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Votre avis sur Camping ?
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Camping Non mais cette comédie qui fait rire tout me monde à l'époque, non mais je sais pas pourquoi je le commente maintenant alors que je l'ai vue il y a plus de cinq ans
Nicothrash
Parfois, sans être extraordinaire, une comédie française parmi tant d’autre sort du lot. À mon sens c’est le cas de Camping, premier du nom tout du moins. Franck Dubosc on l’aime ou non mais force est de constater qu’il n’a pas son pareil pour jouer les beaufs en agaçant autant qu’il amuse. Certes le scénario ne va pas chercher bien loin mais les habitués du camping, d’antan ou non, y retrouveront un certain goût de nostalgie. Et puis tout en étant bien lourd, Camping s’avère parfois assez drôle, le comique de situation faisant le job. Enfin, malgré un casting inégal d’où ressort évidemment le beauf en chef, Gérard Lanvin tire son épingle du jeu en étant aussi blasé qu’amusant. C’est de la bonne humeur en barre au final et si ce n’est évidemment pas parfait ( on en est même assez loin ), et bien ça remplit sa fonction première qui est de divertir et l’on peut bien s’en contenter.
Belle comédie. Toujours un plaisir à revoir. La dérision d'un univers que je connais bien pour l'avoir vécu comme Franck Dubosc produit un humour mené tambour battant, toujours assez juste dans les situations périlleuses rencontrées et où il ne manque a peu près rien.
Après avoir vu le film j’ai direct regardé les avis et j’ai l’impression que de nombreuses personnes sont aigries.
J’ai bien aimé le film avec un humour assez grossier mais drôle et accessible.Je l’ai regardé en famille et tout le monde à aimé . C’est pas un film avec histoire poussée mais sans prise de tête et drôle .Je trouve c’est un classique
J’ai bien aimé le film avec un humour assez grossier mais drôle et accessible.Je l’ai regardé en famille et tout le monde à aimé . C’est pas un film avec histoire poussée mais sans prise de tête et drôle .Je trouve c’est un classique
Un film assez beauf.
Je dis ça dans chaque détail à savoir les vannes, le language, la tenue, le milieu, etc.
J'ai rigolé quelque fois mais j'ai trouvé assez décevant le fait qu'il n'y ait pas de réel intrigue ou enjeu pour pimenter le film.
Ce film, d'ailleurs, manque clairement de rebondissements par rapport à diverses choses mis en avant.
À voir pour son humour.
Je dis ça dans chaque détail à savoir les vannes, le language, la tenue, le milieu, etc.
J'ai rigolé quelque fois mais j'ai trouvé assez décevant le fait qu'il n'y ait pas de réel intrigue ou enjeu pour pimenter le film.
Ce film, d'ailleurs, manque clairement de rebondissements par rapport à diverses choses mis en avant.
À voir pour son humour.
Shawn777
Qui dit été dit comédie estivale et c'est donc avec plaisir que je me lance dans cette redécouverte de ce film réalisé par Fabien Onteniente et sorti en 2006 dont je n'avais plus vraiment de souvenirs si ce n'est un sentiment de comédie assez lourde. Et nous en sommes finalement assez loin. Alors bien-sûr, tout est relatif, le film use tout de même de clichés vus et revus mais n'est jamais lourdaud dans son fond. En effet, comparé aux "Tuche" par exemple, nous suivons ici des beaufs mais qui ne sont jamais dans l'excès, qui sont juste des beaufs que l'on voit finalement dans la vie de tous les jours. Surtout que le film, bien qu'étant une satyre sociale du milieu du camping, n'apporte jamais de jugement sur ses personnages, tout est toujours bienveillant et puis surtout, les acteurs n'en font jamais des caisses ! La force du film réside en effet dans son dosage entre ses personnages beaufs, la présentation du contexte du camping et les situations que vivent les personnages. Nous avons de plus une brochette assez importante de personnages mais le tout reste fluide notamment grâce à une excellente scène d'introduction qui vise très juste (si bien qu'on se croirait quelques fois dans un épisode de "Strip-Tease") tout en présentant très bien tous ses personnages. Nous sommes finalement dans la comédie française populaire typique, c'est-à-dire l'humour franchouillard, quelques fois un peu gras (notamment ici apporté par Patrick), les situations "dramatiques" sous la couche d'humour et puis surtout la mise en scène du choc des cultures, représenté ici par la rencontre entre Michel et Patrick. Alors oui, le scénario reste malgré tout convenu, les situations ne sont pas très originales mais, encore une fois, le film tire vraiment sa force dans ses personnages dont, je le rappelle, on ne moque jamais vraiment. En gros, c'est pas Jeff Tuche qui va répéter douze fois avec un accent débile qu'il a perdu ses quinze cartes de crédit. Concernant les acteurs, ils sont tous excellents et notamment Claude Brasseur, toujours très juste dans son personnage. "Camping" n'est donc pas un chef-d’œuvre inoubliable mais fait partie d'une certaine culture française avec cet héritage de comédies populaires franchouillardes qui ont toujours fait le bonheur des spectateurs.
