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Le Christ Cosmique
54 abonnés
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5,0
Publiée le 19 juin 2013
"Appréciez la vie telle qu'elle est". Voila ce que représente Dead Poets Society, une ode à la vie, à ses moments, a ses envies. Mais c'est aussi aune critique du conformisme dans lequel règne la société actuelle. Ce professeur de Lettres quelque peu excentrique va apprendre a ses élèves la chose la plus importante à inculquer à une personne : le gout de la vie. Au contact de ce nouveau professeur, les élèves vont découvrir que de nouvelles voies d'avenir leur sont promises et il vont apprendre que leur pensée ne doit pas être altérée par un ordre établi. Ne vous laissez pas dicter votre avenir, laissez libre cours à vos envies et surtout profitez du moment présent. La liberté de penser, d'avoir envie de réaliser ses rêves et de s'affirmer en tant qu'unique personne sont les thèmes que nous présentent le réalisateur par le bais de la plus belle des paroles : la parole poétique. Mais il n'est pas question de réciter des poèmes, non, les poèmes viennent d'eux même sur l'instant présent. La poésie ne se parle pas, ne se lit pas, elle se ressent à haute voie et c'est magnifique. On pleure, on rit, on est béat d'admiration devant ce professeur si peu conventionnel qui arrive à chambouler la vie de ces étudiants. Nous sommes tous perdus en plein océan, un océan représentant notre vie, notre quotidien et nous avons tous besoin d'un capitaine pour nous guider. "O captain my captain", show me how to be myself, give me what I derserve : be me. Et n'oubliez pas : Carpe diem !
Succès indéniable et indémodable du trop rare Peter Weir, réalisateur de "Witness" et "Master & Commander" notamment, cet hymne à la joie de vivre met en scène avec beaucoup de sensibilité l'éveil à la liberté de penser de jeunes étudiants étriqués dans leurs costumes académiques et leur milieu social, la haute bourgeoisie américaine des années 50. Habité par sa passion pour l’initiation à la vie, et son amour de l’anticonformisme, Robin Williams campe un fabuleux professeur Keating qui trouve en son élève, le non moins fabuleux Ethan Hawke, un merveilleux écho d’optimisme à sa leçon de vie. Tous deux délivrent l'une de leurs meilleures interprétations à ce jour.
Ce film est pour moi l'un des chefs d'œuvres du 7ème art. Il regroupe tout, des scènes comiques, tristes, culturels, actions,.... De plus, les acteurs sont époustouflants menés par un Robin Williams de très grande classe. Film exceptionnel.
Poétique, émouvant, drôle et un Robin Williams vraiment épatant dans le rôle d'un professeur de langue aux méthodes d'enseignement sortant de la tradition de la fameuse école supérieure de Welton. Une critique n'a pas besoin d'être longue pour dire ce qu'on pense d'un film, alors je me contenterais de reprendre deux répliques de ce que le fameux professeur Keating dit et apprend à ses élèves comme à nous, les spectateurs, dans ce long-métrage formidable de Peter Weir : "Ô moi, ô la vie, tant de questions qui m'assaillent sans cesse. Ces interminables cortèges d'incroyants. Ces cités peuplées de sots. Qu'y a-t'il de beau en cela ? Ô moi, ô la vie ?" Réponse : Que tu es ici. Que la vie existe ! Et l'identité. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Que le prodigieux spectacle continue et que tu peux y apporter ta rime. Quelle sera votre rime ?" Et enfin, les deux mots latin qui donne tout un sens à ce film : "CARPE DIEM" ! Que l'on traduit par "profitez du jour présent", ce qu'on se doit de tous faire car la vie est trop courte pour réfléchir indéfiniment et se tracasser alors qu'il y a tant à faire.
