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    Innocence - Ghost in the Shell 2
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    160 critiques spectateurs

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    Frédéric Gisbert
    Frédéric Gisbert

    8 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 février 2021
    Pour ce deuxième volet du manga original, encore une enquête de Cyber Police passionnante dans un futur proche où l'intelligence artificielle est partout. Après avoir vu ce deuxième opus plusieurs fois, on ne lasse pas de la modernité des scénaristes de cette franchise qui ne vieilli décidément pas. Dans cette enquête, la célèbre Major Kusanagi est absente de la fameuse section 9. C'est le cyborg Batou qui mène l'enquête avec un collègue humain. spoiler: Suite à un attentat, les premiers indices mènent à une firme privée de robotique civile qui est soupçonnée de construire en secret des robots de technologies militaires en lien avec des organisations criminelles Yakusa. La firme semble profiter des zones de non-droit sur terre et des eaux internationales.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 avril 2020
    Pour ceux déjà habitué au monde de GITS ce film est un chef d'oeuvre. Il ne sajit pas d'une histoire, mais d'une remise en questions profonde sur intégrations de l'électronique dans nos sociétés.
    Lorsqu'on mêle la philosophie au monde hight-tech. Mamoru Oshii pose la question fondamentale est ce que, si il y a une intelligence forte, doit-on oui ou non la douer d'une conscience. Entre les sonorité à la THX1138 et les boucles de rétroactions dans un modèle de hacking du cerveau, cela nous met dans l’inconfort de nos limite cérébrale fac à l'intelligence artificielle.
    Thomas Lallement
    Thomas Lallement

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 février 2020
    Pour les amateurs d'animé, un excellent film.

    Les dessins sont très beaux, la musique de Kenji Kawaii est magnifique, l'histoire est complexe, beaucoup de philosophie, de l'action, des enjeux.... Beaucoup de choses dans ce deuxième film... J'ai préféré celui la, plutôt que ''ghost in the shell 1''...

    Je vous le conseille. Un bon animé de style punk...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Avec des applaudissements debout et énormément d'encouragements pour déclarer apte ce chef-d'œuvre bien fixé, toujours aussi complexe l'ontologie de réflexion philosophique, c'est l'existentialisme dans ce monde cybernétique punk culte souvenir de 1997.
    Ne l'ayant pas donné auparavant par perplexité alors qu'il ne l'est pas, je l'accorderais volontiers pour ce second opus, l'innocence du fantôme dans la coquille.

    La major fait une courte apparition, donc très certainement disparue de la circulation, son âme reste par transfert du corps des cyborg, dans l'esprit dépositaire de la philosophie toutes ces références de poésie humaine.
    L'extrême-Orient dépose son exposé sur ses religions syncrétiques, à commencer du côté où le professeur du soleil qui se lève pour nous faire un cours d'histoire des grands philosophes universels, européens et asiatiques.

    Descartes, Confucius, Dieu éléphant, ça parle du même constat, les poupées de marionnettes reliées par des fils, coupant les sachant le pertinemment, ceci sont des livres anciens calligraphiés conservation de l'humanité.
    Police tactique offensive mission coquille, c'est Kokaku Kidotai, aussi Ghost in the shell que ce n'est pas rien, et oui, que c'est profond cette préservation d'une ancienne culture à l'heure de l'ère moderne actuel, la civilisation n'est pas trop dépaysé.

    L'humain se distingue sous différentes formes, pointe l'intelligence au-delà de ses limites, c'est normal que celui-là ne comprendra jamais rien cette animation hors du commun des mortels, jugeant les par nous mêmes.
    Internet cybercriminalité, une section spéciale pour notre protagoniste Robocop en service dans cette suite très animée, un visuel high-tech fantaisie phénoménale.

    Le futur miroir reflet dans ces villes technologiques, le passé au présent, Shanghai, Tokyo, Hong Kong, les signes sont apparents et distinctifs, on est hypnotisé jusqu'à la fascination de ce scénario alléchant.
    Il n'y a pas de quoi, concluant enfin toute l'humilité universaliste des importantes pensées, le regard sceptique est mis de côté, ne soyons ainsi, regardons tout simplement que c'est tout un roman dessiné appelé manga.
    zinjero
    zinjero