Acteur, co-scénariste et dialoguiste, Franck Dubosc imprime son ton et son tyle à cette comédie alignant les clichés sur le populo en vacances au camping. Ils sont une poignée à se retrouver commes tous les ans au camping des Flots bleus sur les rivages d'Arcachon. Chacun incarne une franchouillardise caricaturale, mélange de beauferie et de sottise, dans une suite de péripéties estivales convenues où les protagonistes font vite figures de sous-Bronzés. A l'image de cet avatar de Jean-Claude Dusse qu'interprète Dubosc, dragueur en slip de bain, amateur de Benco au petit-déjeûner et fan de Claude Barzotti. N'en jetons plus...Son personnage et celui de Gérard Lanvin, chirurgien du XVI ème arrondissement (quelle erreur de casting!), contraint de cohabiter quelques jours avec les vulgaires représentants de la France (très) moyenne, sont les figures centrales de la comédie.
Parce que les portraits sont franchement malhabiles, que le scénario est aussi faible que complaisant, le film n'est bientôt qu'une suite de supposés bons mots et de formules plus ou moins bien inspirées dont on ressent qu'elles visent à devenir "cultes". Trop artificielles, elles ne vivront qu'un été et n'auront certainement pas la postérité des litotes ou aphorismes des Bronzés, les vrais.
Enfin, conjointement à la platitude de la réalisation, la morale du film est courue d'avance et le condescendant chrurgien esthétique devra se rendre à l'évidence: si son hôte et ses voisins de tente ne sont pas très futés, au moins ont-ils du coeur. Léger.
Parce que les portraits sont franchement malhabiles, que le scénario est aussi faible que complaisant, le film n'est bientôt qu'une suite de supposés bons mots et de formules plus ou moins bien inspirées dont on ressent qu'elles visent à devenir "cultes". Trop artificielles, elles ne vivront qu'un été et n'auront certainement pas la postérité des litotes ou aphorismes des Bronzés, les vrais.
Enfin, conjointement à la platitude de la réalisation, la morale du film est courue d'avance et le condescendant chrurgien esthétique devra se rendre à l'évidence: si son hôte et ses voisins de tente ne sont pas très futés, au moins ont-ils du coeur. Léger.
Critique de "Camping" - Un cliché estival qui peine à séduire
Sorti en 2006, "Camping" de Fabien Onteniente se voulait une comédie légère visant à capturer l'essence des vacances estivales françaises typiques au bord de la mer. Avec un casting étoilé incluant Franck Dubosc, Gérard Lanvin et Claude Brasseur, le film promettait des rires et une étude pittoresque des traditions de camping en France. Malheureusement, malgré quelques moments amusants, "Camping" se révèle être une suite de gags répétitifs et de stéréotypes éculés qui ne parviennent pas à renouveler le genre.
Un Scénario Prévisible et Peu Inspiré
Le film suit les mésaventures de divers personnages au camping des Flots Bleus, un lieu qui réunit chaque année des familles et des amis autour de traditions bien rodées. L'intrigue principale tourne autour de Michel Saint-Josse, un chirurgien esthétique parisien, dont la voiture tombe en panne près du camping, le forçant, lui et sa fille, à séjourner parmi les campeurs ordinaires. Ce postulat, bien que potentiellement riche en comédie de situation, est traité avec une prévisibilité décevante. Les conflits sont clichés, et les résolutions manquent de profondeur, réduisant le film à une série de sketches souvent sans lien entre eux.