" Le cercle des poète disparus " très bon film dramatique de peter Weir . C'est l'histoire de todd Anderson ( ethan hawke ) un garçon plutôt timide qui est envoyé dans la prestigieuse académie de welton réputée pour être l'une des plus fermées et austères des États Unis . Il va faire la rencontre d'un professeur de lettres plutôt étrange nommer mr Keating ( robin Williams ) qui va les encourager a toujour refusé l'ordre établi . Les cours de mr keating vont alors totalement bouleversé la vie de l'étudiant et de ses amis ... Suite a la mort de robin Williams j'ai décider de revoir l'un de ses plus grands films a savoir " le cercle des poetes disparus " de Peter Weir . " le cercle des poètes disparus " est un très bon film dramatique . L'histoire est vraiment prenante avec ce prof pas comme les autres qui va totalement bouleverser la vie de ses élèves . Robin Williams est extraordinaire dans le rôle de John keating ce professeur de lettre pas comme les autres qui va totalement bouleverser la vie de ses étudiants . Il va leur enseigner qu'ils faut qu'ils profite a fond du jour présent avec sa devise carpe diem ( cueille le jour présent ) . Il va leur dire qu'ils faut qu'il profite de la vie et qu'ils ne faut pas qu'ils suivent l'ordre établit . Ils faut qu'ils réalisent leurs rêves sans que personne ne leur imposent leurs choix de vie . Ils ne faut pas qu'à la veille de leur mort ils se disent " j'ai oublier de vivre " . Il va leur enseigner ça a travers la littérature et la poésie dans des cours pas comme les autres .On aurait tous aimer avoir un prof comme celui jouer par robin Williams dans le film . Robin Williams était vraiment un excellent acteur qui pouvait passer du rire au drame avec une facilité déconcertante et il nous le montre vraiment dans ce film . Il va vraiment nous manqué. Les autres acteurs sont également très bons notament les jeunes acteurs qui jouent les élèves de robins Williams avec nottament le jeune ethan hawkes très bon en étudiant timide . Au fur et a mesure du film ils vont s'ouvrir a la vie . Ils vont décider de réaliser leurs rêves et profiter de la vie . Ils vont faire ce qu'ils ont envie de faire et ils vont refuser qu'on leur impose leur choix de vie comme l'étudiant qui va décider de faire un métier qu'il aime plutôt que le métier imposer par ses parents peu importe les conséquences que sa puisent avoir . Un très beau film qui jongle a merveille entre rire et émotion . Un film qui allie a merveille scènes drôle ( les cours de keating ) et scènes dramatique émouvante ( spoiler: le suicide de l'étudiant , le départ de keating ) . La dernière scène du film est vraiment très émouvante . Une scène triste mais belle en même temps . spoiler: Triste car keating quitte ses élèves et c'est déchirant mais belle car il a réussit a leur enseigner ce qu'il voulait a savoir ne pas qu'ils suivent l'ordre établit et qu'ils fassent ce qu'ils ont envie de faire et c'est exactement ce qu'ils vont faire quand ils décident de tous monter sur la table pour lui dire au revoir . Tout un symbole . Un très beau film qui nous fait réfléchir et qui nous fait comprendre qu'il faut vraiment profiter de la vie et vivre a fond le jour présent .
Avant de donner à Jim Carrey le rôle de sa vie dans son Truman Show, Peter Weir était déjà celui qui avait conduit Robin Williams à lapothéose en lui offrant le rôle de John Keating, ce professeur sarcastique qui vient dynamiter les pesantes traditions dune académie prestigieuse. Le Cercle des Poètes Disparus veut nous enseigner lart de profiter de la vie en sémancipant du conformisme. Il y parvient grâce à une grande subtilité de la réalisation qui réussit à éviter lécueil du plaidoyer ou du manichéisme.
Le Cercle des poètes disparus est un film du réalisateur australien Peter Weir à qui l'on devra plus tard notamment The Truman Show avec Jim Carrey et Master and Commander avec Russell Crowe. Sorti début 1990 en France, il rencontrera un large succès puisque plébiscité par plus de 6 millions de spectateurs. Il obtiendra même le césar du meilleur film étranger. Tout se passe dans la prestigieuse académie de Welton où ses étudiants se dirigent en grande majorité vers des professions d'avocats ou de médecins. Là, un professeur de littérature plutôt orignal, John Keating va apprendre à ses élèves la fameuse maxime : "Carpe Diem", c'est à dire "vis l'instant présent". Qui n'a jamais rêvé d'avoir un tel prof de français ? Qui nous explique que la poésie ne se théorise pas mais se lit et se vit ? Robin Williams est habité par son rôle et nous fait passer du rire aux larmes avec une très grande aisance. Il sera même nominé à l'oscar du meilleur acteur. Bien que sa tentative d'encourager ses étudiants de bousculer l'ordre établi, à ne pas laisser aux autres le soin de décider de nos vies, soit vouée à l'échec, il est rare que de telles morales au cinéma soient assénées avec autant de réalisme. On y croit car il y a beaucoup de délicatesse et de pudeur dans ce film renforcé en cela par la partition de Maurice Jarre. Il m'a fait aussi me rendre compte que les traditions, c'est peut-être bien, mais se moderniser est mieux. Grand film.