    20 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 mai 2019
    Je croyais l'avoir vu ce Ghost In the Shell 2 et bien non. Il date pourtant d'il y a 15 ans et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il fait son âge ! Malheureusement Oshii choisit d'incorporer des images de synthèse qui, aujourd'hui, paraissent complètement ringardes (le dessin du premier opus a un charme plus intemporel). Pour la musique, Kenji Kawai ne s'est pas trop foulé : c'est du réchauffé. En fait, tout est plus ou moins calqué sur Ghost in the Shell 1 mais en moins bien (et pas en mieux comme on peut lire à droite à gauche). Il y a quelques scènes à sauver et le personnage de Batou est sympathique avec son spleen mais sur la durée du métrage c'est l'ennui qui prévaut avec un culte un peu trop prononcè pour le toutou (« pour moi, le Chien est tout, c'est le monde entier. Je préfère ne rien expliquer de peur que les gens ne comprennent que la moitié de ce que je ressens. Le Chien est mon Dieu. » dit Oshii, tout un programme). En 2008, on aura droit à Ghost in the Shell 2.0, un toilettage du premier opus avec incorporation d'images de synthèse complètement has been à l'aube du XXIIe siècle...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 décembre 2018
    Suite de Ghost in the shell centré sur Batu. Le collègue du major Kuzanagi a vieilli et continue sa vie solitaire dans une paisible tristesse. Dans ce film, le scénario sert encore d'interrogation philosophique et pose la question inverse du premier volet. Les poupées (dans le film, les robots) sont-elles vivantes ? N'ont-ils pas, eux aussi, droit au respect et à la dignité inhérente aux vivants ? Question philosophique typiquement japonaise pour qui l’apparence définit qui on est. Toujours aussi beau, l'intrusion d'images de synthèse tranche malheureusement avec le graphisme pourtant splendide du film.
    Objectivons
    Objectivons

    309 abonnés 2 934 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    On retrouve ici l'équipier cyborg du major Motoko Kusunagi spoiler: qu'on ne voit qu'une petite dizaine de minutes à la fin
    , Batou, avec toujours comme voix française celle d'Arnold Schwarzenegger. Son propre équipier a cette fois-ci la voix de Henry Cavill (le Superman de 2013 et de la Ligue de la justice) et plus celle de Laurence Fishburne.
    Il est esthétiquement plus beau que le premier Ghost in the shell grâce aux effets 3D et son histoire va plus loin dans la prise de conscience des robots. Plutôt distrayant, même si je ne suis finalement pas aussi fan que je le pensais de ce genre d'histoire.
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 541 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2018
    Très bon visuellement, l'histoire est difficilement compréhensible et on se noie dans des dialogues philosophiques sans fin.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 novembre 2017
    Pour une fois, une suite est réalisée par le créateur du 1er opus. Visuellement et narrativement, on retrouve tout l'univers et la singularité du 1er Ghost In The SHell. Mais cette fois-ci, les considérations métaphysiques et philosophiques prennent encore davantage de proportions, pour un scénario policier finalement très simple. C'est d'ailleurs la principale difficulté. Pour bien suivre, il est interdit de louper la moindre seconde de dialogue et de raisonnement sous peine d'être complètement largué. Le propos général se pose là et risque bien de garder toute sa pertinence pour des décennies...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 octobre 2017
    Attention chers amis, cette opus n'est pas à la portée de tous,
    Puissant et intellectuel, esthétiquement très détaillé avec des décors haut en couleur et un coup de crayon précis, en contraste d'un effet grisé sur les personnages qui exprime une humanité en totale perdition et en plein questionnement sur sa vraie nature et celle du divin.
    Si vous cherchez de l'action à tout prix, et bien c'est raté ! Mise à part quelques scènes radicalement agressives, Ghost in the shell 2 est avant tout un hacking mental avec des dialogues bourrés de références philosophiques et spirituelles afin de rentrer dans vos entrailles -dans votre ghost plus exactement- nous faisant réfléchir par deux fois sur les choix futurs que nous prenons: le numérique, l'intelligence artificielle forte, le transhumanisme et la place de la machine dans la société - dans ce monde, l'homme passe peu à peu d'utilisateur à tributaire, pour finir esclave de celle-ci, à l'opposé de Batou, guerrier robotisé cultivant sa propre humanité, le tout dans une justesse absolue. Mamoru Oshii s'attaque à la source de nos folies les plus profondes, ce qu'il n'avait pas exploité auparavant.
    Mais encore faut-il avoir la capacité de le comprendre, car à chaque scène quelque chose nous échappe, et ce n'est qu'en le regardant plusieurs fois que vous arriverez à vous fixer pour de bons.
    Une pépite de l'animation japonaise qui sort des codes du manga classique.
    A voir sans hésiter.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juillet 2017
    Moins brillant scénaristiquement que son prédécesseur, Ghost in the shell 2.0 s'enferre parfois dans son existentialisme et peine à en sortir. On retiendra néanmoins que beaucoup d'émotions affleurent dans toute la première partie du récit et que bien sûr l'animation a gagné en fluidité et en beauté.
    S.i.n
    S.i.n

