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SB88
24 abonnés
1 160 critiques
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1,5
Publiée le 20 juillet 2021
Même pas digne d'être un téléfilm. Tout y est facile et mal joué comme dans une sitcom, c'est ridicule. Même les chansons sont loupées, très mal écrites ! Une catastrophe 1,4/5
Un petit film bien "light", qui vaut surtout par la bonne interprétation de Richard Anconina que l'on ne voit pas assez souvent. Inspiré des Star Ac et compagnie le scénario est construit autour d'une ancienne star qui veut faire un come back. Tout cela est bien maigre et ressemble plutôt à un mauvais TV film.
Voulant surfer sur les phénomènes Popstars ou Star Academy, ALIVE est une purge infâme qui a comme différence avec un mauvais téléfilm d'être porté par des acteurs connus tel Richard Anconina ou Valéria Golino. A noter toutefois que ce film a permit à certains artistes musicaux de faire leurs premiers pas comme Christophe Willem ! Voilà pour le demi-point.
Bien entendu il ne faut pas voir dans « Alive » un film dauteur, un film intellectuel Ce film na quune ambition : distraire et il y arrive plutot bien. On rit intérieurement de cette longue caricature où tout nous guide vers les émotions souhaitées par le réalisateur soulignées par une musique balourde mais efficace ! Limpression de regarder un clip de plus dune heure nous submerge. Rien nest réaliste mais était-ce le but de F.Berthe ? dAnconina ? Non ! Alors le contrat est rempli ! Il souhaitait nous faire passer un agréable moment. La voix de Ginie Line et les chorégraphies y contribuent pleinement ! Attention phrases cultes : « Dis à lamour comme je taime » & « La femme est lavenir du futur ». on applaudit et on en redemande !
Pauvre Richard Anconina qui se débat au milieu de ce film pathétique. Au global, on a le must du genre :un enchainement de musique pas top, des danses mal orchéstré et des personnages creux comme un puit sans fond... A zapper vite
Le fils pistonné du réalisateur des Grandes marées, biberonné à la sauce commerciale-sentimentalo-sitcom-abproduction-TF1 adapte la star académy au grand écran: aucune once de talent. Le fifils rêvait-il d'être réalisateur avant d'écouter Papa le compromettre par de vils étrons? En tout cas il aut aimer la tête de veau pour tenir jusqu'au bout sans zapper sur Thalassa.
Comment ne pas se laisser tenter par le visionnage de ce que le magazine DVDMania qualifia de "grand nanar malade" ? Allant gaiement au devant de la catastrophe, sachant que musicalement cétait à peu près tout ce que je détestais, jai donc osé "Alive". Osé est bien le terme car cest aussi stupéfiant quannoncé. Ça nest pas par méchanceté que je dirai que cest risible. Ya même un passage où, après avoir stoïquement gardé mon sérieux, je nai pu mempêcher de pouffer de rire. Des choix de réalisation sont archicontestables : quelle erreur davoir un générique de début en forme de clip de Maxim Nucci ! Mais en termes deffets plombants, labus de ralentis lemporte haut la main Alex Meyer est en colère, il jette un papier par terre, hop ralenti ! Concernant les chansons, elles sont dune vacuité hallucinante, typique de ce qui se produit actuellement et dont raffolent les gamines : des paroles faussement puissantes qui débitent comme des révélations des évidences du genre "Cest comme quand je crie que je suis vivant" ou encore "Le plus grand de tous les bonheurs au Monde c'est d'être là pour ceux qui vous aiment". Bref, un carnage artistique de premier ordre. Lauteur de ce monument présente néanmoins bien (il est mignon et chante bien). Des spectateurs prennent ce type de cinéma au sérieux et sont émus, preuve quon assiste à lémergence dune forme de sensibilité frelatée. Il ny a strictement aucune émotion dans ce film, cest artificiel à lextrême. Le milieu est pourri nous souffle t-on, loccasion de faire une histoire manichéenne au possible (Jérôme qui souhaite léchec dAlex). Nest pas Alan Parker qui veut et au lieu de réaliser ce qui aurait pu tendre vers un "Fame" remis au goût du jour, Frédéric Berthe nous sert un spectacle affligeant. Dommage pour Richard Anconina quon aime bien malgré tout. Son personnage de père séparé présentait un minimum dintérêt, les valeurs familiales exposées méritaient simplement dêtre traitées dans un autre contexte.
