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    May
    Note moyenne
    3,0
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    199 critiques spectateurs

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    DreamyFramesSeeker
    DreamyFramesSeeker

    11 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2024
    Un film d’horreur psychologique teinté d'une atmosphère dérangeante et intimiste. Il dépeint le parcours tortueux de May, une jeune femme solitaire, marginalisée, en quête désespérée de lien humain. Angela Bettis, dans le rôle-titre, incarne avec une sensualité discrète ce personnage fragile et troublant, infusant une mélancolie et une intensité qui fascinent. Son jeu, nuancé et captivant, est l'âme même du film, conférant à May une vulnérabilité envoûtante qui la rend aussi attachante qu’effrayante.

    Le rythme du film est volontairement lent, presque contemplatif, amplifiant tension et inconfort. Chaque plan semble minutieusement pensé pour s’attarder sur les émotions à fleur de peau de May, et cette lenteur installe une atmosphère hypnotique et singulière qui colle parfaitement au sujet. McKee réussit à créer une œuvre aussi subtile que captivante, où l'attirance et l'inquiétude se mêlent constamment.
    Strangers57
    Strangers57

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2023
    May ...
    ou comment ne pas se dégoûter d'un film d'horreur.
    Des scènes plates, un jeu d'acteur plat, en gros dans ce film rien ne vas. Une poupée style Annabelle qui ne sert a pas grand chose. Donc je déconseille ce film ...
    Julien Fovet
    Julien Fovet

    4 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 septembre 2022
    Attention spolier ce n'est pas un film d'horreur, au vu des avis sur le site je me suis laissé convaincre par le pitch intéressant, mais pas du tout, film long, spoiler: sa pseudo descente au enfer est très mauvaise avec le verre de la poupée casser par les enfants, je m'attendais à ce qu'elle casse seul lorsqu'elle atteindrait le point de non retour, les meurtres sont médiocre, répétitif et bâclé en 5 min. Fin de film vu au début,
    aucun rebondissements et aucune surprise. Film vu et vite oublier, j'avais pourtant de grand espoirs.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mai 2022
    Pour son premier long-métrage en tant que réalisateur, Lucky McKee nous offre avec May un film d'horreur aussi charmeur que morbide. L'histoire nous fait suivre une jeune adolescente solitaire et un peu étrange en souffrance par rapport à son handicap, vivant sous le regard de sa poupée avec laquelle elle communique. C'est alors qu'un jour elle va faire la rencontre d'un garçon pour qui elle va vouer un véritable culte, entre son physique attirant et sa passion du gore qu'ils ont en communs. Dans le même temps sa collègue de travail lesbienne lui fait également des avances ce qui va compliquer les choses. Cette histoire dévoile facilement son intrigue mais c'est tout de même succulent à suivre pendant un peu moins d'une heure et demie grâce à l'atmosphère qui règne ou l'on sait que tout va basculer à un moment. Le cœur de ce récit se joue dans les relations qui vont se nouer entre ces trois personnages, interprétés par un casting attachant. Angela Bettis illumine l'écran avec son visage aussi angélique qu'inquiétant. Elle incarne à merveille son rôle de jeune femme perturbée et son sourire à deux faces la rend imprévisible. Jeremy Sisto campe lui un homme à la crinière décontractée, jouant de son apparence avantageuse pour rendre accro les femmes. Anna Faris complète ce trio avec un rôle qui lui sied à ravir puisqu'elle se montre particulièrement aguicheuse. Ces trois protagonistes entretiennent des échanges donnant lieu à des jolis moments de tendresses et de séduction malgré la chape de plomb qui règne au dessus de leurs têtes. May dévore des yeux Adam duquel elle tombe totalement sous le charme. La jeune femme attendrissante et délicate se montre intimidée et gênée face à lui, nous gratifiants de scènes aussi mignonnes que romantiques, soutenues par des dialogues bien écrits. L'ensemble est mis en scène de façon assez simpliste mais la réalisation de Lucky McKee film très bien les corps, dégageant ainsi beaucoup de sensualité. Le tout est accompagné d'une b.o. très plaisante, composée de morceaux donnant envie d'être réécoutés. Celle-ci laisse souvent place à des moments de silences afin de renforcer cette ambiance mystérieuse, pour un résultat réussi. Reste une fin onirique venant mettre un terme à May qui s'avère être un très bon film méritant d'être découvert et méritant d'avantage de reconnaissance tant c'est une petite œuvre inoubliable.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 avril 2021
    Portrait d’une jeune femme extrêmement inquiétante. Un film angoissant et dérangeant, teinté d’humour noir, porté par l’interprétation bien flippante d’Angela Bettis.
    Roub E.
    Roub E.