Performances : Un Mélange de Charisme et de Caricatures
Franck Dubosc brille en Patrick Chirac, un habitué du camping, apportant un mélange bienvenu d'humour et de pathétique à son personnage. Gérard Lanvin et Mathilde Seigner font de leur mieux avec les rôles qui leur sont donnés, mais les personnages manquent de développement, et leurs arcs narratifs sont prévisibles. Claude Brasseur, en Jacky Pic, apporte une touche de nostalgie, mais son personnage reste unidimensionnel, échouant à apporter une réelle substance émotionnelle au film.
Comédie et Humour : Une Affaire de Goût
L'humour de "Camping" repose largement sur des blagues visuelles et des situations embarrassantes. Si certaines scènes parviennent à susciter le rire, beaucoup tombent à plat, encombrées par l'overdose de stéréotypes sur les vacances en camping. Le film a du mal à trouver un équilibre entre l'humour bon enfant et des tentatives plus risquées, résultant souvent en des moments qui peuvent sembler forcés ou déplacés.
Visuels et Production
Visuellement, le film capture bien l'ambiance d'un camping estival avec ses scènes en plein air, ses plages et ses soirées festives. La photographie est adéquate sans être remarquable, fonctionnant bien avec l'esthétique globale du film. La musique, bien que parfois entrainante, utilise des chansons populaires de manière quelque peu clichée, renforçant les stéréotypes plutôt que de les subvertir.
Conclusion
En définitive, "Camping" se présente comme une comédie légère qui peine à laisser une impression durable. Trop souvent, le film s'enlise dans des clichés sans offrir de nouvelles perspectives ou des rires vraiment innovants. Il s'adresse peut-être à un public cherchant un divertissement simple et sans prétention, mais pour ceux en quête de comédie plus substantielle ou originale, "Camping" risque de décevoir. Le résultat est un film qui, tout en étant parfois divertissant, manque d'ambition et de finesse, s'apparentant plus à une succession de gags qu'à une œuvre de comédie cohérente.
Sorti en 2006, "Camping" de Fabien Onteniente se voulait une comédie légère visant à capturer l'essence des vacances estivales françaises typiques au bord de la mer. Avec un casting étoilé incluant Franck Dubosc, Gérard Lanvin et Claude Brasseur, le film promettait des rires et une étude pittoresque des traditions de camping en France. Malheureusement, malgré quelques moments amusants, "Camping" se révèle être une suite de gags répétitifs et de stéréotypes éculés qui ne parviennent pas à renouveler le genre.
Un Scénario Prévisible et Peu Inspiré
Le film suit les mésaventures de divers personnages au camping des Flots Bleus, un lieu qui réunit chaque année des familles et des amis autour de traditions bien rodées. L'intrigue principale tourne autour de Michel Saint-Josse, un chirurgien esthétique parisien, dont la voiture tombe en panne près du camping, le forçant, lui et sa fille, à séjourner parmi les campeurs ordinaires. Ce postulat, bien que potentiellement riche en comédie de situation, est traité avec une prévisibilité décevante. Les conflits sont clichés, et les résolutions manquent de profondeur, réduisant le film à une série de sketches souvent sans lien entre eux.
Performances : Un Mélange de Charisme et de Caricatures
Franck Dubosc brille en Patrick Chirac, un habitué du camping, apportant un mélange bienvenu d'humour et de pathétique à son personnage. Gérard Lanvin et Mathilde Seigner font de leur mieux avec les rôles qui leur sont donnés, mais les personnages manquent de développement, et leurs arcs narratifs sont prévisibles. Claude Brasseur, en Jacky Pic, apporte une touche de nostalgie, mais son personnage reste unidimensionnel, échouant à apporter une réelle substance émotionnelle au film.
Comédie et Humour : Une Affaire de Goût
L'humour de "Camping" repose largement sur des blagues visuelles et des situations embarrassantes. Si certaines scènes parviennent à susciter le rire, beaucoup tombent à plat, encombrées par l'overdose de stéréotypes sur les vacances en camping. Le film a du mal à trouver un équilibre entre l'humour bon enfant et des tentatives plus risquées, résultant souvent en des moments qui peuvent sembler forcés ou déplacés.
Visuels et Production
Visuellement, le film capture bien l'ambiance d'un camping estival avec ses scènes en plein air, ses plages et ses soirées festives. La photographie est adéquate sans être remarquable, fonctionnant bien avec l'esthétique globale du film. La musique, bien que parfois entrainante, utilise des chansons populaires de manière quelque peu clichée, renforçant les stéréotypes plutôt que de les subvertir.
