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Nicolas Métrich
23 abonnés
475 critiques
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2,0
Publiée le 14 octobre 2024
Il s' agit de la suite direct du film " Halloween 4 " , à la seconde prés .
Je trouve , pour l' instant que c' est le film " Halloween 🎃 " , le moins bien , j' ai vu 5 films " Halloween 🎃 " , sur les 13 films , qui ont été fait , jusqu'à présent . ( Les 5 premiers films ) .
Je ne le trouve pas terrible , pas formidable . L' ambiance et le suspens , sont moins biens , que les 4 premiers films , moins intenses . En plus , c' est à suivre , et le film s' arrête d' un seul coup , en pleine scène d' action !
Mais , il y a quand même du suspens , alors , je met 2 étoiles comme note ( et non , une demi étoile ) .
Le meilleur film " Halloween 🎃 " est le premier film de 1978 , qui est un chef d'œuvre du film d' horreur et du film de suspens , auquel , je met la note de 5 étoiles .
Je trouve que Halloween 2 , 3 et 4 sont aussi bien , les uns , que les autres , de trés bons films d' horreur et de suspens , auquel , je met la note de 4 étoiles , pour ces 3 films .
C'était trop beau pour être vrai, mais cette saga devait se planter à un moment donné. Ce 5e film est une catastrophe. L'aspect flippant de Myers disparaît, suivi d'un scénario NUL et des personnages complètement à l'ouest. A oublier
Je pensais avoir tout vu avec les films précédents, mais « Halloween 5 » touche le fond. Un an après les événements du film précédent, le Dr Loomis essaie encore de sauver Jamie Lloyd, maintenant liée télépathiquement à son oncle Michael Myers, toujours vivant. Le film échoue lamentablement à tous les niveaux : mise en scène médiocre, écriture bâclée, et une fin exaspérante qui pousse à crier de frustration. Les tentatives maladroites d'introduire de nouveaux personnages, comme le mystérieux « homme en noir », et les décisions absurdes des personnages détruisent ce qui pourrait avoir été une suite potable. Les scènes de terreur sur une jeune fille et la mort inutile d'un personnage clé ajoutent à l'insulte. C'est un film qui non seulement déçoit par son manque de continuité et d'originalité mais qui souille également l'héritage de la franchise avec des personnages ennuyeux et des redondances frustrantes. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
La suite directe du 4, pas mal mais ils auraient pu faire bien mieux je pense. Michael Myers est en demi-teintes, Jamie est toujours aussi larmoyante malgré un sourire (bon, on peut comprendre vu le traumatisme hein mais bon)..
Rachel est presque inexistante, ce film met sur le devant de la scène d'autres personnages plutôt futiles et sans profondeur qui finissent tout de même dans des circonstances assez sympa pour un slasher mais qui auraient pu être plus originales lorsque l'on se réfère au 4ème opus.
Malgré les rebondissements ici ou là, le film reste assez plat et fade.
A voir quand même si vous souhaitez être au courant de toute l'affaire Myers :)
Pas totalement ringard car finalement l'un des plus intéressant dans sa modernité depuis le premier opus, par son côté teenager. Pour ce qui est du fantastique et du lien entre Michael et sa soit disante nièce, la conjoncture laisse cet opus en deçà du précédent. Avec un européen à la réalisation, la franchise a pourtant franchi un cap. Avec des morts à la pelle, ou plutôt à la fourche, la plupart du temps non montré et un jeu des masques et de faux tueurs, on joue au chat et à la souris façon Scream, avec dix ans d'avance. Mais ne rêvons pas. Le plaisir reste naturellement en dessous de nos attentes pour ce genre de suite. Techniquement la lumière est soignée et les décors sympatoches, mais côté scénario les bonnes idées du précédent opus sont restés au placard et on ne comprend plus la démarche qui consiste, comme entre le 2 et le 4, à tout changer entre chaque épisode. On se moque du matériel et du spectateur.