    983 abonnés 5 015 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2021
    Autant un drame humain qu’un film d’horreur, ce May est une belle découverte pour peu qu’on ne soit pas allergique aux films sanglants. Dommage qu’il semble manquer de moyens et que la mise en scène ne soit pas plus ambitieuse cela aurait donner quelque chose de vraiment formidable. Dommage aussi que le personnage d’Anna Faris ne soit aussi lourd et mal écrit cela gâche également les scènes ou elle est présente. Mais c’est tout de même un exemple intéressant ou il y a une vraie empathie de crée avec un personnage qui commet des actes monstrueux, cela mérite malgré ces quelques défauts largement le détour.
    Cineseba
    Cineseba

    44 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2021
    Le film "May" est bizarre, dégoutant et étouffant !
    Il relate la solitude et la maladie mentale d'une jeune fille qui se replie dans son propre univers, elle était rejettée par tout le monde à cause de son handicap durant son enfance. Elle se lie l'amitié avec une poupée qui n'est pas si ravissante. Mais, elle ne peut pas jouer avec cette poupée car c'est une poupée "de collection" dans une boite vitrée.
    Elle recherche désespérément un ou une amie. Cette recherche deviendra une véritable obsession sanglante. Il y a des scènes à détourner des yeux ! Berk !
    L'actrice Angela Bettis, qui interprète une adulte shizophrène, est talentueuse, impressionnante et envoûtante. Je pense qu'elle deviendra une grande étoile de cinéma.
    Les âmes sensibles s'abstenir ! A voir !
    Jake S.
    Jake S.

    83 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2021
    Quel drôle de petit film passé inaperçu sur le grand écran il y a bientôt 20 ans de ça... "May" nous raconte l'histoire d'une jeune femme ayant vécu une enfance difficile et qui n'arrive pas à communiquer et sociabiliser de façon "normale" avec le monde qui l'entoure.

    Entre slasher et comique de situation, le film oscille aisément entre les deux genres pour présenter toute l'ambiguïté du comportement de May. Alors certes c'est assez embarrassant dans le sens où elle est totalement déconnectée de la réalité dans chacune de ses interactions avec les autres, mais c'est justement ce qui fait l'intrigue ; ce côté inattendu peut nous prendre par surprise à tout moment. La relation qu'elle entretient avec cette poupée depuis son plus jeune âge semble la guider au quotidien : elle lui dit quoi faire, comment réagir, pour le meilleur comme pour le pire. Le jour où cette chère amie disparait, c'est comme une transcendance pour May. C'est fascinant de voir à quel point elle prend confiance dans ce qu'elle doit faire dès lors qu'elle doit reconstituer sa poupée de toute pièce avec des morceaux de chair. Ne trouvant pas spécialement d'intérêt particulier à développer des relations avec des personnes qui n'en valent pas la peine, elle décide de s'en servir autrement dans un rôle qui lui parait plus juste à ses yeux...

    Un peu dérangé, un peu barré, ce long-métrage de Lucky McKee ne lui aura finalement pas porté chance (sans mauvais jeu de mot) pour rencontrer le succès. Et pourtant il y a de l'idée et de l'audace dans la façon de faire, c'est une torture psychologique assez bien menée.
    nonoxy
    nonoxy

    42 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 février 2021
    A la croisée entre Grave, Delikatessen et un Tim Burton sous acide, ce May est une belle surprise !!
    Buddy_Noone
    Buddy_Noone

    2 abonnés 89 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 décembre 2020
    Produit pour à peine 500 000 dollars, May est un de ces objets curieux du cinéma américain indépendant, un de ceux qui imposent indéniablement la patte stylistique et les obsessions d'un véritable auteur. Après avoir réalisé un premier film méconnu et quasi-introuvable (All Cheerleaders Die), Lucky McKee livrait ici un véritable classique instantané, de ces films qui imprègne durablement l'esprit du spectateur par son côté viscéral et son propos dérangeant.

    Fort d'une galerie de personnages atypiques allant du punk azimuté à la lesbienne provocante, le film brosse avant tout le portrait tourmenté de sa protagoniste, la dénommée May, jeune femme complexée, solitaire et asociale, incapable d'entretenir des relations normales et saines avec son entourage. Se raccrochant depuis sa plus triste enfance à la compagnie d'une poupée inquiétante en qui elle voit la confidente idéale, May développe un syndrome schizophrène qui se révèle notamment dans la relation d'amour-haine qu'elle entretient avec cette même poupée. En découle à l'image une sorte de fantastique latent qui tout en remettant en cause la santé mentale de l'héroïne n'exclut pas la portée exclusivement surnaturelle de l'intrigue.