Véritable ode à l’autodétermination et à la liberté de penser, pamphlet au conformisme et à l’enseignement universitaire de bas étage, le cercle des poètes disparus est une œuvre criante de vérités. « Carpe Diem » (vis l’instant présent) ou encore « ne regrette pas une fois la mort arrivant ne pas avoir vécu une expérience » ne sauraient que trop bien exprimer le désir du réalisateur de nous enjoindre à gouter le plaisir de la vie et de ne pas nous laisser manipuler par les volontés de nos proches. Le professeur de lettre, magistralement incarné par Robin Williams, parvient à faire véhiculer à ses élèves le goût de la vie, l’importance de notre avenir et surtout le refus de l’ordre établi. Refusant de se plier au régime autoritaire dicté magistralement par le directeur de l’école ainsi que les parents d’élèves, le professeur démontre que notre manière de penser ne doit pas être altérée par celle établie par la société. Un message tabou à l’époque et malheureusement encore d’actualité. Prenant du début à la fin, interprété par de très bons acteurs, une fin bouleversante… Le cercle des poètes disparus vous laissera une impression que seuls les grands Films et les plus beaux poèmes parviennent à vous transmettre. Peter Wier nous offre une réalisation sans faute.
En 1990, Peter Weir (Master and commander, Les chemins de la liberté) frappe très fort avec « Le cercle des poètes disparus ». Véritable ode à la liberté de penser, ce film bouscule la rigidité et l’académisme qui règne dans certaines hautes écoles. Cette profonde réflexion sur les pressions subies par les élèves, l'omnipotence de certains professeurs et les exigences des parents donne une œuvre humaine et sensible qui touche le plus grand nombre. La dimension artistique, littéraire et poétique, développée par le réalisateur, accroît encore ce vent de liberté qui tente de bousculer le système. Parallèlement, il fait toucher du doigt que l'enseignant, même le plus libéral, influence forcément la personne qui l'écoute, avec des conséquences parfois dramatiques. La classe de ce professeur hors norme reste toutefois un espace de liberté dans lequel on se retrouve et qu'on idéalise... Ça donne envie de monter sur le bureau pour voir le monde sous un angle différent. Encore une petite chose, Robin Williams est un acteur extraordinaire et ce rôle lui va comme un gant.
Le Cercle des Poètes Disparus est un chef d’œuvre porté par des acteurs éblouissants en émotion et avec en premier rôle un Robin Williams magnifique. Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé par ses parents dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être une des plus fermées et austères des Etats-Unis, là où son frère à connu de brillantes études. Dans cette université il se fait de nombreux amis dont Neil Perry avec qui il s’entend très bien et partage sa chambre. Mais il fait également la rencontre d’un professeur de lettres anglaises un peu étrange, Monsieur Keating, qui les encourage à toujours refuser l’ordre établi. Ses cours, plutôt originaux, vont bouleverser la vie de l’étudiant et de ses amis. Le Cercle des Poètes Disparus fut pour moi une découverte à la fois drôle et émouvante de cette histoire magnifique où des élèves se libèrent de l’emprise de leur académie qui se veut stricte et de leur parents qui dirige en quelques sortes leurs études et leur vie, grâce à un professeur de littérature pas comme les autres. Le film de Peter Weir fascine du début jusqu’à la fin, en particulier lors des scènes de cours avec Robin Williams qui sont toutes géniales, là on se dit qu’on aimerait avoir un professeur comme lui qui monte sur les tables, où les élèves se trouvent une passion pour la poésie et aussi pour Mr Keating qui est en quelques sorte leur source d’inspiration qui grâce à la voie nouvelle qu’il leur impose sur la base de la maxime latine Carpe Diem, les élèves redonnent naissance au Cercle des Poètes Disparus, un groupe d’esprits libres et oniriques. Le scénario magnifique du film, il a reçus l’Oscar du Meilleur scénario original en 1990, est au début superbe avec la vie des étudiants bouleversées par Keating et bascule d’un coup dans le tragique avec la scène fatale du suicide de Neil qui m’a énormément émue et choqué, à ce moment là du film je me suis dit « C’est un chef d’œuvre! » même si les scènes avec Williams le faisait déjà basculé dans cette catégorie. Les acteurs du film sont, comme je le disais magnifique, Robin Williams tient ici un de ses meilleurs rôles au cinéma, émouvant, drôle, il est un véritable acteur qui peut passer du comique au dramatique. Il y a ensuite le jeune Ethan Hawke qui joue Todd Anderson et est superbe ainsi que Robert Sean Leonard qui est bouleversant dans le rôle de Neil Perry. Le Cercle des Poètes Disparus restera un chef d’œuvre du cinéma pour son histoire magnifique et ses acteurs superbes. « Oh capitaine, mon capitaine!» ce film est un chef d’œuvre!
