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Anysia Spivak
10 abonnés
158 critiques
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3,5
Publiée le 25 janvier 2012
Je ne comprends pas pourquoi ce film s'est fait démolir par la presse.J'ai adoré le scénario et je ne l'ai pas du trouvé comme du déja vu.Les scènes sont remplies de sincérité, sensibilité et d’émotions. Anconina a été convaincant et le beau maxim Nucci m'a épaté. les musiques st merveilleuses. J'ai tellement aimé ce film
Échec injustifié . Certes très commun . Mais tout fonctionne .. et les morceaux sont top . A voir absolument pour les amateurs de comédie sentimentale .
J'ai pas du tout aimé. On se croirait à un casting de popstars, ça a du déjà être dit mais cette remarque résume totalement le film. On sent très bien que les acteurs sont des amateurs et le scénario est trop superficiel !!
Ce film attendrira aux larmes les plus sensibles. Pourtant, bien que musicalement ça se laisse écouter, le scénario ne vaut pas un clou, avec son message d'amour à deux centimes.
C 'est très moyen notamment à cause de la qualité plutôt médiocre des chansons. Reste le toujours formidable et trop rare Richard Anconina ainsi que la belle Valeria Golina.
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1,0
Publiée le 12 juin 2015
« On court après l'amour mais sans s'arrêter mais sans en donner assez. On court après l'amour sans se demander si on sait aimer assez jusqu'à la tolèrance...» Echec total pour ce film d'ados naïf qui s'èvapore sur un rèsidu conventionnel de dèjà vu extrêmement mince ("Bouge!" de Jérôme Cornuau avec Ambre Boukebza et Ophèlie Winter) dont on a envie d'ècrire qu'il n'y a pas grand chose à ècrire si ce n'est que son histoire dèfile comme une transparence èvidente! Est-ce cette transparence, cette absence et de pâte et de style qui font que "Alive" èchappe totalement à son sujet et rèellement ne capte rien de ce qu'il devrait saisir ? Voilà donc la France des annèes 2000! Un boom nouveau des èmissions musicales de tèlè rèalitè où le très mauvais Maxim Nucci est en quelque sorte le porte drapeau! Dans le film, Nucci n'est pas chanteur et ne veut pas chanter...et pourtant il chantera! Milieu pourri pour les uns, tubes en puissance pour les autres! Faites votre choix! En metteur en scène de comèdies musicales, Richard Anconina fait le minimum syndical face à une Valeria Golino quasi-inexistante! A part ça, les amateurs de la « Nouvelle Star » reconnaîtront Christophe Willem ( « Quand je danse, on dirait un piquet ! » ), bien avant sa notoriètè...
Surfant sur le succès des comédies musicales qui déferlent en ce moment en France, Alive a tout pour réussir, disposant d’un casting assez intéressant avec notamment la présence de Richard Anconina, qui se fait assez rare dernièrement mais qui fait toujours plaisir à voir à chacune de ses apparitions. Les chansons écrites par Maxim Nucci (il interprète Mathieu) sont écoutables, sans être véritablement des chefs d’œuvres mais collent bien au niveau des comédies musicales du moment dont les chansons ne sont pas assez bien écrites au point d’avoir la mélodie dans la tête en sortant de la salle, les chansons étant diffusés en boucle tout au long du film. On a aussi l’impression que le film dont Frédéric Berthe en est le réalisateur veut surfer sur la tendance des émissions mélangeant musiques et réalité dont La Star Academy (où la femme de Maxim Nucci vient) ou encore la Nouvelle Star : Christophe Willem. La musique donne donc l’impression d’être travaillé de façon à rendre le contenu assez entrainant comme musiques, bien que la mise en scène pour la comédie soit assez moche. Pour ce qui est de l’intrigue principal, celle-ci est assez basique voir simplette d’un pauvre rêveur qui était il y a quelques années au sommet de sa gloire et qui aujourd’hui n’a plus grand-chose à part ces filles et qui tente de réécrire une nouvelle comédie avec les lettres que son ex-femme lui avait écrit. Le réalisateur ne cherche donc pas à nous montrer la vie telle qu’elle devrait être, comment un écrivain de comédie musicale en manque d’argent peut continuer à vivre dans une belle maison ? On a donc droit à la place de découvrir un monde candide dont on ne peut se sentir proche tant ceci n’est qu’illusion. On comprend ainsi selon le film que de nombreux talents cachés se trouvent dans la société et que l’on sait, en voyant leur physique et personnalité qu’ils ont des talents rares et forcément ce sont des beaux gosses...critique sur:cthiboy.blogs.allocine.fr
Bienvenue chez les Bisounours. C'est un monde merveilleux dans lequel un mannequin, qui chante comme un dieu, ne veut pas que ses musiques soient connues et ne veut pas chanter, parce que la gloire, le pognon, et les femmes, il s'en moque. Un monde dans lequel les problèmes se résolvent en un clin d'œil. Un monde dans lequel on use et abuse des ralentis, dans lequel une douce musique mariée à de mièvres paroles accompagne presque chaque scène, pour que le spectateur sorte ses kleenex. Bref, un monde qui n'est pas crédible et qu'on a envie de fouler au pied comme un mauvais hamburger de chez McDo.
Sincèrement, c'était moins pire que ce que je pouvais craindre. On sent qu'il y a un minimum de professionnalisme devant, derrière la caméra et à l'écriture, rendant le spectacle à peu près supportable et pas trop long. Maintenant, une fois écrit cela, on a plus ou moins fait le tour... Au-delà d'un scénario cousu de fil blanc, prévisible de bout en bout et n'hésitant pas à rajouter des ficelles particulièrement grossières (le personnage d'Eric Naggar, pas loin d'être honteux), on est surpris de voir parfois le manque de maîtrise de Frédéric Berthe, l'amateurisme, la grandiloquence de certaines scènes laissant pantois. Dommage, les chansons n'étaient pas si mal, tout comme l'interprétation (du moins les premiers rôles, le reste est beaucoup plus laborieux), ce qui rend d'autant plus incompréhensible ce final sans envergure, sans talent, presque comme si les (efficaces) répétitions n'avaient pas servi à grand-chose. On évite le désastre total, mais il est peu dire qu' « Alive » ne le restera pas dans nos mémoires.
Frediric Berthe n'est décidément pas un bon réalisateur. Ce film comporte tous les clichés possibles. Ils sortent tous es uns après les autres. Une musiques des années quatre vingt pour un film tourné vingt ans plus tard. Richard Anconina, malgré tous ses efforts, n'arrive pas à sauver le film. Richard Wilhem au casting.