Halloween 5 est une parfaite réplique de Halloween 4, scénario plat et répétitif, c'est toujours la même histoire. Le nouveau réalisateur Dominique Othenin-Girard n'apporte rien de plus à la saga et sa mise en scène ressemble à celle des précédents réalisateurs. Les acteurs comme Donald Pleasence ou Matthew Walker sont convaincants mais ce n'est pas suffisant pour sauver le film, je mets donc un 09 / 20.
La série franchit un cap dans la nullité avec ce 5ème épisode ou le pauvre Michael Myer n'est désormais guidé que par l'avidité de ses producteurs. Ne cherchez nul trace de talent dans le film car il n'y en a pas, le réalisateur n'est qu'un rouage servile tandis que le casting est tout simplement mais ce n'est rien comparé à un scénario stupide ou s'enchainent péripéties idiotes et situations grotesques. Mais le pire c'est de voir Donald Pleasance tapé avec une planche sur Myer en hurlant, on a beau être un grand acteur, la déchéance est quand même là.
Halloween 5 est a ce jour l'un des meilleurs films de la saga. Mise en scène en 1989 par Dominique Othenin-Girard, ce long métrage possède des scènes de meurtres vraiment bien faites. Malheureusement le scénario manque de consistance à mon goùt, même si le côté surnaturel ( le lien télépathique entre Mickal Myers et la petite Jamie Lloyd ) s'avère assez intéressant et bienvenue dans cette saga. L'interprétation est plutôt bonne, Don Sharks campe un Mickael Myers inquiétant à souhait, Danielle Harris joue le rôle de la petite Jamie Lloyd avec beaucoup d'émotions tandis que Donald Pleasance incarne comme d'habitude un excellent Dr Loomis. Les scènes de meurtres s'enchainent les uns apres les autres et celles de la grange s'avèrent particulièrement jouissif. Il s'agit donc d'un film qui est pour moi assez surprenant, dommage tout de même que le scénario ne soit pas totalement à la hauteur, car la mise en scène est souvent trés réussi. 12/20
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3,5
Publiée le 16 janvier 2012
Privilègiant la tension aux effets spèciaux sanglants, le cinèaste suisse Dominique Othenin-Girard travaillant aux Etats-Unis et, surtout connu pour avoir dirigè ce cinquième opus de Michael Myers, joue ici la carte de l'angoisse avec ce thriller fantastique dont il cosigne le scènario! Affublè de son èternel impermèable, Donald Pleasence y reprend le rôle du docteur Loomis, ennemi jurè de Michael Myers, l'indestructible tueur d'Halloween au masque blanc qui s'en prend ici à sa propre nièce, une fillette douèe de tèlèpathie que campe une sidèrante Danielle Harris! Un cinquième volet qui nous gratifie de quelques sèquences de terreur rèussie comme celle du monte-charge et qui prouve avec brio que les festivitès lièes à ce fameux jour n'en sont pas à leur terme! L'un des meilleurs Halloween à la fois cruel et angoissant...
Halloween 5 réitère hélas les mêmes défauts que le quatrième opus et l'agrémente d'un ridicule poussif dont on se serait bien passer. Suite directe comprenant les mêmes acteurs et le même suivi scénaristique, cette cinquième mouture va malheureusement au-delà de la déception... La fin du précédent volet laissait plus la place à une fin nihiliste qu'à une porte ouverte et si une suite était envisagée, elle n'aurait pas laissé Michael Myers revenir et aurait au contraire mis en avant la nouvelle folie meurtrière de la jeune Jamie, la nièce du serial killer masqué. Malheureusement, la production n'a que faire d'une gamine psychopathe et, à travers une pirouette scénaristique vulgaire dévoilée en début de métrage, fait de ce cinquième film un énième slasher on ne peut plus conventionnel... Outre le fait que le film traine en longueur, il perd surtout toute once de crédibilité et se perd dans une double histoire/fonctionnalité des plus navrantes : d'un côté nous avons la suite des mésaventures de la nièce de Myers et de l'autre le slasher de base qu'attendent les djeun'z en manque d'hémoglobine... Aussi, le métrage peine à convaincre et ennuie, la faute à une réalisation mollassonne et à une interprétation hasardeuse : Donald Pleasance surjoue et devient plus un cinglé qu'un véritable docteur calculateur, l'acteur étant fatigué de rempiler à chaque épisode. La jeune Danielle Harris n'a hélas pas beaucoup changé, ne faisant ici que pleurer pendant tout le film, exaspérante et énervante ; son interminable jeu de cache-cache avec Myers lasse plus qu'il n'effraie. Au final entre meurtres insipides, histoire peu inventive, interprétation ridicule et ambiance quasi-cartoonesque, Halloween 5 devient facilement le plus mauvais épisode de la saga.