Nul mot, nul effort ne sera accompagné d’une aussi belle prestation que celle du Cercle des Poètes Disparus… L’australien Peter Weir revient encore plus fort que jamais. Dès son second film Pique-nique à Hanging Rock, un succès national, on l’a ensuite reconnu pour ses œuvres dont Harrison Ford (Witness, The Mosquito Coast) et Mel Gibson (Gallipoli, l’Année de tous les dangers) lui ont permis de se forger une image noble et intelligente. Il exploite un souvenir perdu de nos jeunesses : la littérature. Il s’agirait, je pense, d’une liberté confuse et parfois craint de nos jours, mais la douceur développée ici nous impose le contraire. Un parfum nostalgique s’offre à nous, uniquement dans son meilleur aspect. La poésie, un mélange de thèmes divers et variés dans l’unique d’exprimer ses sentiments personnels. Une beauté intérieure unique, car la liberté de l’esprit, motrice du déluge poétique, forme toute la force d’une passion enfouie. Son écoute est paisible, car là où l’esprit s’égare, il n’est jamais loin d’une réalité liée à une de nos volontés. C’est pourquoi Robin Williams fut choisi comme orateur modèle de cet art. Il exécute pour notre plaisir le synonyme d’inspiration, en s’appuyant sur son rôle de précepteur singulier. Une leçon de vie se plante alors aisément, contrairement à une logique formelle. Mais ne négligeons pas Ethan Hawke à ses débuts, très convaincant, ainsi que Robert Sean Leonard interprétant un rôle essentiel dont la chute surprend toujours… Terminons par l’appel de Maurice Jarre, ce compositeur français qui a soutiré tout un emblème de ce chef d’œuvre. Il a su remettre en contexte de façon vigoureuse une jeune génération, avec un fond noble en marque de respect pour autrui. Un son qui dénote fort bien un style britannique à l’américain. Une véritable jouissance se savoir une parfaite harmonie, équilibre de sagesse… On en retiendra une expression nouvelle sous un nouveau sens, à accepter ou non : « ô capitaine ! mon capitaine ! ». C’est à travers une telle œuvre que le 7ème Art trouve tout son sens !
Huit ans avant son chef d'œuvre "The Truman Show", Peter Weir réalisait "Le Cercle des poètes disparus". Le film se déroule à l'académie de Welton, une très prestigieuse école mais également très stricte. Cette année là, l'école accueille un nouveau professeur d'anglais : M. Keating (Robin Williams). Les élèves vont se rendre compte que ce nouveau professeur est très différent des autres, sa devise étant : Carpe Diem ("Cueille le jour présent"). Ils vont découvrir qu'il avait autrefois fait parti de l'école et qu'il avait formé avec ses amis Le Cercle des poètes disparus. Ce film est d'une grande beauté et d'une grande intensité. On se lit d'amitié avec le groupe d'ami que le récit suis, chacun ayant sa propre personnalité et ses propres problèmes. Les jeunes acteurs qui ont joué ces étudiants sont tous impeccables. On les voit être d'abord étonnés par le nouveau professeur puis à l'apprécier, on se met alors à notre tour à l'apprécier. Robin Williams est magistral, il joue un personnage assez excentrique mais tellement passionnant (si seulement tous les profs pouvaient être comme ça !). Le film est rythmé par les cours de ce professeur et par les réunions du groupe d'ami. On attend à chaque fois de retourner en classe et quand on y est, on savoure le cours. Peter Weir a très bien su filmer la nature qui entoure l'école, c'est elle qui donne en partie la beauté du film. Bien que le film dure 2 heures, on regrette qu'il ne soit pas plus long. On souhaiterait voir toute l'année scolaire se dérouler. Et quand arrive la fin, on ne peut qu'être ému par les évènements qui se sont produits, par le fait de se séparer de ce groupe d'élève et de leur professeur. Le scène finale est d'une grande émotion et une fois le film finit, on ne désire plus qu'une seule chose : profiter du jour présent.
Mon film culte. Par ses répliques inoubliables, par ses acteurs (Williams bien sur mais aussi Sean Leonard ), par ses prises de vue et par sa musique. Une seule envie, suivre le capitaine Kitting pour ce voyage. A voir absolument si ce n'est déjà fait...
Le Cercle des Poètes Disparus : "Oh capitaine, mon capitaine" !! Film transcendant et profond, très belle histoire. "Cueille dès maintenant les fleurs de la vie", tout commence avec cette phrase aux multiples sens, la vie, la mort, l'amour, la liberté sont d'autant de thèmes abordés dans cette œuvre cinématographique qui relève plus du chef-d’œuvre que du simple film. On ne peut s’empêcher de se sentir concerné. Les acteurs sont tous géniaux, la musique est sublime et les dialogues dépassent les simples échange verbaux vide de sens que l'on nous sert d'habitude. Un grand classique à voir absolument. Une scène finale à en donner des frissons ! Et n'oubliez pas : "Carpe Diem" et comme l'a dit le grand William Wallace " Tous les hommes meurent un jour, mais peu d'entre eux vivent vraiment ".
Ce film superbement réalisé et qui ne ressemble à aucun autre est non seulement un chef d'œuvre de tact et d'intelligence, c'est un hymne à la liberté et à l'épicurisme. Les images sont superbes et Robin Williams étonnant