A projeter à l'Elysée d'urgence. Alors que nos gouvernants ne songent qu'à supprimer l'Histoire de l'enseignement et d'y substituer des cours d'entreprise, si, si..Déjà que les gens ne savent rien,il semblerait que ce soit pourtant trop.Apprendre à penser par soi-même , vaste programme. Le film est agréable, bien que très " Hollywoodien", pas mal joué et réalisé. Mais la poésie n'y est pas aussi présente que le titre pouvait le laisser sipposer.C'est la scène finale qui emporte l'adhésion.
Un beau film, marquant de par ses idées et sa façon de les exprimer, suggérant une philosophie de la vie des plus convaincantes par l’intermédiaire du professeur John Keating, sublimement interprété par Robin Williams ! Dans le fond "Le Cercle Des Poètes Disparus" n'a rien raté, en revanche, il faut reconnaitre que c'est un film qui, même si cela ne relève pas du véritable ratage, est trop simple dans la forme, et empêche l'ensemble de décoller avec autant de force qu'il aurait pu le faire, avec tout de même quelques scènes d'une grande puissance.
Peter Weir a su me convaincre avec Master and Commander mais surtout le génialissime Truman Show. La notoriété et les critiques autour de ce mystérieux cercle des poètes disparus me faisaient donc penser que j'allais regarder un chef d'œuvre. Et bien grosse déception, le scénario est sans grand intérêt si ce n'est de vanter bêtement le fait de profiter du jour présent "Carpe Diem". Les jeunes acteurs ne sont pas mauvais pour les principaux, mais certains seconds rôles sont loin d'être convaincants à l'image d'un Robin Williams plat et sans envergure. La réalisation est très conformiste pour un film militant d'ailleurs contre cet anti-conformisme. La première heure est très longue, la seconde un peu plus intéressante mais vraiment pas assez pour relever le niveau...
Un sujet original pour une histoire épatante. De très bon acteurs et un Robin Williams en pleine forme. Dommage que tout ne concorde pas, ce qui laisse place à beaucoup de raccourcis et facilitées. Et surtout, que la réalisation et le montage sont horriblement moches. Dommage. La fin est émouvante et redresse le tout. Mais on passe un très bon moment.
Que dire... On ne ressort pas indemne de ce film. C'est une ode à la vie, Carpe Diem, toute cette vision de la poésie est à la fois drôle tout en restant hors d'une moquerie de celle-ci. Bien au contraire. Les personnages, du principal aux secondaires, on s'y attache ou on le méprise. Bref, impossible de rester insensible devant eux. Un chef d'oeuvre.
Loin d'être le film culte dont on entend des critiques élogieuses depuis tant d'années "Le cercle des poètes disparus " en reste pas moins original mais hélas le tout est sans émotion. Un film à classer dans la catégorie des films "fades", on attend de l'émotion, des larmes aux yeux et non ça ne vient pas puisque l'on s'ennuie la majeure partie du temps et que la prestation de Robin Williams ne sauve pas le film hélas bien trop surestimé.
Adolescent... j'avais trouvé ce film mièvre, simpliste et ridicule. (le sujet du film : Quand on est un poète, on est un rebelle, et inversement). Et bien je l'ai revu, et force de constater que je suis toujours d'accord.
franchement je n'ai pas accroché,les étudiants sont à claquer,surtout lors des rèunion dans les grottes.en lisant de la poésie ils arrivent à etre limite défoncés comme si ils avaient pris de la coke. je trouve robin williams pas assez imposant,j'attendais beaucoup plus de lui.
- Dans une école bourgeoise et stricte des années 50, un professeur va à l'encontre de la politique de l'établissement en enseignant la liberté de penser à ses élèves dans le cadre de son cours de lettres. - Robin Williams (décédé en 2014) est hallucinant dans ce film : c'est lui qui mène ce film de bout en bout et en fait une vraie réussite
Un des films les plus gnangnan qu'il m'ait été donné de voir, 2h et quelques d'ennui. La philosophie carpe diem déclamée par des étudiants neuneus (insupportables) cela donne un curieux mélange. J'ai été étonné de voir autant de critiques positives sur ce film. Surement n'ais-je pas la fibre poetique.