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    La Moustache
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    204 critiques spectateurs

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    ChroniqueMécanique
    ChroniqueMécanique

    309 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Que dire de cette "moustache" ?! Que c'est un film qui désarçonne, déboussole, qui nous plonge dans le noir et refuse d'en allumer la lumière. Que c'est un film qui m'a à la fois séduit et troublé mais aussi laissé dubitatif et sur ma faim. L'idée de départ est très original (comme le film dans son ensemble d'ailleurs) et même plutôt drôle. Un type qui se rase la moustache qu'il a toujours eu et qui plonge dans une étrange descente aux enfers quand on lui certifie qu'il n'en a jamais eu. Sorte de quête de soi-même. On se laisse prendre, porté par le scénario, véritablement très bien écrit, au système narratif bien construit (on voit bien là la pate du romancier qu'est avant tout le réalisateur). Puis on se retrouve perdu dans le ventre mou du film. Perdu devant la montagne de questions qui s'amassent pour finaler rester sans la moindre réponse, le moindre indice. Perdu devant la réaction des personnages, qui se soupçonnent tous indirectement d'être fou, secret et paranoïaque, sans jamais vraiment rien nous lâcher. Perdu entre l'envie de rire jaune et celle de se questionner sur les émotions masquées des protagonistes. Puis le film retrouve un peu de sa superbe dans la dernière partie (à Hong-Kong) où on peut avoir l'impression d'avoir été balancé dans un monde parralèle, où les plans magnifiques succèdent aux prises de vues sobres et impeccables. Mais toujours rien à comprendre, sauf ceux que l'on veut bien essayer. Je suis pourtant un fan des scénarios tordus et alambiqués mais n'est pas David Lynch qui veut, là, même si l'exercice de style est ambitieux et envoutant, il n'est pas tout à fait réussi, sans être pour autant raté car c'est quand même une oeuvre particulière, loin d'être banale, mais un peu bancale. Je pense que le parti pris ici par la mise en scène devait mieux marcher en roman. Reste la parfaite composition d'acteur de Vincent Lindon, excellent et touchant en paumé en pleine fuite en avant, ne sachant pas ce qu'il recherche.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 mai 2011
    Lisez au moins la fin du livre!! (Lisez la critique je ne dévoile rien). Voilà je commence ma critique par ca. J'ai lu le livre d'abord, un livre qui m'a bien choqué. J'ai été pris dans l'histoire à fond et arrivé à la fin on a la réponse du livre entier. Je ne dirai pas quoi évidemment. Mais je post cette critique pour vous inciter à lire le livre. J'imagine que la fin du film est nulle comme ca surement pour pas trop choquer les gens et faire plus vendre... C'est la seule raison que je vois.
    Donc un conseil si vous voulez pas vous tapez le livre entier, ni le payer (car 99% du film est bien comme le livre, mise à part l'intrigue et les personnages qui sont quand même mieux dans le livre car plus travaillés que dans un film d'1h20). Allez dans une librairie, prenez le bouquin et lisez les 10 dernieres pages pour vous remémorez le film, et quand vous atteindrez les 2-3 dernières pages, vous aurez la réponse que vous attendez!!! Ca donne tout son sens! Ca explique le film entier (enfin pour moi c'était le cas car je me demandais tout du long "mais c'est quoi ce bordel").
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 343 abonnés 4 388 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    La Moustache est un film qui ne me bottait pas trop. Rien que le speech de départ ça sentait le manteau de sapin. Bon, finalement il y avait de l’idée, mais le résultat ne convainc pas.
    Le casting n’est pas désagréable, et Vincent Lindon joue plutôt bien. Il est à l’aise avec son personnage, et parvient à lui donner un certain relief. Même si le personnage reste creux, car on ne saura rien de lui, Lindon lui apporte l’épaisseur nécessaire et entretient bien le mystère autour de ses errances mentales. Face à lui Emmanuelle Devos est correcte mais sans plus. A l’instar de Mathieu Amalric, d’Hyppolyte Girardot, elle n’a pas grand-chose à faire, traversant le métrage avec un personnage sans relief, peu pour ne pas dire pas dégrossi. Elle a juste un rôle d’appoint, servant à mettre en relief le décalage du personnage de Lindon, mais n’existant pas vraiment pour lui-même dans ce métrage. Les interprètes font à peu près ce qu’il faut donc, mais le réalisateur ne s’intéresse pas à l’écriture de ses rôles, et les limites des dialogues et des situations ne leur permettent pas vraiment de s’exprimer à la hauteur de leur talent.
    Le scénario est le principal souci du métrage. Le début est intriguant, et curieusement avec presque rien le réalisateur arrive à accrocher son spectateur en commençant vite. Mais sur le long terme ça ne tient pas du tout. Le film s’enlise, devenant une succession de « troubles de la mémoire » de Lindon. Paraissant terriblement long par rapport à sa durée réelle d’à peine 1 heure 20, la plus grosse déception du film c’est la seconde partie. Dès que l’on est en Chine ça perd tout intérêt, et alors la conclusion est ridicule. On ne peut pas faire un film alambiqué, tout en circonvolution et en mystère, et livrer une fin qui ne révèle rien. Là on est un peu comme devant un suspens avec une fin en queue de poisson, autant dire que c’est réellement très très frustrant. En somme on se dit que le réalisateur prend 80 minutes pour nous mener nulle part, et ça c’est très pénible.
    Quant à la forme ce n’est pas mémorable non plus. Le réalisateur a une mise en scène très statique, très lente, et surtout très quelconque. On sent qu’il n’a pas trop l’habitude de faire de la réalisation, et son métrage est très plat. Ça manque de rythme, ça n’a pas de vigueur, et finalement j’ai parfois eu le sentiment que le réalisateur se concentrait davantage sur ses décors, sa photographie léchée, que sur le souci de montrer la folie, de filmer les ambiguïtés mentales du héros. Son enfermement peut-être. Ce n’est pas médiocre, mais je peine à comprendre cette tendance de filmer lentement un film déjà très lent. Pourquoi ne pas apporter parfois de la vigueur, pourquoi ne pas montrer la frustration qui peut naître de telles situations ? A noter l’usage de la musique de Philip Glass. On reconnait bien son style, plutôt bienvenu dans un film sur la folie, mais un peu comme du Vivaldi dans un film en costume, c’est d’un classicisme un poil frustrant.
    Pour tout dire, La Moustache est surtout un film très mal mené par son réalisateur. Je ne dis pas qu’il n’y a pas certaines séquences intéressantes, mystérieuses, que le fond de l’histoire n’a pas des promesses, mais le traitement lourd, le rythme mou, la fin en queue de poisson, le manque de relief des personnages, tout cela fait qu’on reste au milieu du gué, malheureusement. 1.5
    stebbins
    stebbins