Beaucoup moins bien que le 4. Le film n'est pas mauvais mais moins bien que les autres. C'est un plaisir de retrouver Donald Pleasance et Danielle Harris. Le scénario est moins intéressant. Le film n'a pas été tourné en automne comme les autres et ça se voit. Certaines scènes avec les policiers sont ridicules. Par contre comme pour les 4 premiers films la fin est spectaculaire.
Et les montagnes russes de la qualité des suites d'Halloween reprennent : après le médiocre (mais pas catastrophique) quatrième opus (qui se loupait surtout sur sa fin grand-guignolesque), voici le cinquième qui replonge dans la facilité décérébrée. Ostensiblement mal filmée, mal montée, très très (mais alors : très) mal jouée, cette suite n'arrive pas à assumer le choix final du quatrième opus (un peu comme nous, certes) mais sort trop simplement le joker du coup de folie pour tasser l'affaire et revenir sans plus de justification au personnage de la petite fille toute sage que l'on a connu (on sent qu'il ne voulaient pas faire de Halloween 5 avec une fillette qui dégomme des ados, habillée en clown à pompons... et "étonnamment", on peut les comprendre...). On doit alors se coltiner l'intrigue très tirée par les cheveux de cette fillette "contaminée par le Mal de Michael" qui a des visions (ultra mal interprétées voire gênantes pour cette petite actrice qui caricature à mort) de tout ce qu'il fait, juste parce qu'elle l'a touché une seconde (c'est très fort de café, comme lien, non ?). Admirez aussi ces magnifiques jumpscares qui ne sont que des "bouh" de gamins qui se font peur entre eux (c'est affligeant), ce changement de masque temporaire pour Michael qui ne sert à rien si ce n'est casser un symbole "masque / tueur" (on a l'impression d'entendre un réac', mais le changement est si mal amené qu'on enfile notre casquette de ronchon, pour une fois), et on retiendra surtout la qualité (attention, ironie) des dialogues, voyez plutôt : "Eh raclure, t'es jardinier ? Parce que je vais te labourer." Wow, c'est niveau nanar. D'ailleurs, on est convaincu qu'avec très peu d'efforts supplémentaires, cet Halloween 5 aurait pu faire un nanar magnifique.
Film à scénario assez faiblard. Ilsspoiler: tuent Rachel trop rapidement. C'était un personnage incroyable . A part ça, le film n'a pas grand chose de mémorable...
Un film pour rien . Évidemment c etait et c est toujours le problème de multiplier les suites sans scénario notable . Ici rien n avance et pendant 90 longues minutes c est encore une nouvelle traque de ce pauvre Michael Myers qui doit assouvir sa vengeance...long
Halloween 5 la revanche de Michael Myers de Dominique Othenin-Girard de 1989 est un très bon film Le 4ème opus s'était terminé sur une fin terrifiante La petite Jamie Lloyd était devenue possedé par l'esprit de Michael Myers. Michael Meyers avait été '' abattu '' par la police mais s'est bien sûr relevé et a continué sa traque en tuant au début du film un vieux pêcheur Maintenant le Dr Loomis et la famille essaye a tout prix de retrouver notre tueur bien aimé à l'aide de Jamie qui est maintenant en lien télépathique avec le mal. La BO du film est sympathique Côte meurtre Micky sait comment nous faire plaisir. Malheureusement le scénario n'est pas très bien étudié et exploité et la réalisation n'est pas parfaite. Le film possède beaucoup de scènes allongées et inutiles ou mal amenés. Il y'a même enfaîte un bonne partie du film qui est un peu mal foutu et presque ennuyeuse et on on s'y ennuierais (ça dépend de nous) si le Dr Loomis ne serait pas présent. Et d'ailleurs il n'y a que lui et Jamie qui sont vraiment intéressants dans ce 5ème opus. Donald Pleasence et Danielle Harris ont apporté une très bonne interprétation. Mais heureusement le film se rattrape dans sa dernière demie-heure (ce calcul de temps peux ne pas être exact) Les défauts qu'avait le 4 au niveau du masque et de la démarche du comédien sont également présents. Et il ne possède également plus vraiment cette ambiance glauque et terrifiante contrairement aux 3 premiers opus. Mais malgré tout ses défauts le film reste très bon par la nostalgie et notamment par le fait que les films d'horreur de l'époque possédaient un certain charme que les films d'horreur actuels n'ont pas même si ces derniers son très bons comme conjuring par exemple. Je met la même note que le 4 Je met plus de 3 étoiles.