    Le scénario établit donc un processus d'identification extrêmement retors entre le spectateur et son principal référent. Ainsi, dans sa quête désespérée d'une âme soeur, la petite May devient un personnage tout aussi attachant que pathétique et étrange dans ses obsessions (elle fait une fixation sur les mains "parfaites" de son amoureux) voire carrément effrayant dans ses crises d'hystérie soudaines et dévastatrices. Des sentiments exacerbés que la protagoniste pousse à leur paroxysme dans un dernier acte sanglant qui lorgne habilement sur les meurtres "en puzzle" de grands classiques du genre tels La Résidence ou La maison près du cimetière.

    A ce titre, impossible de ne pas saluer la prestation de l'actrice Angela Bettis, ici toute en sensualité maladroite et en colère refoulée. Totalement habitée par son rôle, l'actrice restitue à merveille toute l'ambiguïté schizophrène de son personnage et livre une performance mémorable. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que le réalisateur ré-emploiera l'actrice dans quasiment tous ses films suivants (Liaison Bestiale, The Woods, The Woman).

    Au-delà du portrait fascinant de sa protagoniste, May se présente également comme une allégorie sur la recherche de l'ami ou du conjoint parfait et s'apparente même sur bien des aspects au mythe de Frankenstein. Incapable de remédier à ses propres défauts, la protagoniste entreprend finalement de façonner elle-même l'être aimé, de manière à reproduire sous des proportions différentes la relation fusionnelle qu'elle entretient avec cette sinistre poupée qui symbolise les derniers vestiges de son enfance. Un remède insensé à la solitude qui précipite la déchéance morale de sa protagoniste et la condamne au plus profond désespoir. De ce gouffre émotionnel répond pourtant cet ultime plan, étrange et réconfortant, ouvrant le récit sur le fantastique le plus inattendu et déconcertant.
    Choublane4
    Choublane4