    491 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juillet 2009
    Oeuvre qui vous obsède jusqu'à la jubilation, La Moustache est un film d'une simplicité salutaire. Le public n'a visiblement pas vraiment suivi, et c'est regrettable : ainsi, certains spectateurs déplorent l'absurdité de l'OVNI dont il est question. Pourtant, l'absurde fait partie intégrante du cinéma et de la littérature, il s'agit bien d'un courant artistique à part entière ( il faudrait relire Kakfa, Ionesco ou encore Samuel Beckett ). Le film d'Emmanuel Carrère n'a rien de prétentieux, bien au contraire : l'auteur prend le temps de développer une idée somme toute assez géniale - un homme rase sa moustache dans l'indifférence la plus totale - afin de faire une incursion vers le drame conjugal. Carrère ne cherche en aucun cas à en imposer et ne démontre pas : il donne à voir, avec une acuité philosophique désarmante. Ajoutons à cela l'entêtant concerto de Philip Glass, l'intensité de Vincent Lindon et la charme d'Emmanuelle Devos et l'on obtient un film qui, comme ça, ne paie pas de mine mais qui prend énormément d'ampleur avec le temps. Un petit chef d'oeuvre.
    Hotinhere
    Hotinhere

    525 abonnés 4 921 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2023
    Une immersion troublante mais un peu trop déroutante dans la paranoïa, soutenue par un Vincent Lindon brillant.
    tisma
    tisma

    281 abonnés 1 933 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mai 2020
    Un film qui aurait pu être très bon. Son idée originale est très intéressante, mais est très difficile à retranscrire en film. Ici, c'est raté. Vincent Lindon n'arrive pas à nous convaincre de la folie du personnage et on arrive pas à rentrer dans le film.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 447 abonnés 12 368 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2011
    "La moustache" est une oeuvre riche qui peut s'interprèter de diverses manières! Que diable veut raconter le rèalisateur ? En fait le film d'Emmanuel Carrère traite de la paranoïa, un peu comme un roman de Philip K.Dick! Mais pas seulement! il s'agit aussi d'une rèflexion sur le couple, qui montre comment l'être aimè peut vous aider à surmonter un obstacle rencontrè un jour dans votre vie! Cela constitue un beau message d'espoir à une èpoque où les couples se sèparent de plus en plus facilement! En tant qu'acteur, Vincent Lindon, impressionnant et bouleversant, travaille sur le pourquoi et le comment des choses, notamment dans le choix de ses gestes, de ses intonations! Et sur "La moustache", il s'est très bien complètè avec le cinèaste! Un film brillant et incompris, (l'ennui peut paraître total dans l'errance à Hong Kong mais elle ne l'est pas), qui navigue entre thriller psychologique et drame conjugal, avec ègalement la formidable Emmanuelle Devos...
    Carne
    Carne