Une note aussi élevée surtout grâce à la musique et l'originalité de faire un film sur le monde des castings et le milieu artistique (même si on en voit beaucoup dans les télé-réalités déjà, c'est évident). Après, c'est pas toujours très fluide et Richard Anconina ne tient pas là son meilleur rôle, ni même est au sommet son art de réalisateur, mais peu importe c'est mon truc ce genre de films.
On se demande pourquoi et comment peut-on encore aujourd'hui sortir une telle bêtise, d'une affligeance telle qu'elle n'est que nausée et écoeurement face à ce divertissement aussi passsionnant qu'une émission de télé réalité. Irrécusablement mauvais dans toute sa chair où l'âme lui reste inconnu, le ratage est intégral. Tout d'abord, la synopsis est d'une ingénuité désespérément navrante, accumulant les poncifs comme des perles. Histoire simplette d'un pauvre rêveur divorcé en quête d'inspiration pour sa nouvelle comédie musicale niaiseuse, le pauvre réalisateur Frédéric Berthe expose une peinture tellement candide de la société qu'elle ne demeure qu'illusion, d'une crédulité tellement effrayante que cela devient repoussant. Il y a donc dans ce monde d'imbéciles beaucoup de gens honnêtes et talentueux, comme le comédien défectueux Maxim Nucci, pauvre caissier de grande surface dont le talent artistique pour la musique, le chant et même la danse se voilent par son caractère timide, réservé, donc romantique. Le physique corporel des acteurs est comprit avec le ticket d'entrée, autrement cela n'irait pas de soi. Car les artistes moches, ça n'existe pas. En outre, les méchants, comme le banquier, sont aussi dangereux qu'une épine sur une rose de deux mètres. Et bien qu'on est tous envies de les achever tous et un par un, on se désole surtout de voir un Richard Anconina au plus bas de sa carrière. Cette représentation stupide du rêve américain à la française, dans lequel n'importe qui peut devenir une star, égratigne le spectateur de constater une définition aussi basse de l'art, psychiquement abruti par deux de tension. Cette horreur monumentale, ce désastre cinématographique, est la somme d'un enjeu aussi transparent que son intérêt d'exister. Impossible donc de vous recommander une chose aussi antipathique pour l'eprit, Alive est tout ce que l'on peut faire de plus mauvais au septième art. Il peut-être gloire pour certains, il n'est pourtant que misérable.
Un essai de comédie musicale qui ne prend pas, car l'histoire est ce qu'il y a de plus banal, et on n"y croit tout simplement pas. Ca se finit un peu trop parfaitement. Richard Anconina n'est absolument pas crédible en chorégraphe, dès qu'on le voit danser, on essaie poliment de ne pas rigoler. On a droit à tous les clichés de ce genre de film : celui qui reste dans l'ombre mais qui est un dieu de la musique, celle qui veut abandonner, car c'est "trop dur" mais finalement elle reste, l'histoire d'amour, le divorcé qui reconquiert sa femme, ... On n'y échappe pas. Et pourtant, le tout se laisse regarder, car on est habitué à ce genre de film. La musique, de plus, est assez sympathique (si on est pas trop regardant sur les paroles). Par contre, le rendu final de la comédie musicale qui est montée dans le film n'est pas terrible.
Je me rappel que j'avais adoré ce film quand j'étais plus jeune. Les musiques, les chorégraphies, le jeu de lumière était superbe si mes souvenirs sont bons. En tout cas je garde une bonne impression de ce film. A l'époque j'étais bien moins exigeant sur les films que je regardais. Néanmoins c'est une très belle comédie.
c'est qd meme moins que moyen, c'est nul. Bon allez une étoile pour les acteurs mais le film est cousu de fil blanc, et certains se prennent pour des stars alors qu'ils sont loin d'en etre, hein maxim...