Conclusion
En définitive, "Camping" se présente comme une comédie légère qui peine à laisser une impression durable. Trop souvent, le film s'enlise dans des clichés sans offrir de nouvelles perspectives ou des rires vraiment innovants. Il s'adresse peut-être à un public cherchant un divertissement simple et sans prétention, mais pour ceux en quête de comédie plus substantielle ou originale, "Camping" risque de décevoir. Le résultat est un film qui, tout en étant parfois divertissant, manque d'ambition et de finesse, s'apparentant plus à une succession de gags qu'à une œuvre de comédie cohérente.
Très bonne comédie, tellement bien que je n'ai mas attendu Patrick pour le regarder. Je conseille on passe un super bon moment
Une de mes opinions impopulaires les plus tenaces : je me revendique cinéphile et j’aime Camping. Je l’aime même follement. Lors de son récent passage à la télévision - et alors que je dois en être à mon dixième visionnage - je me suis dis que j’allais en profiter pour enfin le regarder d’un œil objectif et songeais que, malheureusement, j’allais peut-être sombrer parmi ses détracteurs. Néanmoins rien n’y a fait, j’ai passé un excellent moment de douceur et de rigolade sans pouvoir détacher de mes lèvres le sourire qui m’a pris dès la première minute. Alors oui, c’est simple : on fourre un chirurgien esthétique et sa fille habitués des palaces cossus au camping des Flôts-Bleus (« entre Arcachon et le Moulot », nous précise Patrick), entourés de tous les vacanciers coutumiers du fait qui voient dans cette parenthèse estivale leur prise de liberté annuelle. On découvre M. Pic et son emplacement 17, Patrick Chirac le séducteur ringos mais attachant et le couple Gatineau qui se brise (une histoire de « bouffeur de minou » paraît-il). Les dialogues fonctionnent et les gags fusent. C’est souvent simple, parfois grossier, mais ça fait tellement de bien. J’ai beau connaître le film par cœur, je ne peux m’empêcher de rire face à l’attitude de Dubosc qui livre une véritable performance en « campant » - sans aucun jeu de mot - son personnage théâtral, comme un comédien qui s’éclate avec son rôle, ça transparaît. Il y a ici une force essentielle : on ne rit pas des campeurs mais avec eux grâce à l’absence de jugement, le regard jamais moqueur et la petite musique douce qui accompagne le tout. C’est tendre et c’est peut-être là le plus beau : ces campeurs ont beau avoir la panoplie Ricard, prononcer des gaudrioles à foison, se fâcher puis s’aimer, on les envie.
Une comédie portée par la personnalité de Dubosc en 2006 qui aura des suites. Un peu surpris et pas trop en fait par la note moyenne spectateur qui rejoint ici celle de la presse car on remarque souvent que les comédies françaises sont fortement méjugées. Pourtant ici on a un humour original et pas trop vulgaire qui semble avoir eu un succès assez différent de ladite note.
Une comédie sans prétention avex un Duboscq
Qui en fait des tonnes. Il est entouré d acteurs parvenant à contrebalancer son omnipresence ( LANVIN BRASSEUR SEIGNET...)
Sans être un chef d œuvre le film est divertissant et permet de passer un agréable moment
Qui en fait des tonnes. Il est entouré d acteurs parvenant à contrebalancer son omnipresence ( LANVIN BRASSEUR SEIGNET...)
Sans être un chef d œuvre le film est divertissant et permet de passer un agréable moment
Une bonne tranche de rire et un casting qui s'amuse à l'écran. Un peu de vacances à déguster avec joie.
Un film certe pas parfait mais qui ne pète pas plus haut que son cul ^^
Ca rappel les vacances, ça sent le chaud . J'adore Dubosc et il porte le film, Lanvin très bon comme toujours A eviter si vous ne le supportez pas les moules bites, les tongs, la dans des canards lol
Ca rappel les vacances, ça sent le chaud . J'adore Dubosc et il porte le film, Lanvin très bon comme toujours A eviter si vous ne le supportez pas les moules bites, les tongs, la dans des canards lol
Le plus réussi des trois, car il y a un vrai scénario avec un vrai fil directeur. Un médecin haut de gamme (Gérard Lanvin) arrive par hasard dans un camping de prolétaires, d'où une interrogation sur les rapports de classe avec un Franck Dubosc vraiment attendrissant. Les deux autres opus sont nettement plus dans une succession de saynètes hasardeuses ou le grand n'importe quoi.
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