A la fin du 4ème volet, Michael Myers est flingué et expédié au fond d'une mine. Il suffit d'une petite pirouette de la part du boogeyman (ou du scénariste ?) et hop ! Notre tueur s'échappe, s'effondre chez un ermite, pour se réveiller un an plus tard, le soir d'Halloween. Son objectif reste le même : retrouver et tuer sa nièce. Enfin du moins je crois... Car Michael Myers passe inexplicablement son temps à stalker les jeunes gens de la ville, pendant que le Dr Loomis se téléporte au gré de l'intrigue, et que Jamie, la nièce, est tantôt clouée sur un lit dans une clinique, tantôt à l'école, entre deux liaison télépathiques (?) avec son oncle. Sans compter les apparitions quasi inutiles et jamais expliquées d'une mystérieuse figure aux bottes noires argentées. Bref, vous l'aurez compris, c'est un scénario sans queue ni tête que l'on retrouve pour ce cinquième volet, dont la production a semble-t-il été amorcée à la va-vite suite au succès du 4ème opus (pas franchement glorieux non plus...). La mise en scène tient quant à elle d'un téléfilm mou du genou. Les séquences de meurtres sont sans intérêt et déjà vues (et par ailleurs assez peu sanglantes par rapport aux films précédents), le film est globalement très ennuyeux. Et ce ne sont pas les personnages jetables qui retiendront notre attention, même si des acteurs du film précédent reviennent. Des lycéens lubriques monodimensionnels, un tandem de flic dont la sagacité ferait passer Dupond & Dupont pour Sherlock Holmes et le Dr Watson, et le Dr Loomis incarné par un Donald Pleasance qui semble aussi fatigué que dépité. Allez, une originalité tout de même : pour une fois, l'inévitable couple qui fornique en cachette a la bonne idée de mettre une capote. Ce n'est pas tous les jours que l'on voit ça dans un teen-slasher, avouez-le ! Non pas que cela change leur funeste destin, mais si Michael Myers peut faire un peu d'éducation sexuelle entre deux coups de couteau, pourquoi pas !
Une cinquième itération sympathique de la saga mais qui reprend sans surprise tous les codes du slasher. Dominique Othenin-Girard utilise à de nombreuses reprises le plan subjectif nous mettant dans la tête du tueur pour parvenir à créer le frisson.
Scénarisé et réalisé à la va-vite après le succès surprise du quatrième opus, Halloween 5: The Revenge of Michael Myers déroule une intrigue grotesque que rattrape la mise en scène du Suisse Dominique Othenin-Girard : les mouvements de caméra donnent l’impression de déambuler en compagnie des personnages et confèrent un suspense appréciable, notamment lors de deux séquences de traque au domicile de l’enfant puis de Michael ; la photographie de Robert Draper compose une série de plans mémorables, à l’image de cette voiture lancée à toute allure derrière Jamie et dont les feux percent des halos de lumière dans la brume environnante. Nous ressentons une volonté de saisir le spectateur en collant à la peau des victimes, comme s’il était lui-même ou compagnon d’infortune ou bourreau souhaitant accomplir sa vengeance.
Malheureusement, l’interprétation médiocre des comédiens – le pire étant peut-être Donald Pleasence qui caricature son rôle et fait de Loomis un pantin grimaçant – et l’écriture risible des dialogues n’aident pas à sauver cette cinquième suite qu’alourdit de manière considérable un scénario abracadabrant qui paraît improvisé à chaque scène. La musique atteste elle aussi une baisse de régime. Un film décevant et dispensable.