Après un 4ème volet très bon à la fin absolument terrifiante, je m'attendais à beaucoup mieux et là, j'ai été horriblement déçu. Le film contient un nombre incalculable d'incohérences (jamie qui n'a que "agressé" sa mère adoptive, Michael qui se prend je ne sais combien de balles mais qui se relève toujours, Rachel qui se fait tuée au bout de 20 minutes, des scènes de meurtre à tout bout de champ...), Michael n'effraie plus dans ce film tant la réalisation est bâclée, ainsi que la fin. Bref, je met une étoile pour les 30 dernières minutes (Michael qui essaie de tuer Jamie cachée dans le conduit, Michael qui enlève son masque, un Loomis encore plus obsédé par Michael et qui utilise Jamie comme appât...), Danielle Haris (Jamie) et Donald pleasance (Loomis) toujours aussi excellents.
Le même en couleur que le précédent. Rien de nouveau, la nièce Jamie qui veut s'échapper de Michael, le docteur Loomis qui la sauve comme il peut... Vraiment cette suite n'apporte rien, mais c'est à voir tout de même si on aime bien Michael Myers. http://tempslibre.forumr.net
ce film est mon préféré des halloween !!! les acteurs sont bons . mychael myers est beaucoup plus violent est terrifiants que dans les autres . super film koi
j'ai jamais vu un film aussi nul de toute ma vie ... Ont sait ce qui va se passer avant même que sa se passe ... Le scenario tout pourri avec des gens et des flics bien débile. Et surtout le michael miyers immortel mdr le gars il c'est pris du fusille a pompe, il c'est fait ecraser, il c'est pris une balle d'un ptit pistolet + il c'est fait passé a tabat a la fin mais le gars toujours debout mdr trop fort encore + que terminator jcrois bien ...
Je ne comprend plus les critiques desormais.Combien allons nous faire de Halloween?On va bientot arriver a dix,sérieux c'est du n'importe quoi.Réveillez vous bon sang!C'est une honte.Le synopsis est minable on s'en fou grave de la niece de Michael.Un épisode qui ne sert a rien.
un de mes préférés. un scénario bien écrit, une réalisation réussie et efficace, et toujours une jeune actrice géniale! malgré des trucs un peu inexpliqués, un classique du samedi soir et ici et la quelques innovations bien venues.
On prend les mêmes, et on recommence. Donald Pleasance, toujours partant pour traquer Michael Myers rempile pour cette suite, ainsi que la petite Danielle Harris. Ellie Cornell, qui jouait la grande sœur de Jamie, n’apparaîtra pas longtemps dans cet épisode, et c’est Wendy Kaplan, qui n’apparaissait qu’anecdotique ment dans le numéro 4 qui va remplacer la grande sœur. Mais cette fois-ci, la saga a beaucoup perdu. Déjà en crédibilité. On avait accepté que Michael Myers ne soit en fait pas mort à la fin du 2, même si ceci paraissait assez gros quand même, mais cette histoire de coma qui prend fin justement la nuit d’Halloween, ça commence à faire beaucoup. D’accord, le docteur Loomis ne cesse pas de dire que ce tueur n’est en fait pas humain mais une incarnation du mal, mais quand même ! La petite Jamie, enfermée dans une clinique après avoir poignardé sa mère sous l’influence de son oncle, est ici durant toute la première partie du film assez agaçante, à sans cesse geindre. Désormais, elle semble avoir un lien « spirituel » avec le tueur, ressentant un malaise quand celui-ci va tuer. Pourtant, une fois encore, ce sont les mêmes ingrédients qui sont utilisés dans ce film, mais mal utilisés. On a le droit à la fameuse fête d’adolescents dans une ferme durant laquelle quelques uns vont vouloir aller se rouler dans le foin. Les amateurs de paires de seins seront déçus cependant car on n’en verra finalement qu’un petit bout et Michael arrivera trop tôt sur les lieux pour qu’on en voir plus. La dernière partie du film remonte un peu le niveau zéro de celui-ci, mais ne parvient tout de même pas à lui faire atteindre celui des précédents épisodes. Danielle Harris est déjà moins agaçante dans cette dernière partie du film, et retrouve plus son personnage tel qu’elle le jouait dans le numéro 4. Reste cet étrange personnage en noir coiffé d'un chapeau de cow-boy qui libère Michael de prison dans le passage final sans qu'on sache pourquoi. La réponse sera donnée dans le 6...