très bien le style de "Strip Tease" dans la manière de filmer et de présenter les choses. "C'est arrivé près de chez vous" est donc un film culte qui n'a pas volé sa réputation.
Cultissime et drôlissime. Les gens qui mettent zéro étoile n'ont juste rien compris à l'esprit et au contexte de création du film...
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