    74 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2006
    Un film spécial dans la droite lignée de ceux de David Lynch où les excellentes prestations de Vincent Lindon et Emmanuelle Devos transpercent littéralement l'écran.
    Certes La Moustache est une oeuvre complexe et troublante mais Emmanuel Carrère la rend attachante grâce un humour froid et une atmosphère opressante.
    Un film français comme on en fait peu... et c'est pour ça qu'il fait office d'incontournable !
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    967 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mai 2013
    Adaptant son propre roman éponyme, véritable best-seller francophone, Emmanuel Carrère réalise avec La Moustache son premier (vrai) long-métrage, son Retour à Kotelnitch étant un documentaire. Exemplaire, soigné, au scénario prenant et aux acteurs convaincants, l'excellent Vincent Lindon en tête, cette histoire de geste insignifiant phagocytant peu à peu l'univers d'un homme quelconque est tout simplement haletante tant elle reste réaliste de bout en bout... Le film baigne constamment dans une ambiance purement hitchcokienne délectable et inquiétante, surfant entre le thriller contemporain et le fantastique, tiraillant le spectateur et le retranchant dans ses doutes les plus infimes. Marc est-il fou ? Serait-ce une vulgaire blague ou toute une conspiration improbable visant à le rendre totalement cinglé ? A-t-il seulement vraiment rasé sa stupide moustache ? Carrère utilise cette simple touffe de poils afin d'amener son histoire vers une toile paranoïaque gargantuesque avec brio. On pourra hélas être déstabilisé par la deuxième partie du métrage se déroulant en Chine, havre de paix pour le personnage principal qui va déambuler dans les rues de Macao afin de se retrouver, faire le point. On regrettera également une fin en queue de de poisson foncièrement décevante à défaut d'être originale, les explications n'étant pas de mise pour l'écrivain-réalisateur. Dans tous les cas, Carrère signe avec sa Moustache un excellent thriller français à voir et à revoir.
    7eme critique
    7eme critique

    519 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2014
    Une idée archi-simple, néanmoins clairement appréciable, qui ne manquera pas d'égayer notre curiosité. Porté par l'excellent Lindon, ce film provoquera un sentiment de malaise allant jusqu'à jouer avec la psychologie de son personnage principal, tout en créant une paranoïa parfaitement mise en scène. "La moustache" est surprenant et nous bluffe d'un bout à l'autre ; on n'aurait jamais imaginer rester captif sur un sujet aussi simple et pourtant loin d'être banal.
    Fritz L
    Fritz L

    176 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    C’est un film déroutant que celui-là. A mi-chemin entre le conte de la vie ordinaire et le conte fantastique. Une plongée en eaux troubles, celle de Marc, qui nous agresse l’âme. Sur un détail des plus futiles, la moustache disparue que personne ne remarque, sa vie bascule. Et nous suivons sa laborieuse remise en question sur l’amour, la vie, lui-même. A lui de trouver ses réponses, à nous de l’imiter. Loin d’être fastidieux ou pesant, ce film décèle un sublime talent. Talent d’un cinéaste écrivain, Emmanuel Carrère, qui distille avec justesse les images aussi bien que les mots, au point de nous émouvoir d’une manière abrupte et non consensuelle. Talent d’un acteur, Vincent Lindon, qui pourtant prometteur s’est cantonné ces dernières années à des compositions qui frisaient le stéréotype. Tous les deux portent ce film profond et original. A ce niveau là de cinéma, on frise le chef d’œuvre, et l’on s’étonne peu que ce film fût l’un des évènements du Festival de Cannes. Aussi énigmatique que pouvait paraître son titre, ce film obsédant nous laisse un souvenir abscons et opaque. Abscons comme la vie parfois, opaque comme un fleuve un soir sans lune. Une réussite.
    JamesDomb
    JamesDomb

