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FRAGH
14 critiques
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3,5
Publiée le 21 octobre 2024
Ce deuxième film de la saga Hellraiser propose une atmosphère bien plus horrifique que ce qu’on voit à partir du troisième film. On y retrouve cette ambiance sombre et oppressante qui fait l’essence de la série. J’ai aussi beaucoup aimé en apprendre davantage sur Pinhead, son passé, et ses origines humaines. Ça enrichit vraiment le personnage.
De plus, l’exploration plus poussée de l’enfer est fascinante, on découvre un univers cauchemardesque qui ajoute une dimension encore plus terrifiante. Par contre, petit bémol : il n’y a pas assez de scènes avec les cénobites à mon goût. J’aurait aimé les voir un peu plus en action.
Mais la scène finale avec eux est tout simplement excellente. Le moment où on découvre leur humanité est incroyable, ça donne vraiment une autre perspective sur les personnages. Pour moi, ça reste l’un des meilleurs moments de tout le film.
Une suite assez douteuse à l'histoire très floue, là où le premier réussit à nous convaincre avec un scénario prenant, ce second opus ne nous explique pas + les vraies origines et motivations des Cénobytes, mais en + de cela le scénario est très flou et bancal, au point qu'il est difficile de dire quelle est la vraie trame du film.
Qui est ce docteur fou qui cherche à connaître les Cénobytes, que veut-il, qui est cette fille, rien de tout cela n'est expliqué clairement le film se contente de nous montrer des paysages de labyrinthes assez bien réalisés ceci dit mais sans vraiment nous dire ce que l'on est venu regarder.
En résumé, regardable, mais déjà bien loin du 1er opus, et ça fait peur quand on sait que 8 opus suivent sans compter le remake.
Comme le premier , le scénario , l' histoire , n' est pas terrible , pas formidable . Mais il y a du suspens , les effets spéciaux et les scènes d' horreur sont impressionnants .
spoiler: Kirsty Cotton a été placée dans un hôpital psychiatrique. Elle est suivie par le docteur Channard et son assistant. Manque de bol pour elle, ce médecin est intéressé par l'histoire des boites et va tout faire pour découvrir leur secret.
Histoire/scénario : Rien est bien original dans ce film, la fille traumatisée est placée dans un hôpital psychiatrique et manque de bol le médecin qui la suit veut trouver le secret des boites, mouais, même si vers la fin ça commence à partir un peu en couille avec des scènes assez bizarres, même si dans l'ensemble cela reste compréhensible.
Acteurs : le film date de 1988, donc je ne reconnais aucun acteur ou alors aucun n'ont percés
Effets spéciaux : il y en a beaucoup dans ce film et ils ont pris un coup de vieux, mais je ne juge pas parce qu'à l'époque, ils devaient être plutôt pas mal.
VF/bande son : le thème du premier reste dans celui-là et la musique et encore une fois pas trop mal et connu dans les blind tests de film, par contre là où le bât blesse, c'est la VF qui est vraiment dégueulasse, mais bon, c'est l'époque qui veut ça.
Je ne critiquerai pas ce film parce qu'il date de 1988, je sais qu'il m'avait autant dérangé que le premier avec des scènes surréalistes et bien dégueulasses, mais évidemment, il a vieilli, mais je ne l'ai pas trouvé désagréable à revoir.
Bonne suite du culte Hellraiser premier du nom. Suite direct avec les mêmes personnages, bonne histoire, des effets gores très réussis le tout sans une ambiance sombre.
Beaucoup moins bien que le premier, il gardera le mérite d'approfondir énormément la mythologie des cenobites, ce que le nouveau Hellraiser sortit en 2022 arrivera à faire en mieux tout en gardant l'esprit de découverte proposé par le premier film.
Kristy ayant assisté aux meurtres de son père et de sa belle-mère par les cénobites, elle est internée dans un hôpital psychiatrique. Son docteur essaye d’ouvrir le Cube à l’aide d’une autre patiente autiste, experte en casse-tête.
Suite directe du premier opus mais en plus ambitieux. Déjà, il y a davantage de décors notamment lorsqu’on visite le monde de ces insignes démons. Il y a aussi plus d’intensité dans les scènes gores et sanglantes que ne laissait pas entrevoir le précédent volet. Néanmoins, le scénario est toujours autant opaque et les nouveaux personnages sont fades sauf Tiffany mais trop peu exploitée et développée. Par contre, Claire Higgins interprète Julia avec une lisseté comparable au prédécesseur.
Il y a de bonnes idées dans cette suite. L'outrance de gore et les effets spéciaux sont très réussis, malheureusement au détriment du scénario qui peine à convaincre. L'ambiance malaisante est, heureusement, toujours de la partie.