    8 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2018
    Mais quel chef d'oeuvre nous livre encore Mamoru Oshii ! Alors qu'après avoir visionné Ghost in the Shell de 1995 je pensais que le réalisateur avait exploité le manga au maximum, il nous invite à nouveau dans un univers cyberpunk qui nous conquit. Le film se démarque encore une fois par son univers énigmatique et elliptique. Mais également une psychologie très marquée sur la vie, et c'est pourquoi il est si spécial à mon sens. Pour ma part, j'ai d'autant plus apprécié le fait que Ghost in the Shell 2 soit truffé de citations et de références balancés à tout-va.
    J'ajoute également qu'encore une fois, le spectateur se retrouve de nouveau à contempler de superbes séquences, toujours porté par une bande son qui marque les esprits.
    J'espère qu'il y aura un 3 du même réalisateur et du même compositeur un jour pour pouvoir prendre mon pied encore une fois.
    Redzing
    Redzing

    1 107 abonnés 4 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2017
    Quelques années après le premier volet, on retrouve Batou, cyber-policier expéditif, et marqué par la disparition du Major Kusanagi. Il va alors se retrouvé mêlé à une enquête autour de robots meurtriers et de yakuzas. Alors que le premier film, sorti en 1995, exploitait des thématiques cyberpunk très pertinentes et très en avance sur leur temps (hyper-connectivité, dilution de l'identité dans des réseaux...), cette suite de 2004 se veut davantage métaphysique. Mamoru Oshii conserve par ailleurs son style de narration : l'intrigue, assez simple au demeurant, passe au second plan, devant une série de réflexions philosophiques très directes, portant sur la différence entre un humain et sa copie, ou la projection que l'on peut faire de l'âme. Un choix qui ne plaira pas à tous, mais qui est toujours aussi singulier. Visuellement, le film propose de bonnes séquences d'action, toutefois on regrette l'utilisation abusive d'images de synthèse, qui ont mal vieilli et qui nuisent à la fluidité des images 2D classiques. En somme, malgré ce point, cette suite est fidèle dans l'esprit à son prédécesseur, et plaira à ceux qui y ont adhéré.
    cylon86
    cylon86

    2 504 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2017
    Après l'expérience saisissante qu'était déjà "Ghost in the Shell", Mamoru Oshii a voulu se replonger dans cet univers afin de prolonger ses interrogations les plus profondes. "Ghost in the Shell 2 : Innocence" nous fait donc suivre Batou après les événements du premier film, lancé dans une enquête sur des poupées dotées d'une âme. Si le Major n'est quasiment plus de la partie, Batou assure donc le spectacle, promenant sa grande carrure d'endroits étranges en endroits encore plus étranges afin de lever le voile sur ce mystère et en découvrir un peu plus sur l'humanité et ce que cela signifie d'être un cyborg. Bien évidemment, il faut s'accrocher pour bien saisir les tenants et les aboutissants de l'intrigue qui, comme pour le premier film, ne passe pas en premier dans l'esprit du réalisateur. Plus sensoriel et philosophique que purement narratif, "Innocence" n'en déploie pas moins une complexité absolument ébouriffante où Oshii laisse apercevoir sa vision pessimiste de l'humanité, interroge le tréfonds de notre âme et admire la perfection de ces poupées qui murmurent "sauvez-moi" avant de se détruire. Hallucinant, complexe et tout bonnement fascinant, "Innocence" va jusqu'à creuser plus loin les thématiques du premier film, le plaçant un cran au-dessus, notamment parce que le scénario y est un peu plus clair et qu'il va pousser plus loin ses réflexions. Offrant à ses spectateurs de solides scènes d'action entre deux réflexions profondes, Mamoru Oshii ne recule devant rien pour mieux mettre en exergue son univers, quitte à user de l'animation en 3D bien laide qui jure désormais avec l'animation en 2D, le temps ayant rendu la 3D obsolète. C'est dommage tant la mise en scène touche au sublime mais cela contribue en même temps à rendre le film si particulier et si puissant, farfouillant encore dans notre esprit bien longtemps après sa vision.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    688 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2017
    Avec plus d'action que dans le premier opus cette suite repose son postulat sur les mêmes qualités et défauts que son prédécesseur. Le scénario demeure encore parfois brouillon et très complexe, l'esthétique est toujours renversante dans ce néo-Tokyo en perdition, les personnages sont froids, charismatiques et attachants, et la représentation du monde internet superbe. On retiendra le final, avec l'apparition qu'on attendait tant, et une dose d'action appréciable.

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