    3 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 décembre 2020
    spoiler: May (Angela Bettis) est une jeune femme maladroite et solitaire qui a eu une enfance troublée en raison de son «œil paresseux» qui lui a fait se sentir anormale et déplacée. En tant que petite fille, la mère de May l'emmène chez un ophtalmologiste, qui lui suggère de porter un cache-œil pour corriger sa vision. Malheureusement, cela n'encourage que les autres enfants à se moquer d'elle, notamment lors de leur premier jour d'école, lorsqu'un de ses camarades lui demande si elle est une pirate. Elle a très peu d'interactions sociales avec les gens tout au long de sa vie, son seul «vrai ami» étant une poupée en verre nommée Suzy fabriquée par sa mère et donnée à May pour son anniversaire. Après lui avoir présenté le cadeau, sa mère lui dit: «Si vous ne trouvez pas un ami, faites-en un». En tant qu'adulte, May travaille dans un hôpital vétérinaire et participe à des chirurgies dans une section de la classe inférieure de Los Angeles. L'ophtalmologiste de May fixe son œil paresseux, d'abord avec des lunettes, puis avec une forme spéciale de lentilles de contact. Alors que May tente d'interagir avec les gens autour d'elle, elle voit Adam (Jeremy Sisto), un mécanicien local, faire le tour de la ville et commence à le suivre. Elle chronomètre ses visites à la laverie locale et ses pauses déjeuner avec la sienne afin de le rencontrer. Le gars apparemment parfait, Adam apprend à connaître May quand elle parvient enfin à avoir le courage de l'aborder et de se présenter à lui, et quand elle lui dit qu'elle est bizarre, il répond: "C'est bon. J'aime le bizarre". May a une fixation sur ses mains, qu'elle considère comme la partie la plus attrayante de lui, et Adam semble aussi la trouver attirante. Ils commencent à sortir ensemble et Adam apprend à May à fumer des cigarettes, la taquinant quand il se rend compte qu'elle n'a jamais fumé auparavant. Il lui donne son paquet de cigarettes et lui dit de «pratiquer». Au même moment, la collègue lesbienne de May, Polly (Anna Faris), qui travaille comme réceptionniste à la clinique vétérinaire, commence à montrer une attirance pour May, tout en se moquant d'elle pour sa bizarrerie. Un jour, alors que May se sent particulièrement mal, elle fait une remarque aléatoire que Polly a un beau cou. Polly donne alors son chat domestique Loopy à May, apparemment à cause des nouvelles règles de sa propriétaire "salope" de ne pas accepter les animaux domestiques. Un jour, Adam lui montre un film qu'il a réalisé pour son université intitulé «Jack and Jill». Le film muet en noir et blanc révèle l'histoire de deux jeunes amoureux qui partent en pique-nique et finissent par se manger. May devient clairement excité par le cannibalisme flagrant du film et, au cours de ce qui a commencé comme une session intense de fabrication, s'emporte et mord Adam à la lèvre, le faisant saigner abondamment. Adam est finalement dérangé par l'étrange personnalité de May et part. May se sent coupable et blâme sa poupée Suzy (qui a effrayé Adam en la voyant) pour l'avoir encouragée à faire de mauvais choix. Elle lui crie dessus et la pousse dans le placard. May se fait embaucher dans une école pour enfants handicapés, en particulier pour s'occuper des enfants aveugles qu'elle a vus jouer dans le parc près de son lieu de travail. Elle s'intéresse particulièrement à une fille solitaire nommée Petey, à qui elle pense pouvoir s'identifier. La petite fille aime aussi May alors elle lui donne un cendrier en argile avec le nom de May gravé au centre. À peu près à ce moment, May cède enfin aux ruses de Polly et commence une liaison amoureuse avec elle. Après qu'Adam a cessé de l'appeler ( parce qu'elle l'a mordu pendant qu'ils s'embrassaient), May se rend chez lui et l'entend accidentellement avec un ami la traitant de folle et disant qu'il est heureux de pouvoir se débarrasser d'elle. Le cœur brisé, May va voir Polly pour découvrir qu'elle est avec une autre fille. De retour à la maison, May est totalement dévasté et quand Loopy refuse de s'approcher d'elle, elle devient furieuse et jette le cendrier d'argile sur le chat, le frappant à la tête et le tuant. Au fil du temps, May s'isole davantage dans son appartement devenant de plus en plus délirante, pensant que sa poupée Suzy lui parle à travers une série de crépitements de sa vitrine (nuances de «répulsion»). Bientôt, May essaie de téléphoner à Adam, qu'il ne décroche pas. Le lendemain, May est assise sur un banc à un arrêt de bus local quand un garçon punk nommé Blank (James Duval) est assis à côté d'elle et commence à lui parler. Il s'intéresse à ses remarques étranges sur les gens qui ne sont pas tout à fait parfaits mais qui n'ont que des «parties» parfaites. May ne l'aime pas au début, mais dit ensuite qu'elle aime le tatouage qu'il a sur son bras. Ils se rendent à l'appartement de May et Blank commence à flirter avec elle. Lorsqu'il va au congélateur pour obtenir de la glace, il trouve le cadavre du chat enveloppé dans une pellicule plastique. Abasourdi, il commence à paniquer et appelle May un monstre, ce qui l'exaspère; elle le poignarde à la tête avec une paire de ciseaux. Plus tard, elle va à l'école pour enfants aveugles et leur montre Suzy, sa poupée, en leur disant que c'est sa meilleure amie. Les enfants ne peuvent pas le voir, alors ils veulent toucher. May essaie de garder la poupée à l'écart (car Suzy est délicate) et se débat avec les enfants jusqu'à ce que la poupée tombe et que la vitrine se brise en morceaux tout autour du sol. Les enfants commencent à ramper à la recherche de la poupée et le verre leur coupe les mains et les genoux. May se met également à terre pour sauver Suzy, se coupant dans le processus. Elle est couverte non seulement de son sang, mais aussi du sang des enfants. Portant Suzy maintenant détruite et couverte de sang, May rentre chez elle. Elle est dévastée par tout ce qui lui est arrivé. Elle gratte même ses yeux irrités, et ils commencent à saigner. Soudain, elle se rend compte que les gens qu'elle avait connus comme ses amis n'étaient pas du tout des amis; il n'y avait que des parties d'entre eux qu'elle considérait comme des «amis». Elle arrive simplement à la conclusion qu'un ami parfait ne peut être fait que de toutes les parties parfaites des personnes qu'elle pensait être ses amis. La nuit d'Halloween, May s'habille dans un costume fait maison similaire à la robe de Suzy, en lissant ses cheveux et en mettant de la poudre blanche pour le visage, ce qui rend son visage blanc pâteux, ainsi que du rouge à lèvres rouge sang. Elle loue une grande glacière accrochée à un chariot et sort. May se rend d'abord chez Polly. (Remarque: à partir de ce moment, May adopte également une manière et une attitude «normales», très différentes de son comportement habituel, innocent, balbutiant et enfantin; elle commence à parler à toutes les personnes qui interagissent avec elle sur un ton froid, impassible et impassible. voix.) Chez Polly, May et Polly poursuivent une conversation normale sur le travail jusqu'à ce que May retire quelques scalpels qu'elle a volés à l'hôpital pour animaux et les place de chaque côté du cou de Polly. Polly se moque d'elle, pensant que c'est une blague et déclarant qu'elle sait que May ne lui ferait jamais de mal jusqu'à ce que May lui coupe soudainement le cou, au grand étonnement de Polly avant de mourir. Un peu plus tard, Ambrosia, l'autre amante de Polly, arrive à la maison, irritée par la présence de May. May admire ses jambes et lui demande de se retourner pour elle. Ambrosia accepte, mais non sans la traiter de monstre et de faire des commentaires dérisoires sur elle et la relation précédente de Polly. Après cela, May la poignarde des deux côtés de la tête. Enfin, May se rend chez Adam. Quand elle arrive là-bas, elle découvre qu'Adam est avec une autre fille appelée Hoop (pour ses boucles d'oreilles) qui laisse May entrer, au grand mécontentement d'Adam. Ils s'assoient à table et May demande à Adam de toucher son visage. Adam refuse, ce qui conduit à une discussion entre May et Hoop, qui lui dit qu'Adam est à elle, maintenant. Enfin, elle laisse Adam toucher May. Il pousse avec indignation le front de May et May poignarde Hoop dans le cou. Adam marche en arrière et hurle d'horreur, mais May le poignarde à l'estomac. De retour à la maison, May commence à concevoir son "nouvel ami", qui est essentiellement une poupée de chiffon grandeur nature Frankenstein-esque faite de ses amis décédés qui sont des parties du corps qu'elle garde dans la glacière qu'elle transporte. Elle utilise les bras de Blank, le cou de Polly, les mains d'Adam, les jambes d'Ambrosia, les boucles d'oreilles de Hoop (toujours sur ses oreilles coupées) et la fourrure de Loopy, pour remplacer les cheveux. La tête et le torse sont simplement des morceaux de tissu différents cousus ensemble et rembourrés, tandis que les autres appendices sont finalement cousus ensemble. May change alors son costume de Suzy, se lave et revient à sa vieille personnalité enfantine. Une fois que la poupée macabre, nommée Amy - tirée des lettres du nom de May, écrites sur le cendrier maintenant détruit - est terminée, elle se rend compte qu'Amy ne peut pas la voir. Alors, dans un élan de misère, elle arrache son œil droit (le paresseux) avec les ciseaux. Pleurant de douleur, elle le pose sur la tête d'Amy et implore en sanglotant que le jouet la regarde. Exaspérée et douloureuse, May appuie sa tête contre l'épaule d'Amy. May voit soudain son amie prendre vie et toucher son visage avec amour, avec les mains précieuses d'Adam. May sourit.
    mx13
    mx13