    97 abonnés 1 061 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Déroutant, troublant et passionnant. Carrère nous plonge dans les méandres dans un esprit torturé sombrant peu à peu dans la folie et la paranoia. On pense bien sur à David Lynch quant à l'univers à la fois torturé, incompréhensible, mais Carrère adaptant son propre roman fait preuve d'une rare sensibilité pour un premier film. Ne prenant pas le parti pris de tout révéler, Carrère se permet meme de compliquer l'intrigue avec une rupture totale de ton lors de "l'exil" du personnage principal à Hong-Kong. Ces scènes à la fois poétiques et surréalistes ne font qu'aspirer plus profondément le spectateur dans une spirale psychologique dérangeante mais dans laquelle on sombre volontiers. Vincent Lindon est l'incarnation idéale de cet etre psychologiquement atteint et démontre sa faculté de passer d'un extreme à l'autre, de l'inquiétude à la dérision (le film ne manque pas d'humour) en passant par l'incompréhension et le désespoir. Carrère se révèle etre un bon directeur d'acteurs. Emmanuelle Devos est comme d'habitude très bonne et on regrette que la participation de Mathieu Amalric soit aussi brève...toujours est-il que Lindon, quasiment de tous les plans, n'a jamais été aussi bon et signe ici une ses plus belles prestations.
    groil-groil
    groil-groil

    87 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    « Qu’est-ce que tu dirais si je me rasais la moustache ? » demande Marc à Agnès. « Je ne sais pas, je ne t’ai jamais connu sans. » répond Agnès. Et puis finalement, dans un geste sans doute pas réfléchi, Marc se la rase, cette moustache qu’il arbore depuis de nombreuses années. Lorsque sa femme rentre, elle ne se rend compte de rien. A son grand désespoir. Elle jure même que son mari n’a « jamais » porté la moustache. Les amis de Marc, la famille de Marc, jusqu’à ses parents, jurent la même chose. A ce moment-là, Marc (magnifiquement interprété par Vincent Lindon qui signe là sans doute son meilleur rôle) décroche de la réalité. Il sombre dans un dangereux mélange de paranoïa et de schizophrénie qui le conduira aux portes de la folie, ainsi qu’à l’autre bout du monde, à Hong-Kong, pour une seconde partie de film absolument déroutante et ahurissante, dont nous nous garderons bien ici de vous dévoiler les enjeux. Cette seconde partie de film est si belle qu’elle en arrive à certains instants à évoquer l’immense cinéaste Hou Hsiao-Hsien, tout en se glissant dans des méandres jadis empruntés par Alain Corneau lors du très beau et méconnu « Nocturne Indien ». Emmanuel Carrère était déjà un très grand écrivain (« L’Adversaire » n’est ni plus ni moins que l’un des plus beaux livres écrits ces dix dernières années), et il prend le bon chemin, avec ce deuxième film, pour devenir un grand cinéaste avec ce film mental et presque surnaturel et qui, au fond, ne raconte rien d’autre que le désespoir profond de l’homme d’aujourd’hui, un désespoir résidant aux frontières de la folie.
    Drawer
    Drawer

    73 abonnés 321 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 février 2007
    La Moustache est le seul film français que j'ai eu l'occasion de voir qui me rapelle autant le cinéma de David Lynch. En effet, nous sommes en présence d'un film énigmatique remplit d'indices aidant à la compréhension accompagnés de scènes déroutantes où l'on a du mal à discerner ce qui est vrai et ce qui ne l'est pas. La prestation de Vincent Lindon est vraiment bluffante et contribue nettement à la crédibilité de ce film. La moustache est une belle petite perle française comme on aimerait en voir plus souvent.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    113 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2017
    On peut partir déraisonnablement perdant quand on entend parler d'un film dont le réalisateur adopte un de ses propres romans, surtout quand il a jeté son dévolu sur la molesse de Vincent Lindon. Pourtant, c'est aussi un des rôles les plus convaincants d'Emmanuelle Devos et tous deux y forment un couple idéal que viennent troubler une chose à ne surtout pas spoiler. Il est parfois difficile de ne pas décrocher du rythme qui lancine à la lisière de l'inactivité, mais c'est une histoire qui renouvelle le genre du drame en lui donnant mine de rien des airs spectaculaires et qui va vraiment tourner à Hong Kong des scènes muettes et pourtant tellement parlantes... Chacun y verra son film ; les options sont diverses et diversement réparties, et la déception ne peut venir que de la décision de n'en choisir aucune.
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