Visuellement réussi, un numérique passable pour l'époque évidement mais des maquillages et décors parfaits. Niveau scénario, une pauvreté totale tant ce dernier spoiler: met plus de 30 min à se mettre en place, ce qui ne laisse que peu de chance de tenir éveiller, de plus, aucune musique de fond n'est présente, ce qui enfonce encore un peu plus de clou dans un plancher bien silencieux. Niveau jeu, le casting est égale au premier et n'à pas vraiment d'étincelles à proposer, mais ceci est presque coutume dans le cinéma de genre des années 80, ou rarement il existe des instants de renon. Niveau action et horreur, également comme le précédent spoiler: ou la scène dans cette salle de torture est très expresse et ne propose que trop peu de contenu. Les actions sont également bien maigres, mais cependant, la séquence du labyrinthe reste assez impressionnante par son visuel et ambiance sombre. Un second volet très peu passionnant ou le récit est d'une maigreur assez voluptueuse avec très peu de concret sur la suite, mais seul la qualité visuelle l'emporte.
J'aime beaucoup cette suite. Ce que je trouve bien avec Hellraiser c'est que très original et la BO par Christopher Young est sublime. On est plongé dans l'enfer, les décors sont très bien trouvé ça en met pleins la vue, c'est très gore, il y a pas mal de choses horrifiques. Seul hic, il a mal vieilli et certains dialogues sont limite ridicule. Mais ça ne m'empêche pas d'adorer tellement c'est original, avec des décors incroyables.
Ce deuxième de franchise est décevant. Il apporte sa dose de gore, de chairs, de tortures et de barbaque devant la caméra, de manières plus importantes que dans le premier de franchise. Il y a beaucoup plus de moyens grâce au succès du premier et donc les choses sont "gonflées" à tous les niveaux avec plus de personnages, plus de décors, plus de gore et monstres. Mais l'intimité du premier film était ce qui le rendait justement intéressant. Puisque le premier film et était plutôt concentré sur une maison et la famille qui l'occupe, le père, le frère du père, la fille du père, l'épouse du père (Clare Higgins qui donnait une dimension sexuelle), plus quelques cénobites. Tout gravitait autour de quatre personnages de cette famille. Ici le film perd en visibilité et en cohérence en se concentrant sur l'hôpital psychiatrique et son patron, mais répond à son cahier des charges de présenter des choses horribles et dégueulasses. Tout en montrant plus sur l'univers des cénobites; c'est quand même une des qualités du film. Dans l'ensemble le film est clairement moins subversif. Il est curieux ou intéressant de noter que cette franchise, en tout cas cette suite, est constitué de personnages principaux presque exclusivement féminins. Nous retrouvons Clare Higgins et Ashley Laurence. En complément, il y a patron de l'hôpital psychiatrique mais nous devinons qu'il ne durera pas et c'est bien ce qui lui arrive. Les personnages clés sont bien féminins. C'est là où le bât blesse, car le scénariste et ses producteurs on choisit de centrer la narration sur le patron de l 'hôpital psychiatrique et un peu sur la fille, Ashley Laurence, au détriment du personnage de Clare Higgins qui est le personnage le plus intéressant et qui est ici mis de côté et fait juste de la figuration.
Si vous avez loupé le premier volet, pas de soucis, celui-ci vous en fera un résumé efficace dans les vingt premières minutes. Toujours aussi crado et gluant, avec des profils toujours aussi dérangés, poursuivre cette saga dans un asile paraissait finalement assez logique. On y explore l'enfer grâce à une jeune fille très douée pour les puzzles et qui n'a pas peur de croiser des cadavres dans le grenier. Super. Ne vous attendez pas un univers foisonnant. Tout y est griffonné au crayon. On avance progressivement pour résoudre le mystère des origines de Pinehead et de sa bande de Sénobites. Un film court, un épisode déjà de trop. Tony Tandem n'apporte rien côté mise en scène et le récit se conclut sur la présence de forces toujours plus malsaines.
Dans une interview de 1987 à la télévision anglaise, consécutive à la sortie de ''Hellraiser'', l'écrivain Clive Barker avait accepté le jeu de répondre aux questions du présentateur et d'un parterre de jeunes adolescents; où -en réponse à certains d'entre eux- il disait bien évidemment ne pas croire aux ''monstres'', ''démons'', ''univers parallèles'' et compagnie; expliquant savoir parfaitement que ces choses -retrouvées entre autres dans le christianisme et moult religions- n'existent pas; ajoutant que ses romans, ses films et ses allégories ne sont en fait que des sortes de ''symboles'' pour exprimer autre chose, entre autres, la violence inhérente au monde d'alors (fin des années 1980s), et les peurs bien ancrées en chacun de nous; expliquant à quelques adolescents, en guise de réponse, que ce qu'il lui fait réellement peur sont des choses somme toute ''banales'' : les ascenseurs, l'avion ... etc. Cela pourrait ainsi donner l'impression d'un individu relativement équilibré; et pourtant, en visionnant ''Hellraiser II : Les écorchés'', on se demande d'où sort un tel bric-à-brac d'idées hétéroclites et de scènes qui semblent avoir été montées les unes à la suite des autres d'une façon aussi ''foutraque'', si j'ose m'exprimer ainsi. Car : bien que Clive Barker ne soit pas à la réalisation pour cette suite directe, sortie à peine un an après le premier (soit : en 1988), il y a malgré tout apporté sa pierre; et le résultat est encore plus mauvais que le premier (qui -soit dit en passant- était en soi déjà très mauvais). Ainsi, même si tout jugement est nécessairement subjectif par nature; il me semble malgré tout relativement juste d'y attribuer la note minimum possible : 0,5.