    248 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 novembre 2020
    Le style est très fraçais, le côté femme hystérique qui s inventé une vie dans un contexte mélodramatique. Sympa à voir, même si c est quelques peu rebutant. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 3/5
    Nathan Michel
    Nathan Michel

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2020
    Pas terrible 2 étoiles pas plus parce qu'on voit un peu de meurtres le but d'un film "d'horreur", c'est trop lent on doit attendre 1h de film pour voir un premier meurtre qui n'est pas spécialement réaliste, la seule chose positive c'est le scénario du film qui est une très bonne idée mais mal réalisée à mon goût.
    Marc T.
    Marc T.

    270 abonnés 552 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2020
    La progression de l'histoire de May est intéressante, son grain de folie est rafraichissant, mais cette fin... Je n'en dirais pas plus mais c'est vraiment ce qui m'a totalement déplu dans ce film. On sait d'avance ce qu'elle va faire, le synopsis du film le mentionne d'ailleurs, après il est facile de deviner la suite. Mais non, je n'imaginais pas ça du tout, pas ce final gore pour faire du gore.
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    68 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2020
    Récit intime d'une psychopathe dévorée par sa solitude, "May" est suffisamment original dans son abordage pour retenir l'attention. Le personnage principal, qu'on sent sur la corde raide, attire presque la sympathie par son handicap social la rendant marginale et souvent victime des autres. Mais lorsque May finit par dérailler, le film se fait plus attendu et perd de son charme car prévisible et, finalement, un peu décevant.
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